Journal C'est à dire 244 - Juin 2018

Le journal gratuit du Haut-Doubs

AOÛT 2018

AU MARDI 7

27 JUIN 2018 DU MERCREDI

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25 juin 2018 N° 244

Le journal du Haut-Doubs - www.c-a-d.fr

1, RUE DE LA BRASSERIE - B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX - T ÉL . 03 81 67 90 80 - redaction@publipresse.fr I NFORMAT ION - R ÉDACT ION - PUBL I C I TÉ - ANNONCE S

ILS JOUENT À FOND LA CARTE DU DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE

SPÉCIAL TOURISME ET PATRIMOINE

S O M M A I R E

Le futur visage de Morteau. Les élus mortuaciens ont validé le nouveau Plan Local d’Urbanisme qui doit dessiner le visage de Morteau pour les quinze prochaines années. (page 7) L’homme volant du Saut du Doubs. Robin Georges a sauté plusieurs fois la barre rocheuse du site touristique, haute de 22 mètres. Attention, le garçon est un professionnel de la haute voltige. (page 8) Les embauches repartent en Suisse. Les voyants sont à nouveau au vert du côté de l’em- ploi frontalier. Les services de l’emploi confirment l’embellie. (page 50) Daniel Journot parmonts et par vaux. Cet habitant de Maîche s’est découvert à la retraite une passion dévorante pour arpenter dans tous les sens le Haut-Doubs et la Suisse voisine. (page 58)

(Le dossier en pages 21 à 27)

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R E T O U R S U R I N F O

Les entreprises locales mobilisées contre l’autisme

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. C’est à dire revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. D.S.A. Val de Morteau au pas de course

ÉDITORIAL

Pays 1++89 15768209 120.4659!467463 .89/49,0178974579/8974'160)9.4579/8 423% 12 7)9159!4639.8,2679/15&% 38+,79.29.*'8/1,,8+8539312067% 36$28974579312 12079/8974'160 9 685 7 096/9 949-82 )9"9/(6+4&89.879 438% /68079.29 4239.29 12 79$269.8,267 .879.*-85568791539-1+,06793123 /89,1385368/9.8951308978-38209.8 +1 85589+1534&589859+436 089.8 312067+89'803 9 /9 94942776931279-87 ,06'*7)9,1209-80346579,0*-2078207) $2691539427769-1+,0679$289/49$24% /63*9.89/(4--286/9,0*'4/4639712'853 7209-8//89.879*$26,8+8537942 9 82 .893120673879$269'68558539-#80-#80 6-6)95159,479/89/2 89.(259 9*316/87 +4679/(423#8536-63*9.(2593800160983 $245.9-8/498739,1776 /8)9/8971/86/ 15&38+,79/89 423% 12 7)9"9/4906-#8 65.2730689#10/1& 08)9495*&/6&*9787 06-#877879543208//87 2679/49-0678 #10/1& 0898739,477*89,409/"983)9+ +8 769/49 267789'1676589087389312 1207 2589+45589*-151+6$289,0*-682% 78)9-80346579*/27)94771-6436157912 ,4036-2/6807)91539-1+,0679$289 842% -12,9,/279$2(258976+,/891--2,4% 3615)9/89312067+89,12'4639.8'856096-6 -1++8946//82079259'8-38209.89.*'8% /1,,8+853 82/8+853)9 -#4-25 -1536524639"9 '85.08 97159,83639380% 0631608)974579-1#*7615)974579-1#*% 085-8 /98 6734639 6859.8,2679258 '65&346589.(455*879-833897302-3208 3800631064/894,,8/*89 4 79 10/1&80 .15391597(8739/15&38+,79.8+45% .*97(6/95(*34639,479$2(2589-12-#89.8 ,/279429+6//8!826//894.+656730436!9!045% 467 9 27$2("90*-8++85391 97127 /(6+,2/76159.89$28/$2879*/279"9/4 '289,/279/40&8)9/8794-382079.29312% 067+89 1539 .*-6.*9 .89 -#45&80 .(*-#8//8)9.89'160)938/9/89,1 389.8 8459 80043)9 )9839.89.*-6.809.89304'46//809+465 .4579/49+465)9"9/(*-#8//89.89-89 4 7 10/1&809$2697(*385.9.879,103879.2 4 79.89 153 */640.9"9-8//89.29 42% &8467 9 49-0*436159/(459.8056809.(25 1!!6-89.89312067+89.89.8736543615) 4'8-9"97493 389.8794-382079$269153 -1+,067931239/8978579.(2589+678985 -1++259.879*580&687)9.15589"9-83% 3897302-32089 4 79 10/1&809/49-15767% 345-89$289/(15943385.463)94'8-)985 /6&589.89+6089!654/8)9/49-0*436159.(25 ,40-9543208/90*&6154/ 9 69/89 423% 12 79#10/1&809589789346//8049 4+467 /49,4039.29/6159.4579/879.87365436157 ,#40879.29312067+895436154/)96/9873 859,4778)985!65)9.89789!4608925951+ ,1209.8'8560)9-1++896/9,12004639 ,0*385.08)9259512'8429,459.89/(*-1% 51+689/1-4/8 9 n Jean-François Hauser

Les dirigeants des entreprises Clavière, Coquy et Monts de Joux ont remis 43 000 euros à l’association “Nos enfants d’ailleurs”.

