Journal C'est à dire 223 - Août 2016

Le journal gratuit du Haut-Doubs

29 août 2016 N° 223

Le journal du Haut-Doubs - www.c-a-d.fr

1, RUE DE LA BRASSERIE - B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX - T ÉL . 03 81 67 90 80 - redaction@-publipresse.fr I NFORMAT ION - R ÉDACT ION - PUBL I C I TÉ - ANNONCE S

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La F.N.A.C. ouvre fin septembre. Le chantier du magasin F.N.A.C. sur la zone com- merciale de Morteau s’achèvera avec deux mois d’avance sur le calendrier initial. Dans la foulée ouvrira le nouveau magasin Intersport. (page 4) L’école du Chauffaud est fermée. Après bien des polémiques, la petite école du hameau de Villers-le-Lac ne rouvrira pas ses portes pour la rentrée des classes. (page 7) Une maison de santé à Avoudrey. En 2018, le médecin, la pharmacie et les cabinets d’infirmières seront réunis dans un bâtiment entiè- rement réhabilité. (page 35) Péquignet au féminin. Florence Sentilhes a pris la direction de l’entrepri- se Péquignet à Morteau. Son ambition : faire de la marque le fleuron de l’horlogerie française. (page 38)

(Le dossier en pages 19 à 23)

R E T O U R S U R I N F O

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Déboisement des bassins du Doubs : “On nous mène en bateau !”

ÉDITORIAL

L’actualité bouge, les dossiers évoluent. C’est à dire revient sur les sujets abordés dans ses précédents numéros, ceux qui ont fait la une de l’actualité du Haut-Doubs. Tous les mois, retrouvez la rubrique “Retour sur info”. patron, il en dit long sur l’objectif : Bla-Bla. “Venez bla-bla thé autour d’un café” , une devise qui à elle seule fait parler. Le magasin est ouvert du lundi au vendredi de 6h à 19 heures, le same- di de 6 heures à 18 heures et le dimanche de 6 heures à 12 h 30. Et fermé le mardi. n Bonnétage : la boulangerie est ouverte

Nivellement Nicolas Sarkozy avait juré ses grands dieux qu’on ne l’y prendrait plus s’il perdait la présidentielle de 2012. Naturellement, loin d’aban- donner la politique comme promis, il décide de se représenter en 2017. Même constat pour François Hol- lande : s’il ne redressait pas les chiffres de l’emploi, il se retire- rait dignement de la politique. Résul- tat en cinq ans : 1 million de chô- meurs supplémentaires. Ce qui ne pas va l’empêcher, sans plus de vergogne, de solliciter à nouveau le suffrage des Français, arguant sans doute des quelques milliers de demandeurs d’emploi en moins qui dégonfleront les statistiques d’ici la fin de l’année. C’est la ren- trée, et avec elle s’ouvre une pério- de de neuf mois de pré-campagne électorale, primaires comprises. On pourrait s’attendre avec une poin- te d’impatience à une période riche en débats d’idées, en propositions fortes pour redresser la France. Hélas, les prémices de cette cam- pagne n’augurent rien de bon. Les premiers candidats sortis du bois à gauche (les Hamon et autre Mon- tebourg) multiplient les outrances et la surenchère d’idées farfelues, tandis qu’à droite les couteaux sont sortis. Et tandis que les poids lourds de ces primaires se rendront les coups, ceux qui n’ont aucune chan- ce d’émerger tenteront de faire entendre leur voix. Et par quel moyen formidable que tous les can- didats risquent d’user à l’excès : Twitter ! Ce formidable outil à hacher menu toute tentative de débats d’idées, ce réducteur de pensée, ce fatras d’idées reçues et de lieux communs, ce “vacarme de pépiements insipides” comme l’a justement décrit le philosophe Raphaël Enthoven. Les réseaux sociaux ont ceci de formidables qu’ils donnent à tous la possibilité de s’exprimer. Une sorte de nou- velle agora grecque. En revanche, revers rédhibitoire de la médaille, Twitter et autre Facebook procè- dent à une sorte de nivellement par le bas de la pensée où la remarque d’une Nabilla est mise au même rang que le commentaire d’un homme politique prétendant à des fonctions suprêmes. C’est en cela que la campagne qui s’ouvre s’annonce calamiteuse. L’outil réseaux sociaux qui donne une sor- te d’illusion de débat démocratique relègue en fait la pensée aux tré- fonds. La constitution, localement, de comités de soutien aux diffé- rents candidats aux primaires sera sans doute le meilleur format pour confronter, loin de la frénésie de la tweetosphère, les vraies idées - pour peu qu’elles existent - à l’ap- proche de cette année électorale 2017. Bonne rentrée à tous. n Jean-François Hauser est édité par Publipresse Médias 1, rue de la Brasserie B.P. 83 143 - 25503 MORTEAU CEDEX Tél. : 03 81 67 90 80 - Fax : 03 81 67 90 81 E-mail : redaction@publipresse.fr Directeur de la rédaction : Jean-François HAUSER Contact commercial : Anthony Gloriod au 03 81 67 90 80 Rédaction : Édouard Choulet, Thomas Comte, Frédéric Cartaud, Jean-François Hauser. Imprimé à Nancy Print - I.S.S.N. : 1275-8825 Dépôt légal : Août 2016 Crédits photos : C’est à dire, Micronora, S.P., Y. Orhan. Mots fléchés : Jean-Marie Steyner. A collaboré à ce numéro : David Aubry.

