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Dans la chapelle du Graal EN PLEINE SECONDE GUERRE MONDIALE, UN ABBÉ PEU ORTHODOXE RELIT L’ÉVANGILE À LA LUMIÈRE DE LA LÉGENDE ARTHURIENNE.

Pendant douze ans, l’abbé Gillard va se consacrer entièrement à son œuvre. En 1945, il obtient la mise

Étonnante histoire que celle de ce prêtre afecté pendant la seconde guerre mondiale à Tréhorenteuc, un village de 150 âmes situé à la lisière de la forêt de Paimpont. Accueilli par une paroisse peu pratiquante autour d’un édifce menaçant ruine, il décide de restaurer l’église en même temps que la foi de ses ouailles, en optant pour des chemins pour le moins éloignés des canons du catholicisme. Ne va-t-il pas revisiter l’Évangile à partir du mythe de la quête du Graal telle que l’évoque la légende arthurienne?

à disposition de deux prisonniers de guerre

En 1945, deux prisonniers

allemands, un ébéniste qui refera la voûte et l’autel, et un peintre qui réalisera le Chemin de croix imaginé par

de guerre allemands referont l’un la voûte et l’autel, l’autre le Chemin de croix.

le prêtre. Et au début des années cinquante seront posés les vitraux et les mosaïques qui amènent le visiteur à s’interroger: où, dans cette chapelle du Graal, la symbolique cède-t-elle la place à l’ésotérisme?

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