D ans le dossier consacré le mois dernier au trail et aux sports nature, il manquait une association locale qui s’était faite un peu plus discrète ces dernières années : D.S.A. Val de Morteau. Mais l’arrivée de nou- velles têtes au comité local de D.S.A. a don- né un nouvel élan aux activités de l’associa- tion. “Nous sommes passés de 50 adhérents l’an dernier à 130 cette année. Le président Léon Sur s’était retrouvé un peu seul, de nou-

veaux bénévoles ont intégré le comité et nous avons lancé une section trail qui démarre très bien” confirme Loïc Grandvoinnet, secrétai- re du club. La section trail adultes est enca- drée par Aurélien Charité (un jeune talent du trail) et Samuel Ligier. 25 adultes participent aux entraînements. “À la rentrée de septembre, nous passerons d’un à deux entraînements par semaine, le mardi et le jeudi à 19 heures” poursuit Loïc Grandvoinnet. D.S.A. propose à ces compétiteurs des entraînements bien ciblés, physiques et techniques, pour ceux qui souhaitent affûter leurs muscles pour des trails de 15 kilomètres ou plus. “Les enca- drants se forment également pour pouvoir apporter des conseils plus techniques.” La section enfants démarre également très bien, “nous aurions même besoin d’encadrants sup- plémentaires.” Quelques champions com- mencent à émerger des rangs de D.S.A., à l’image des jeunes Blaise et Faivre-Pierret. n

L’ association locale “Nos enfants d’ailleurs” qui lut- te pour la cause des enfants autistes s’est vue remettre le 19 juin dernier à l’occasion d’une cérémonie à la préfecture du Doubs trois chèques pour un mon- tant global de 43 000 euros. Cet- te somme a été réunie grâce à trois entreprises locales de l’agroa- limentaire : les œufs Coquy, le salaisonnier Clavière et la coopé- rative des Monts de Joux. Entre février et avril dernier, ces trois entreprises s’étaient engagées à reverser 20 centimes au profit de l’association à chacun des pro- duits qu’il vendait. Le résultat de cette “collecte” dépasse les espé- rances et permettra à l’associa- tion de poursuivre ses actions au bénéfice des familles d’enfants autistes. “L’an dernier, nous avions déjà pu financer grâce à ces entre- prises plus de 650 heures de gui- dance parentale et organiser 6 cycles de formation au bénéfice tation par une propriétaire du vil- lage d’un permis de construire délivré à son voisin pour l’édifi- cation d’un garage, le maire Patrick Laithier a souhaité apporter son point de vue. Ce dernier recon- naît en effet que “la commune des Gras, n’ayant pas validé son plan local d’urbanisme, ne peut plus prétendre à utiliser son plan d’oc- cupation des sols, devenu caduc par décision gouvernementale. C’est donc bien le règlement natio- nal d’urbanisme qui assure l’in- térim sur la commune, loi obli- ge. Nous ne sommes donc pas “hors normes”, la situation est très claire et le village n’est pas une zone d’ombre du Val de Morteau en matière d’urbanisme” justifie M. Laithier. Le premier magis- trat précise aussi que “si notre P.O.S. était toujours d’actualité, les voisins de la famille plaignan- te auraient obtenu leur permis de construire de la même façon, toutes les conditions nécessaires à l’obtention du permis étant rem- plies. Même chose en cas de P.L.U. ficelé.” Le nouveau P.L.U. devrait d’ailleurs être applicable “avant la fin de cette année” ajou- S uite à l’article paru dans notre précédente édition qui faisait état de la contes-

de 70 familles et professionnels, ainsi que des week-ends de répit pour les familles. En 2018, nous avons lancé un nouveau chantier : l’accueil de loisirs et le soutien à domicile” commente Éric Cue- not, le président de cette asso- ciation. Soulignant “l’action remar- quable de cette association” , le préfet du Doubs Raphaël Bar- tolt a rappelé les nouvelles prio- rités gouvernementales en matiè- re de lutte contre l’autisme : “Aujourd’hui, 80 % des enfants autistes n’ont pas accès à une scolarité ordinaire. L’objectif est que tous les enfants nés à partir de cette année puissent accéder à la maternelle dès l’âge de sco- larisation. Près de 400 millions d’euros seront consacrés sur le plan national à cette cause d’ici 2022. Un délégué interministériel à l’autisme sera nommé prochai- nement. Il est temps d’accueillir pleinement ces personnes” a insis- té le préfet. n te le maire. Concernant le projet de construc- tion des voisins de la famille Demarquette, M. Laithier précise encore plusieurs points : “Le pro- jet ne se situera pas sur la lon- gueur complète du terrain, la vue ne sera aucunement bouchée par la construction et le projet est tout à fait esthétique, dans un style “fermette”. Si cela n’est pas res- pecter le style franc-comtois…” ajoute-t-il. M. Laithier précise aus- si qu’il n’a pas eu “l’honneur de rencontrer un représentant de la famille Demarquette, le seul contact étant un bref appel télé- phonique et l’envoi d’une copie d’un courrier au porteur de ce pro- jet plutôt cohérent.” Le maire des Gras se défend enfin de protéger le patrimoine de sa commune. “Il est un peu fort d’être montré du doigt par des personnes affublant une ferme comtoise d’huisse- ries en P.V.C. blanc, se disant défenseurs du patrimoine et fina- lement, n’allant que dans le sens d’un intérêt personnel et certai- nement pas collectif ! Devrait- on créer un document d’urba- nisme pour chaque projet et qui tiendrait compte des affinités et avis du voisinage ?” interroge le maire pour conclure. n

La section trail du D.S.A. Val de Morteau lors d un entraînement au stade de Villers-le-Lac.

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Permis de construire aux Gras : le maire réagit

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est édité par Publipresse Médias 1, rue de la Brasserie B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 E-mail : redaction@publipresse.fr Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Contact commercial : Anthony Gloriod au 03 81 67 90 80 Directeur artistique : Olivier CHEVALIER Rédaction : Édouard Choulet, Thomas Comte, Frédéric Cartaud, Jean-François Hauser. Imprimé à Nancy Print - I.S.S.N. : 1275-8825 Dépôt légal : Juin 2018. Crédits photos : C’est à dire, M. Binet, F. Cahez, A. Collenot, F. Fleury, A. Henchoz, H. Leiser, E. Osth, E. Pourny, O.T. Montbenoît . Mots fléchés : Jean-Marie Steyner.

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Un collectif pour protéger le renard Nature Il demande au préfet que le prédateur ne soit plus considéré comme nuisible. Les chasseurs, eux, disent leur désaccord.