C’ est l’expression utilisée par un élu mortuacien à la communauté de com- munes du Val de Morteau, Clau- de Faivre, qui a souhaité réagir à l’article paru dans notre édition du début de l’été, consacré au projet de déboisement d’une par- tie des falaises dans les Bassins du Doubs. “Nouvel élu à la C.C.V.M., je découvre ce projet de déboisement d’une partie des falaises, qui a été discuté lors du précédent mandat. Ce projet est, à mon avis, inutile et coûteux, et comporte des risques de dégra- dation du site et de l’environne- ment” estime l’élu communau- taire. Selon lui, “excepté le défriche- ment des belvédères afin de déga- ger la vue et ouvrir des pers- pectives, travaux en l’occurren- ce de peu d’impact environne- mental, ce projet me semble plus que discutable et, les arguments pour le promouvoir, guère rece- vables. Mettre une partie des falaises “à blanc” ne saurait se justifier par un retour à l’état de nature. C’est tout le contraire. En effet, ces falaises blanches et nues, que l’on veut nous vendre comme un progrès, étaient le résultat d’une surexploitation de la forêt, pour les besoins du chauf- fage domestique et de l’industrie. C’était le résultat d’une dégra- dation du site sous l’effet de l’ac- tivité de l’homme, en un temps où il se pensait encore “maître et possesseur de la nature”. Celle- ci a repris ses droits : laissons- la tranquille” développe Claude Faivre qui n’accepte pas l’argu- ment du développement touris- tique soutenu par la plupart des autres élus communautaires et par les bateliers locaux. “Il paraî- trait, si l’on écoute les bateliers,

L’ événement était attendu par tout le villa- ge. Anciens comme nouveaux habitants avaient en effet à cœur d’avoir désor- mais leur propre boulangerie. Une réalité ren- due possible grâce à l’investissement de la com- mune et à l’envie d’un jeune boulanger. Le maire Stéphane Vermot l’avait indiqué dès le début de son mandat quand est né ce projet : la commune serait propriétaire et maître d’ou- vrage de cette construction. C’est bien le cas de cette impressionnante bâtisse alliant avec goût maçonnerie traditionnelle et bois. Elle joux- te la fromagerie, au centre du village et béné- ficie d’une agréable esplanade et de places de stationnement le long de la départementale, ce qui profite aux deux commerces. Un bel écrin dans lequel a pris place Aurélien Billod-Laillet avec un commerce qui propose boulangerie-pâtisserie et salon de thé, sans oublier les commandes événementielles. Le jeu- ne homme a déjà une solide expérience et de bonnes références puisqu’il a notamment tra- vaillé pour la maison Viennet à Villers-le-Lac. Depuis juin, ce nouveau commerce de proximité donne un peu plus de vie encore au village et entend bien s’y imposer comme un véritable lieu de rencontre. Le nom n’a d’ailleurs pas été choi- si au hasard. S’il reprend certes les initiales du