L e renard serait à en croi- re les défenseurs de l’animal une solution aux problèmes de san- té publique et un travailleur de l’ombre au bénéfice des agri- culteurs. Espèce classée “nui- sible” par l’arrêté ministériel du 30 juin 2015, le renard roux peut être piégé, déterré et chassé tou- te l’année dans le Doubs. Ce n’est pas une espèce menacée. “Mais pourquoi mérite-t-il un tel châ- timent ?” , interroge le collectif Renard Doubs composé d’as- sociations de protection de la nature, de la fédération natio- nale de l’environnement (F.N.E.), d’association d’éducation à l’en- vironnement comme les Gazouillis du Plateau (Char- quemont). Créé le 14 juin, le collectif veut interpeller le préfet et deman- der que sa chasse soit interdite de janvier à septembre : “Le renard doit être retiré des espèces nuisibles ! On n’attaque pas les chasseurs, on propose un com- promis” lance Didier Pépin, por- te-parole du collectif. Des arguments plaident en la faveur du prédateur : il consom- me entre 3 000 et 5 500 rongeurs par an. “C’est du bon sens pay- san que de laisser le renard fai- re son travail de prédation” décla- re Michel Pritzy, agriculteur en A.O.C. comté à Chapelle-d’Huin. Second argument : le tuer aug- menterait le risque d’échino-

coccose alvéolaire. “Le renard est un des vecteurs de l’échino- coccose alvéolaire, une mala- die grave qui touche 30 nouvelles personnes chaque année en Fran- ce. Mais de récentes études scien- tifiques montrent que vouloir diminuer la population sur un territoire est illusoire et surtout la destruction des renards pro- voquerait une augmentation des risques de contamination à l’homme car les animaux les plus jeunes (qui remplacent ceux tués) sont davantage porteurs de la maladie” explique Dominique Michelat, enseignant natura- liste. Enfin, “de récentes études scientifiques aux États-Unis et en Hollande démontrent qu’en

Le renard roux (photo F. Cahez).

La réponse des chasseurs

exerçant sa fonction de préda- teur naturel, le renard diminue les risques de contamination de la maladie de Lyme, dont envi- ron 30 000 nouveaux cas humains sont enregistrés chaque année en France. Là où les popu- lations de renard diminuent, les rongeurs sont porteurs d’un plus grand nombre de tiques infec- tées par la bactérie borrelia, cel- le de la maladie de Lyme. En réduisant le nombre de rongeurs

hôtes d’infection, les prédateurs pourraient participer à la dimi- nution du risque de transmis- sion de la maladie de Lyme à l’homme” poursuit le collectif. Un débat est engagé. Les organisations agricoles n’ont pas rejoint ce collectif, ni les chasseurs évidemment, qui ont de contre-arguments à faire valoir. Le goupil est au cœur de toutes les attentions. n E.Ch.

C’est à dire : Le renard est-il menacé ? Fédération de chasse du Doubs : Le renard n’est aucu- nement concerné par un statut de protection au regard des textes internationaux. Il y a dans le Doubs entre 15 000 et 20 000 renards. Càd : Et combien d'animaux tués par an ? F.D.C. : Environ 5 000, ce qui est peu pour une espèce si prolifique. Càd : Tuer trop de renards favo- riserait selon le collectif la pro- lifération de l’échinococcose et la maladie de Lyme. Confir- mez-vous ? F.D.C. : En l’absence de régula- tion du renard, les cas d’échi- nococcose augmentent signifi- cativement dans la population humaine. Le traitement par ver- mifugation des renards n’est pas une solution durable. Contrai-

rement à ce que dit une récen- te étude hollandaise, il n’est pas encore définitivement prouvé que les renards et petits mustélidés limitent la propagation de la mala- die de Lyme : dans cette étude, le lien de cause à effet entre char- ge parasitaire et densité de renards n’est pas démontré, il reste à ce stade une hypothèse. Il est important de noter que cet- te publication n’a pas été éla- borée dans un objectif d’objec- tivité, puisque l’étude conclut en ces termes (traductions de l’an- glais) : “Notre étude demande l’appréciation et la protection des espèces de prédateurs comme le renard roux, dont beaucoup d’entre eux sont persécutés à tra- vers l’Europe.” Ici, les auteurs font clairement état de leur idéo- logie. Cette étude ne peut trou- ver sa place dans un traitement rationnel du statut du renard. n

Fabien Gréban, Dominique Michelat, Didier Pépin et Michel Pritzy, du collectif Renard Doubs (de gauche à droite).

Recueilli par E.Ch.

Publi-information Audition Nadler prend soin de vos oreilles depuis 16 ans ! Grâce à son professionnalisme dans le dépistage des problèmes auditifs et les solutions apportées aux personnes qui en souffrent, Frédéric Nadler fidélise sa clientèle depuis 16 ans dans le Val de Morteau.

L’audio- prothésiste Frédéric

Nadler accorde une grande importance au suivi de ses clients.

C ela fait maintenant 16 ans que Frédéric Nadler prend soin des oreilles de patients qui présentent des troubles de l’audition. Dans son établissement situé à deux pas d’Intermarché, à Mor- teau, l’audioprothésiste accorde le

temps nécessaire pour conseiller ses clients et leur apporter une solution sur mesure. Son ancienneté est la preuve d’un professionnalisme qui lui permet de fidéliser les personnes souf- frant de problèmes d’audition et d’en accompagner de nouvelles. “Le suivi

tain nombre de paramètres. En revanche, leur point commun est une qualité de son pour la personne qui les portera. “Ce qui fait la différence de prix, c’est la technologie. Par exemple, il existe des appareils auditifs qui vont gérer différents environnements sonores. Pour d’autres, c’est la matière dans laquelle ils sont fabriqués, en titane, par exemple, qui les rend plus chers. Il existe des modèles qui sont direc- tement connectés au téléphone por- table, ce qui permet à l’usager de télé- phoner facilement tout en ayant les mains libres.” Des performances qui ne sont pas incompatibles avec la ten- dance à la miniaturisation et à la dis- crétion des appareils auditifs dont certains sont spécialement conçus pour atténuer durablement les pro- blèmes d’acouphène. n

dition avec justesse, il faut d’abord procéder à un diagnostic. Le dépis- tage est une des compétences fon- damentales du cabinet Audition Nad- ler. “Je teste toutes les bandes-fré- quences utiles, de grave à aigu. Il exis- te plusieurs tests pour déterminer le type de problèmes acous- tiques dont souffre la per- sonne. Dans certains cas, je vais orienter la personne vers un médecin spécialis- te.” Parmi les signes qui doi- vent alerter sur un pro- blème de surdité, il y a les difficultés de compréhension qui sur- viennent quand il y a du bruit. Une fois le diagnostic établi, Frédé- ric Nadler propose les appareils adap- tés parmi une gamme large de pro- duits dont le prix varie selon un cer-

intervient pour un tiers, voire pour 50 % dans la réussite d’un appareillage complet. J’ai pignon sur rue, en cas de problème, je suis disponible pour régler les prothèses auditives du patient. En cas de panne, je prête des appareils, le temps de remplacer ou de réparer

les appareils défectueux. Nos appareils sont garan- tis quatre ans” explique Fré- déric Nadler. Adapter la technologie pour améliorer l’audition du patient et son confort d’écoute est un principe

“Des tests pour déterminer

le type de problèmes acoustiques.”

auquel il est attaché. “J’invite les patients à prendre rendez-vous deux fois par an pour contrôler leur audi- tion, nettoyer les appareils auditifs, et les régler si besoin” ajoute-t-il. Mais pour traiter les problèmes d’au-

Audition Nadler, c’est un dépistage, des appareils d’amélioration de l’audition, des appareils de protection auditive. Un service sur mesure.

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CETTE ANNÉE, ON NE S’ASSOIT PAS SUR LES SOLDES !

V A L D E M O R T E A U

Bienvenue au Panier Sympa Les Gras Fermée depuis trois mois suite au départ de l’an- cien gérant, l’épicerie des Gras est reprise par Laurence Boxberger sous l’enseigne Panier Sym- pa. Soulagement au village.

La SCP Romain FEUVRIER et Raymond POLATLI, Notaires associés, RECHERCHE

ge qui n’était pas pour déplai- re à Laurence Boxberger. Avec 30 ans passés dans le métier, l’heure était venue pour elle de gérer son propre commerce. “J’avais envie de m’épanouir professionnellement en restant dans un contexte de supérette de proximité” , explique celle dont la candidature a vite été retenue par la commune. Vient le temps de la remise au goût du jour de l’épicerie qui pas- se sous l’enseigne Panier Sym- pa, franchise du réseau Codi- france où l’on trouve aussi les magasins Coccimarket et Col- ruyt. “L’ouverture est pro- grammée début juillet” , annon- ce Laurence Boxberger. L’offre de produits est axée sur les besoins du quotidien : rayon

dans le cadre du développement de ses deux études de MAICHE et de MORTEAU.

“L es premiers à apprécier cette bon- ne nouvelle seront les Rosillards, noms des habitants des Gras, dont certains sont impatients de retrouver un commerce de proximité au village” , appré- cie Bernard Jacquet, le premier adjoint conscient de l’impor- tance de préserver ce qui consti- tue sans doute l’un des derniers points d’échange aux Gras. Pri- mordial pour les anciens par- fois reclus sur eux-mêmes. Tous regrettent le départ pour des raisons personnelles de Christophe Bredin qui a tenu pendant sept ans l’épicerie sous l’enseigne Vival. En quelques

Envoyer CV et lettre de motivation à : romain.feuvrier@notaires.fr raymond.polatli@notaires.fr

années, il était parvenu à déve- lopper l’activité, démontrant ainsi la viabilité de l’affaire dans une commune de 800 habi- tants, traversée matin et soir par des frontaliers. “Je suis

frais, fruits et légumes, épicerie, liquides mais aussi surgelés, dro- guerie et hygiène, dépôt de pain, gaz, presse quotidienne… Simple et efficace. “On sera ouvert du mardi

convaincu du potentiel, sans oublier que ce commerce alimentaire est aussi fréquenté par des habitants de Gran-

Morteau

“Je suis convaincu

Le lycée Edgar-Faure tient ses championnes

du potentiel” dit Bernard Jacquet.

d’Combe-Chateleu” , souligne l’élu en pré- cisant qu’il s’agit d’un local communal mis en loca- tion. Après le départ de l’ancien gérant le 30 avril dernier, la collectivité s’est mise en quê- te d’un repreneur. Un challen-

matin au dimanche midi” , com- plète la gérante qui se fait aus- si une joie de répondre aux besoins des associations locales quand elles organisent des ani- mations, repas, réceptions… n

A près être devenues championnes dépar- tementales puis d’aca- démie, Jeanne, ndréa et Typhaine ont été sacrées championnes de Fran- ce U.N.S.S. de badminton dans la catégorie lycée d’enseigne- ment professionnel. Un titre obtenu à Rouen lors de cette compétition organisée en avril dernier. Jeanne en terminale C.A.P. bijouterie, Typhaine et Andréa en terminale B.M.A. bijouterie (brevet des métiers d’art) étaient accompagnées d’Ève (1 ère année de C.A.P. bijouterie), leur entraî- Jeanne, Andréa et Typhai- ne sont championnes de France U.N.S.S. de bad- minton dans la catégorie lycée d’enseignement pro- fessionnel.

Forte d’une belle expérience dans le métier, Laurence Boxberger a choisi de gérer son propre commerce de proximité.

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neur, et Paul (1 ère année de C.A.P. bijouterie) en tant que jeune arbitre. Après une qua- lification aisée en matches de classement et en quarts de fina-

taines, “elles ont vu leurs efforts et leur implication récompen- sés. Leur succès va créer une vraie émulation au sein de l’as- sociation sportive du lycée

le, elles ont remporté la finale face au lycée Châ- teauneuf d’Argenton- sur-Creuse. Cette victoire acquise au terme d’une ren- contre très disputée per- met ainsi au lycée

Edgar-Faure” prédit leur professeur d’éducation physique et sportive Jacques Michel. L’an prochain, il devra composer une nouvelle équipe pour défendre ce titre puisque Typhaine

“Leur succès va créer une vraie émulation.”