qu’abattre des arbres et dénuder des pans de falaises feraient affluer les touristes, qui seraient friands “d’effet canyon”. Ce surcroît d’at- tractivité n’est que pure conjec- ture, que ne valide aucune étu- de. C’est de la prospective au doigt mouillé, sans doute dans l’eau des bassins. L’hypothèse inverse, celle d’une diminution de la fréquentation en raison d’une perte d’authenticité est tout aus- si probable, voire plus, car elle est en cohérence avec l’évolution des mentalités” analyse M. Faivre qui termine par cette question : “Comment une hypothétique aug- mentation de la fréquentation tou- ristique pourrait-elle justifier de dégrader un des plus beaux sites de Franche-Comté, justement classé “Grand site national” ? Ce projet qui, sans réaction citoyen- ne deviendra réalité, sent le siècle dernier. Il est ringard et coûteux.” Par sa réaction, Claude Faivre espère lancer “un débat citoyen, nécessaire et que j’espère fruc- tueux.” Aux promoteurs du pro- jet d’affûter désormais leurs argu- ments pour lui répondre. Le débat est ouvert. n Déboiser les falaises des Bassins du Doubs pour favoriser la fréquentation tour. Bonne ou mauvaise idée ?

Aurélien Billod-Laillet dispose d’un bel outil de travail propriété de la commune.

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Juliette Labous, double championne de France

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Juliette Labous (V.C. Morteau- Montbenoît), sacrée championne de France, future star du cyclis- me français.

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U ne pépite cette Juliette Labous. Pour le cyclisme féminin et pour ceux qui la côtoient, la sociétaire du vélo-club de Morteau-Montbenoît est un modèle. Domiciliée à Roche-lez- Beaupré, elle a une nouvelle fois porté haut les couleurs du V.C.M.M. lors des derniers championnats de France juniors qui se sont déroulés en août. La jeune fem- me a remporté les deux maillots tricolores mis en jeu en terminant loin devant dans l’épreuve du contre-la-montre et en matant ses

adversaires lors de l’épreuve en ligne. “Autant j’étais la favorite au contre-la-montre, autant rien n’était fait pour la course en ligne, dit-elle après coup. Ces deux titres me boostent pour la fin de sai- son.” Avec Morteau, elle dispu- te une manche de coupe de Fran- ce (le 26 août) puis participera aux championnats d’Europe et du Monde en octobre. Elle espè- re y décrocher une médaille. La cycliste, qui poursuit ses études en D.U.T., devrait encore faire par- ler d’elle… n

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La F.N.A.C. ouvre ses portes fin septembre L’enseigne multimédia tant attendue dans le Haut-Doubs ouvrira avec deux mois d’avance sur le calendrier initial. Intersport ouvrira quelques jours plus tard (voir plus bas). Morteau

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L es travaux de réhabi- litation des locaux de l’ancien magasin Inter- marché touchent à leur fin. Dans quelques semaines ouvriront deux enseignes, sans doute futures locomotives du commerce mortuacien : la F.N.A.C. et Intersport. L’ouver- ture de ces deux enseignes était annoncée pour les fêtes de fin d’année. C’est donc avec deux mois d’avance que ces commerces ouvriront leurs portes, la F.N.A.C. avant la fin du mois de sep- tembre. “Toute la coque inté-

rieure est terminée, les gondoles et les présentoirs viennent d’ar- river, il ne reste plus qu’à récep- tionner et installer les produits. Tout le monde est prêt” note le gérant de la franchise. Le recrutement des salariés de la F.N.A.C.-Morteau est termi- né. Les équipes sont en cours d’immersion à la F.N.A.C. de Bel- fort pour se familiariser aux pro- duits et au métier et dès début septembre ils seront sur le pont à Morteau pour s’imprégner de leur mission. “Entre 17 et 20 per- sonnes seront embauchées dès le