MORTEAU

et Andréa quittent l’établisse- ment. À la rentrée prochaine, le professeur accueillera de nou- velles recrues dans le cadre de l’association sportive tous les lundis soir. n

Edgar-Faure d’obtenir son pre- mier titre de champion de Fran- ce des lycées professionnels. Pratiquantes au sein de l’as- sociation sportive du lycée depuis quatre ans pour cer-

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V A L D E M O R T E A U

Le futur visage de Morteau Urbanisme Les élus mortuaciens ont validé le nouveau Plan Local d’Urbanisme (P.L.U.) qui doit dessiner le visa- ge de Morteau pour les quinze prochaines années. L’enquête publique est ouverte.

pace, un développement cohé- rent de la ville, un défi écono- mique et un volet environne- mental.” En termes de consommation de l’espace, Morteau jouera désor- mais la carte de la sobriété. Entre 2007 et 2017, 33 hectares de la ville avaient été urbani- sés ou aménagés. “Sur les quin- ze prochaines années, l’exten- sion urbaine se limitera à 5,3 hectares, c’est quasiment six fois moins” confirme Cédric Bôle. À ces 5,3 hectares, il convient d’ajouter 4 hectares concernés par des opérations de “renou- vellement urbain”. Ce développement mesuré devrait permettre à Morteau de gagner 0,4 % de population en plus chaque année. “Cette aug- mentation que nous souhaitons modérée permettra de compter environ 8 000 habitants à l’ho- rizon 2030, contre 7 150 actuel- lement.” Où sera-t-il possible de construi- re dans les prochaines années sur Morteau ? Les terrains ouverts à la construction (en bonne partie du terrain privé) se situeront pour l’essentiel sur la partie arrière du Fort Madoux, sur les hauteurs de la ville, ainsi que dans les secteurs de Tout Vent et de la Baigne aux Oiseaux, dans le prolongement des lotissements récents. Quant aux 4 hectares concernés par de futures opérations de renou-

L’ancienne salle de

L e nouveau Plan Local d’Urbanisme mortua- cien entrera en vigueur “début 2019” indique le maire Cédric Bôle. Ce document qui régira toutes les règles en matière de construction et d’ex- tension de la commune a été approuvé à l’unanimité par les élus mortuaciens mi-mai. Fin juin s’ouvre une période de six mois d’enquête publique pen-

l’Évolution et l’ex-bâtiment de la D.D.E., propriétés de la ville, seront démolis pour laisser place à de nouvelles opérations immobilières.

dant laquelle les Mortuaciens pourront consulter ce futur P.L.U. et apporter leurs remarques au projet avant son entrée en vigueur. “Ce nouveau P.L.U., c’est la traduction concrè- te de la stratégie de développe- ment que nous avons souhaité pour cette ville, poursuit le mai- re. Cette stratégie comporte quatre axes majeurs : la modé- ration de consommation de l’es-

années un profond lifting . Ce secteur a vocation à devenir la future zone de loisirs de la ville avec la nouvelle salle des fêtes et tout autour d’autres activités qui pourraient ren- forcer son attractivité. Dans

vellement urbain, il s’agira du périmètre de la rue de la Gla- piney où des bâtiments comme l’ancienne salle de l’Évolution et le bâtiment abritant autre- fois la D.D.E. seront démolis pour laisser la place à de l’ha-

té inclure dans ce nouveau P.L.U. l’impossibilité pour les com- merces de la Grande rue et de la rue de la Gare de changer d’affectation. “Dans ces deux rues, un commerce ne pourra plus être transformé en banque, agence immobilière ou mutuel- le. Notre souhait est de garder une offre commerciale la plus diversifiée possible au centre- ville” insiste Cédric Bôle. Plus qu’un simple document d’urbanisme, ce nouveau P.L.U. se présente comme “une vraie stratégie de développement de notre ville” résume Cédric Bôle. L’aspect patrimonial n’a pas été mis de côté : un ambitieux pro- jet de restauration, et éven- tuellement d’extension du Châ- teau Pertusier, est également dans les cartons municipaux. n J.-F.H.

bitat neuf. “L’idée est de requalifier entiè- rement ce secteur situé entre le Châ- teau Pertusier et le prieuré de l’église” note le maire.

le prolongement, une zone de loisirs “verts” s’étendra jusqu’au bord du Doubs. Plu- sieurs parcelles proches de ce secteur gare seront concer-

“L’aménagement d’une voie de contournement du centre-ville.”

La zone dite “Fabi”, dans le quar- tier du Tremplin, devrait éga- lement connaître une grande opération de requalification. “Nous finalisons les accords avec le groupe Plastivaloire afin de reprendre la maîtrise foncière de ce secteur” observe le maire. Le quartier de la Gare subira lui aussi dans les prochaines

nées par un droit de préemp- tion renforcée de la Ville, afin de “permettre d’envisager un jour l’aménagement d’une voie de contournement du centre-vil- le pour la circulation de tran- sit.” Dans sa volonté de préserver l’attractivité du centre-ville, la mairie a également souhai-

Le secteur de la rue de la Glapiney sera concerné par une opération de requalification.

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L’homme volant du Saut du Doubs Villers-le-Lac Robin Georges a sauté la barre rocheuse du site touristique, haute de 22 mètres. Originaire de Thonon-les-Bains, le garçon est un profession- nel de la haute voltige qui a mesuré les risques. Un geste à ne pas reproduire !

dé des conseils : j’ai expliqué où était la réception optimale, qu’il fallait repérer avant dans l’eau. Y aller sans préparation est une très mauvaise idée.” Les touristes connaissent la chu- te d’eau magnifique, emblème de notre Haut-Doubs. Ils pour- ront désormais regarder l’hom- me volant. Car c’est certain, Robin reviendra. De quoi ravi- ver les souvenirs de l’abbé “volant” dans les années soixan- te, ou, plus près de nous d’Oli- vier Favre qui, en 1985, plongea de 54 mètres dans les bassins du Doubs. n E.Ch. La mairie de Villers-le-Lac ne fait aucun commentaire sur ce saut (d’ailleurs réalisé depuis le sol suisse). Elle n’a aucun pouvoir sur ce genre de dossier. “Je souhaite simplement que des personnes ne soient pas en admiration devant ce genre d’exploits et le fassent. Ce ges- te demande beaucoup de connaissance et de l’entraîne- ment” commente Dominique Mollier, maire. Le Saut du Doubs est aussi connu (malheureu- sement) pour être un lieu choi- si par des personnes voulant mettre fin à leurs jours. n “Je ne souhaite pas que des gens soient en admiration”

Les touristes de passage n’ont pas rêvé…

Robin est professionnel de haute voltige.

2,1 secondes en l’air. C’est le temps - à la fois court et telle- ment long - mis par Robin Georges pour décoller et atter- rir 22 mètres plus bas dans le bassin du Saut du Doubs. Beau- coup diront qu’il est fou, incons-

cient, tête brûlée. Lui répond que tout est préparé, calculé. Le jeune homme, plus que qui- conque, sait que l’erreur ne par- donne pas. “J’avais déjà sauté en août 2017 où j’avais pu repé- rer la zone de réception optimale qui est assez profonde, explique ce professionnel de la haute vol- tige. En mai dernier, c’était plus compliqué parce que le courant était très fort. Il fallait faire atten- tion pour ne pas rester coincé sous l’eau en raison de la puis- Ce saut de “dingue”, le jeune homme de 22 ans originaire de Thonon-les-Bains l’a réalisé à cinq reprises fin mai. “J’ai réa- lisé deux sauts droits et ensui- te j’ai sauté 3 fois en double saut périlleux avant avec demi-tour. Ce sont des figures que je maî- trise” explique Robin, simple- ment. Le garçon participe à des com- pétitions dans le monde entier sur des plongeoirs de 20 mètres. “Chaque jour, je m’entraîne : j’ai plus de 300 sauts à plus de 20 mètres à mon actif. À cette dis- tance, il faut être préparé car on sance du courant ! Avant de sauter, j’ai procédé à une heure de reconnais- sance dans l’eau où j’ai nagé avec une corde pour ne pas être emporté.”

arrive dans l’eau à 70 km/h… Ce n’est pas donné à tout le mon- de !” prévient le “sauteur”. Une mauvaise réception peut entraîner de graves lésions internes ou une perte de connais- sance, et la noyade si person- ne ne peut vous secourir. “Ce saut est un challenge mental dans un décor magnifique” pour- suit l’athlète qui a découvert cet- te passion en débutant par des sauts dans les calanques de Mar- seille. Il fait cela par passion, des compétitions internationales comme une prochaine en Grèce en juillet, et des spectacles” annonce le Haut-Savoyard. Les photos devant la chute d’eau prises par un photographe, là par hasard, ont fait le buzz sur Internet. La Compagnie des bateaux du Saut du Doubs les a partagées sur le réseau social. Elles ont été vues des centaines de fois. Mais encore une fois, un tel geste ne peut être réalisé que par un “pro”. “Si tu ne prends pas au moins 1,5 mètre d’élan, tu retombes dans les cailloux… prévient Robin. On m’a deman- pour l’adrénaline, et adore découvrir de nou- veaux sites. Ancien gymnaste, il s’est ensui- te perfectionné pour en faire son métier. “Je fais

Robin Georges en saut périlleux avant au Saut du Doubs.

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Morteau L’A.D.A.P.E.I. investit dans le Haut-Doubs

un à Morteau” résume le pré- sident José Gomes. La réhabilitation du foyer de Morteau et la création de 9 places de service d’hébergement en milieu ouvert ont été vali-

mentaires dites inclusives. Les personnes auront leur studio et seront plus autonomes” explique le directeur Franck Aigubelle. Les places sont convoitées. Bien

L’association - avec le Département - rénove et crée 9 places supplémentaires au foyer d’hébergement de Mor- teau. À Gilley, elle transforme 5 places pour accueillir des personnes handicapées vieillissantes.

L e 15 juin dernier, l’as- sociation départe- mentale des parents et amis de personnes handicapées men- tales (A.D.A.P.E.I.) tenait son assemblée générale à Baume- les-Dames. L’occasion de dres- ser un bilan sur l’exercice 2017 et d’évoquer les réalisations à venir. La structure accompagne 3 600 personnes handicapées mentales, polyhandicapées,

dées par le Conseil départemental en début d’année. Les études tech- niques préalables ont été conduites afin de fina- liser les documents nécessaires à la consul-

que 11 aient été créées en S.E.S.S.A.D. pour les sites de Maîche, Morteau et Pontarlier, les listes d’attente s’allongent. Dans la région de Besan- çon, environ 120 per-

3,5 millions d’euros pour Morteau.

autistes et emploie 2 000 per- sonnes dans le Doubs. “L’an- née écoulée a été particulière- ment riche et nous a permis de poursuivre la structuration de notre jeune association, née il y a 5 ans de la fusion. Notre asso- ciation doit relever des défis : les ressources pour garantir la qua- lité de nos accompagnements et nos principaux projets d’évo- lution de l’offre et du bâti. Nous avons trois projets majeurs dont

tation de la maîtrise d’œuvre. 3,5 millions d’euros seront inves- tis au foyer. “C’est une réhabili- tation lourde avec la création d’une structure annexe qui per- mettra de passer de 30 à 36 places, dont 9 places supplé-

sonnes sont ainsi en attente. Ce sont en général de jeunes enfants. À Gilley, l’association va trans- former à l’Unité de vie 5 places afin d’accueillir des personnes handicapées vieillissantes. “Cela

José Gomes, président de l’A.D.A.P.E.I. du Doubs (à gauche) et Franck Aigubelle, le directeur.

L’A.D.A.P.E.I. dit également suivre de près le dossier de l’éco- le de Montlebon qui accueille des enfants autistes. Si les bien- faits de l’inclusion de ces der- niers avec les autres écoliers ne sont plus à prouver, reste à leur trouver une solution une fois le collège arrivé. “L’État promeut l’inclusion. Nous avons un temps d’avance mais nous ne pouvons pas être les seuls à porter cela. L’Éducation nationale doit aus- si prendre sa part” termine le président. n E.Ch.

permettra d’atteindre l’équilibre budgétaire de la structure” pré- dit le directeur. Ces deux pro- jets seront menés de front avec ceux engagés dans le Pays de Montbéliard (la reconstruction de la Maison d’accueil spécia- lisée et le regroupement des structures enfance et adoles- cence sur deux sites). “Au total, nous allons investir 26 millions d’euros pour les cinq prochaines années, poursuit l’association. À l’heure d’aborder ces projets, notre situation financière est saine avec un résultat excédentaire.”