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démarrage annonce la direction du magasin : des vendeurs en produits techniques, des ven- deurs en produits éditoriaux (livres, D.V.D., etc.) et des per- sonnes affectées au service client (billetterie, gestion des com- mandes par Internet…).” Les commandes sur Internet seront un des points forts du maga- sin F.N.A.C. de Morteau. “Si les gens passent commande sur le site Internet de la F.N.A.C. avant 18 heures, ils pourront retirer le produit au magasin dès le len- demain avant midi. C’est un des atouts majeurs de l’enseigne” ajoute le gérant. Selon le réseau F.N.A.C., le magasin de Morteau devrait attirer une clientèle à 45 minutes à la ronde, jusqu’à Frasne, Sâone et Saint-Hippo- lyte. Sans compter la clientèle suisse qui, malgré l’ouverture prochaine d’une F.N.A.C. à Neu- Un nouveau bardage extérieur marquera l’entrée du magasin Intersport, contigu à la F.N.A.C.

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veau bâtiment vient de démar- rer, situé entre la future F.N.A.C. et l’ancienne menuiserie Gau- me aujourd’hui démolie. Ce bâti- ment commercial abritera trois nouvelles enseignes sur 1 400 m 2 au total : Orchestra (mode pour enfants), une enseigne de chaus- sures moyen et haut de gamme baptisée “Onz” et une troisième dont l’identité n’est pas encore connue. Ces nouveaux com- merces ouvriront leurs portes à la fin du premier trimestre 2017. Avec la F.N.A.C., Intersport et ces trois futures enseignes, c’est l’attractivité commerciale du Val de Morteau qui y gagne encore, notamment par rapport à Pon- tarlier. C’est également bon pour l’emploi local : une cinquantai- ne de créations d’emploi accom- pagnent l’arrivée de ces enseignes. n J.-F.H.

châtel, y trouvera largement son compte. Avant l’ouverture de la F.N.A.C. et d’Intersport, le parking situé entre Bricomarché et Kiabi (400 places) sera entièrement réno- vé, “avec des nouveaux éclai- rages et des espaces verts sup- plémentaires.” Si on compte toutes les places de parking gra- tuites sur l’ensemble de la zone commerciale, “les clients ont plus de 1 000 places à disposition.” Avec cette ouverture à Morteau, l’enseigne F.N.A.C. poursuit sa stratégie d’expansion dans les petites et moyennes villes, là où elle n’était pas présente jus- qu’alors. “Le magasin de Mor- teau constitue la 21 ème ouvertu- re au format de proximité en France ” confirme le service com- munication de la F.N.A.C. Toujours sur la zone commer- ciale, la construction d’un nou-

L’aménagement intérieur du magasin F.N.A.C. a démarré le 22 août avant l’ouverture prévue fin septembre.

Le futur Intersport crée son équipe Morteau En octobre, l’enseigne de distribution d’articles de sport ouvre ses portes dans l’ancien Intermarché zone de la Tanche. Valentin Bobillier, le directeur, ter- mine les recrutements fin août. Une histoire de famille…

A vec l’ouverture du magasin Intersport à Morteau prévue début octobre à Morteau, c’est l’aventure “Bobby Sport” qui revient à Morteau. Les nos- talgiques se souviendront. Fils de Philippe Bobillier alias “Bob- by” et petit-fils de Pierre, Valen- tin Bobillier poursuit l’aventu- re familiale lancée en 1948 en

te d’articles de sport. Est-ce un bouleversement commercial ? Les porteurs du projet rassu- rent : “Au lieu d’aller à Pontar- lier ou Besançon, les clients vien- dront ici. Ceux qui cherchent des articles premium iront par exemple à Sport Aventures ou Velorun. La clientèle restera ain- si sur Morteau. Nous capterons la clientèle dite d’évasion” pré- disent les entrepre- neurs. créons entre 15 et 20 emplois” témoigne Valentin Bobillier, le directeur qui a fourbi ses armes commerciales dans des enseignes de sport à Avoriaz. Les premiers candidats ont été reçus à Pôle emploi Morteau en juillet. L’objectif est de terminer le recrutement avant la fin août. Les postes recherchés : vendeurs, responsables de rayons, hôtesses D’ici à l’ouverture, le gérant, à l’image d’une équipe de sport, com- pose son collectif. “Nous