En bref…

l Fournets-Luisans Vendredi 6 juillet à partir de 18 heures, soirée festive à Four- nets-Luisans autour du jeu de quilles ainsi qu’une exposition-ven- te d’artisans et producteurs locaux. Une vingtaine d’exposants attendus (alimentation, couture, bijoux, déco, affûteurs : pensez à apporter vos outils à aiguiser). Buvette et restauration sur pla- ce (frites et barbecue à disposition où chacun pourra cuire sa vian- de achetée au boucher sur place). Jeu d’adresse pour les enfants et jeu de quilles pour les plus grands. Renseignements au 06 32 91 55 04. Un événement organisé par le comité des fêtes “L’avenir” de Fournets-Luisans. l Architecture Le C.A.U.E. du Doubs propose gratuitement aux habitants des communes labellisées “Cités de Caractère” un atelier de conseil sur les “procédures d’urbanisme et réhabilitation d’une maison en centre-bourg” le 29 juin de 14 heures à 17 heures à la ferme de Flagey. Inscription en ligne : http://vu.fr/x4R. Renseignements au 03 81 82 19 22 ou par mail : caue25@caue25.org. l Téléthon Vous êtes disponible 2 heures, 5 jours ou même 1 mois ? Le Télé- thon 2018 recherche des bénévoles dans le Doubs pour construi- re le Téléthon des 7 et 8 décembre prochains. En 2017, les béné- voles Téléthon dans le Doubs, ont organisé 110 animations qui ont permis de collecter 300 343 euros. Renseignements au 0800 695 501 ou sur benevolat.telethon.fr.

V A L D E M O R T E A U

La fruitière des Majors investit dans un nouveau magasin Villers-le-Lac

mages avant livraison. Face à la cave voûtée, un espace d’accueil pourra servir pour la projec- tion de vidéos ou pour des ani- mations en lien avec les produits qu’on trouvera sur place. “Ce nou- veau magasin permet de conser- ver du lien social. On tient enco- re à privilégier le contact et on n’est pas parti pour installer un distributeur de fromages. On réfléchit aussi pour étendre les plages horaires avec l’idée de tes- ter l’ouverture non-stop le same- di sachant qu’actuellement on ouvre ce jour-là de 16 heures à 18 h 30.” Le montant global de l’opération s’élève à 450 000 euros. n F.C. Maryse et Nadine, les vendeuses attendent avec impatience leur nouvel outil de travail. Fromager : Daniel Brenet Second : Jean-Philippe Poircuitte Apprenti : Élie Billod Deux vendeuses au magasin : Maryse et Nadine La Fruitière des Majors, c’est : l 12 exploitations l 3,1 millions de litres de lait transformés en comté l Affinage par la Maison Petite au fort Saint-Antoine l Cinq salariés :

Cette fruitière à comté mise davantage sur la ven- te directe avec un nouvel espace de vente tout neuf construit en retrait de l’atelier existant et qui ouvri- ra tout prochainement.

posait la question des mises aux normes notamment sur le plan de l’accessibilité. Une obligation qui n’était pas encore d’actua- lité à l’époque de la dernière modernisation de la fruitière en 2003. L’approvisionnement du magasin implique également de descendre au sous-sol où sont stockées les meules. “On tient à stocker séparément les fromages vendus au magasin. On souhai- te aussi étoffer l’offre de produits locaux” , indique Jean Faivre- Pierret, le président de la coopé- rative des Majors. Le chiffre d’af- faires actuel de la partie maga- sin s’élève à 350 000 euros. Après

À deux derrière le comp- toir, Nadine et Maryse les vendeuses sont effectivement un peu à l’étroit. “Surtout quand on doit préparer des commandes” , explique Nadine, ravie comme sa collègue de bénéficier bientôt d’un nouvel environnement de travail infiniment plus agréable et fonctionnel. “La mise en ser-

vice est prévue courant juillet. Il n’y a pas un caractère d’urgence sachant qu’on ne devra pas effec- tuer un transfert de matériel entre l’ancien et le nouveau magasin. On fermera l’un pour ouvrir l’autre” , indique François Villier, l’un des sociétaires de la fruitière qui supervisera la gestion du nouveau local commercial. Au-delà du manque de place se

réflexion et vu la complexité d’en- gager une extension de l’exis- tant, décision a été prise de par- tir sur du neuf. La fruitière avait déjà le foncier adéquat à l’arrière de la fromagerie. “On profite aus- si d’une conjoncture économique plutôt favorable sur la filière com-

en face de l’autre. Le bâtiment est désormais terminé. Il reste à finaliser les aménagements intérieurs qui font la part belle au bois. Tout est de plain-pied. La surface de vente s’étend sur 80 m 2 environ. “À l’arrière, on trouvera vestiaire, kitchenette,

Devant le nouveau bâtiment qui servira de magasin de vente directe, Jean Faivre- Pierret le président de la coop des Majors et François Vil- lier, autre société res- ponsable du magasin.

té” , admet le président. C’est le moment où jamais d’investir. La coop a confié la conception et le suivi du projet à la société Global Concept basée à Aman- cey. La charpente de la

bureau. Les clients auront aussi la possi- bilité de visualiser l’in- térieur de la cave reconstituée où seront stockés les comtés du magasin.” Au centre du bâtiment,

Une onjoncture économique plutôt favorable.

bâtisse provient de la scierie Mou- gin, histoire de conforter les rela- tions de bon voisinage entre les deux entreprises implantées l’une

une pièce est dédiée à la pré- paration des expéditions. Elle est adossée à la chambre froi- de où seront conservés les fro-

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Le journaliste du “Haut” qui colle aux crampons de l’équipe de France Coupe du Monde François Verdenet couvre en Russie son quatrième Mon- dial pour le magazine France Football et le journal L’Équi- pe. Sa spécialité : la bande à Deschamps. Confidences du journaliste foot du Haut-Doubs.

Pierre Ménès “Une demi-finale serait déjà un bon résultat pour la France”

Mondial ? P.M. : Neymar. Voilà trois mois qu’il se repose. C’est un mec qui a de l’or dans les pieds. Càd : Le vainqueur de cette édition 2018 ? P.M. : Le Brésil. n Recueilli par C.B. et J.-F.H.

C’est à dire : Quel est votre jugement sur l’état de forme de l’équipe de France alors que s’ouvre le Mondial ? Pierre Ménès : Le potentiel est là, il y a beaucoup de jeunes talen- tueux, mais je pense que c’est un peu tôt pour avoir des ambi- tions de succès final. On a un premier tour très facile, je pense qu’on va mettre 3 ou 4 buts à l’Australie, dont 2 de Giroud, mais ensuite évidemment les choses se compliqueront pour la Fran- ce. Une demi-finale serait déjà un bon résultat pour nous. Càd : Qui voyez-vous alors dans le carré final ? P.M. : Le Brésil, l’Allemagne et l’Espagne. Et donc peut-être la France. Càd : Un joueur qui va se révé- ler ? P.M. : Je ne serai pas très ori- ginal en disant Mbappé. J’ai vu Ronaldo débuter également : je peux dire qu’il n’était pas aussi fort que Mbappé à cet âge-là. Il n’a que 19 ans, je pense qu’il va atteindre un niveau inimagi- nable.

A vec Félix, le cadet de ses fils passionné de géographie, François Verdenet s’est amusé à compter. Résultat : le journa- liste a - depuis 2001 - couvert 170 matches de l’équipe de Fran- ce dans 72 pays différents et amassé de nombreuses accré- ditations, toutes rangées dans une pièce de son domicile où les maillots dédicacés des plus grands joueurs côtoient des pho- tos de lui posant avec Ribéry ou Benzema. Malgré les 17 années passées à suivre l’équipe de France dont le Mondial en Alle- magne (2006) ou l’Afrique du Sud (2010), les souvenirs revien- nent aussi vite que les courses en profondeur de Kylian Mbap- pé : “Ma première coupe du Mon- de comme journaliste accrédité, c’était en 2002 au Japon et en Corée… où la France ne passe pas le tour préliminaire et ne marque pas un but. Du coup, j’ai suivi l’équipe de Corée qui est allée jusqu’en demi-finale. J’ai manqué le Mondial 2014 car

France Foot n’est pas allé au Brésil pour raisons politiques” se remémore François Verde- net. Le 12 juin, l’habitant du Haut- Doubs (Malbuisson) a posé ses valises à Istra (70 km au nord- ouest de Moscou) où l’équipe de France a établi son camp de base. L’hôtel des journalistes est situé à moins de dix minutes de celui des Bleus. Si Griezmann et ses coéquipiers perdent en 1/8 èmes ou quarts de finale, il rentrera en France. “Je pense que la France ira en demi-fina- le” projette le spécialiste. À 46 ans, le journaliste sportif pour France Football fait par- tie “des anciens de la carava- ne de l’équipe de France” s’amu- se-t-il. Une assiduité, qui, for- cément noue des liens avec le staff et les joueurs. Fin mai, il était en Angleterre avec Hugo Lloris pour réaliser un portrait à paraître juste avant le Mon- dial. Avec Deschamps, il entre- tient de bons rapports “même si nous avons eu une période déli-

François Verdenet, journaliste à France Football, avec les accréditations accumulées depuis sa première Coupe du Monde, en 2002.

nal. “S’il réussit sa Coupe du Monde, il sera un potentiel Bal- lon d’Or.” La France est selon lui dans une position d’ outsider . L’ambiance au sein du groupe ? “Bonne, c’est un groupe sympa, répond Verdenet. Elle a la chan- ce d’avoir un coach comme Des- champs qui cadre tout et ne lais- se rien au hasard. Elle a plu- sieurs relais avec Lloris, Man- danda, Rami (comme ambian- ceur) et Griezmann comme leader technique” analyse-t-il. La seu- le faille des tricolores : la défen- se. “Sidibé et Umtiti ont respec- tivement 12 et 20 sélections, c’est peu. En 1998, la France a gagné avec sa défense Blanc-Desailly.” Vingt ans plus tard, les Fran- çais espèrent que les Bleus gagneront avec leur attaque de feu ! n E.Ch.

cate après l’interview-vérité de Benzema dans les colonnes de L’Équipe.” Depuis, “Dédé”, le sélectionneur, a passé l’éponge. François entretient également de bons contacts avec l’arrière- gauche Lucas Hernandez, nou- veau venu dans l’équipe de Fran- ce qui joue à l’Atletico Madrid et originaire de Belfort. Les codes des Bleus, le rédac- teur les connaît par cœur. La légitimité de son média lui per- met quelques passe-droits : “Il est plus facile de faire venir aux interviews des joueurs que pour d’autres médias” avoue-t-il. Mais la concurrence est rude. En parallèle des matches du Mon- dial, François s’occupera des transferts, un sujet chaud. Le cas Griezmann, en partance de l’Atletico, pourrait noircir quelques colonnes de son jour-

Pierre Ménès a été invité dans le Haut-Doubs début juin par l’enseigne Expert.

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3 - Contrat obsèques Ce contrat prend en charge tous les frais d’obsèques du contrac- tant. Il permet de soulager les proches dans ces moments diffi-

4 - Dépendance

toute la famille pour une ving- taine d’euros par mois. 2 - Capital en cas de décès Le contrat Capital décès protè- ge votre conjoint et votre famil- le en cas de décès. “Lors du décès, la famille perçoit l’intégralité du capital prévu dans le cadre du contrat” indique Martine Salvi. Cette somme est définie, en amont, avec le souscripteur. Par exemple, pour garantir un capi- tal de 30 000 euros, il versera 90 euros par an s’il a moins de 40 ans. On peut souscrire à ce contrat dès l’âge de 18 ans.

partielle ou totale Ce contrat est actif à partir du moment où la personne en per- te d’autonomie, quel que soit son

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âge, ne peut plus effectuer seule, trois de ces cinq tâches : se lever, s’habiller, faire sa toilette, man- ger, se déplacer. L’assurance

ciles sachant que le coût moyen des obsèques est de 5 000 euros. “On peut y souscrire dès l’âge de 50 ans” pré- cise Martine Salvi. Ce contrat est ados-

Il n’y a pas d’âge pour être prévoyant.

couvre alors une partie des frais inhérents à cette situation de dépendance à domicile ou en éta- blissement spécialisé. l

sé à un service personnalisé pour renseigner les proches sur les démarches à entreprendre lors du décès du souscripteur.

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Martine Salvi '+ !)( +!$($"*%+ +" )+ ( *&()' &()+'+ + $%#+ +

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'+ ' *&%+ +*!)( )# *% & * *# " Horaires d’ouverture : Lundi de 14 h à 18 h 30 - Du mardi au vendredi : de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h 30 - Le samedi de 9 hà 12 h

Depuis le 1 er janvier 2018, la loi Bourquin permet de changer d’assurance de prêt.

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