de caisse, poste en logistique, administratif et comptable. “Nous avons reçu de bons pro- fils, commente Valentin Bobillier. On tente de privilégier les locaux, insuffler de la rigueur tout en travaillant dans une bonne ambiance.” Le magasin ressemblera à tous les Intersport de France avec, néanmoins, 20 % d’articles liés aux spécificités locales. 19 uni- vers seront disponibles, du tex- tile au running en passant par les chaussures, les sports de raquette, les sports collectifs, l’univers vélo et ski. Le maga- sin espère rayonner sur les zones de chalandise du Haut-Doubs mais aussi de Suisse. Ouver- ture en octobre. n Valentin Bobillier, directeur du futur Intersport Morteau, accompagné de Philippe, son père, ancien responsable de “Bobby sport Morteau”.

ouvrant un magasin d’articles de sport sous l’enseigne nationale “Intersport”. Le maga- sin de 2 000 m 2 - dont 1 600 m 2 de surface

“Responsables de rayons, comptable…”

commerciale - ouvre en octobre dans les anciens locaux du maga- sin Intermarché zone de la Tanche. “La nature a horreur du vide. Nous avons saisi cette opportunité” témoigne Philippe Bobillier, père de Valentin, Mor- tuacien d’origine qui réside désormais à Serre-Chevalier. Cette arrivée s’ajoute à l’offre déjà présente en matière de ven-

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Villers-le-Lac

La réaction de Dominique Mollier M ise en cause par le collec- tif de parents d’élèves, Mada- me le maire de Villers-le-Lac Dominique Mollier précise d’em- blée qu’elle a elle aussi subi la décision de l’Inspection d’Aca- démie et regrette que les argu- ments mis en avant ne s’appuient en rien sur l’intérêt de l’enfant et sur la pédagogie. “La volonté de l’Éducation Nationale est aujour- d’hui de regrouper pour former des équipes pédagogiques et évi- ter l’isolement des enseignants comme des enfants ” avance-t- elle. Pour le reste, elle regrette d’avoir signé la pétition soumise par les parents au conseil muni- cipal. “Nous l’avons fait sous la pression et je souligne avoir affai- re à des gens qui contestent tout et n’acceptent pas la contradic- tion. J’en ai également marre des attaques à répétition, blessantes pour moi en tant que maire et pour les autres élus eux aussi attaqués.” Dominique Mollier n’en dira pas plus si ce n’est que l’affaire est désormais dans les mains de la Justice et qu’elle appliquera la décision comme elle le fait depuis le début. “En m’appuyant d’ailleurs sur les chiffres fournis par la direc- trice à l’Inspection dès janvier. Les chiffres officiels.” n

École du Chauffaud : chronique d’une fermeture contestée De longues semaines d’occupation de l’école et des argu- ments en nombre n’auront pas suffi à infléchir la décision de l’Inspection d’Académie. Les enfants du Chauffaud n’iront plus dans leur école mais dans celle du Centre. Épilogue au goût amer pour des parents qui se sentent trahis.

P our qui ne connaît pas le hameau du Chauffaud situé sur le terri- toire de la commune de Villers-le- Lac, il suffit de prendre une petite rou- te qui grimpe dans la forêt à côté de la douane. “On est à 8 km du centre à une altitude de 1 150 m, soit un fort déni- velé” explique Amaury de Cadeville au nom des parents d’élèves de ce petit coin de France bien connu des fronta-

l’Inspection d’Académie, seuls les chiffres comptent.” Des effectifs que les parents d’élèves ont recensés pour les trois pro- chaines années, signatures à l’appui, et qu’ils jugent stables voire en légère aug- mentation. “L’Inspection n’en a pas tenu compte se contentant de ses propres pro- jections.” Pour eux c’est clair, c’est un modèle d’école qui est visé. Deux classes avec l’une regroupant les

liers. Ils sont en effet nom- breux à passer par là chaque jour. “On dénombre 8 500 véhi- cules quotidiens sur une rou- te dangereuse, encore plus en

enfants de petite section de maternelle au C.P. et l’autre du C.E.1 au C.M.2, voilà la configuration de l’école du Chauffaud. Comme les

Pas de cris d’enfants dans la cour du Chauffaud en cette rentrée. Plus jamais peut-être, à moins que la Justice…

La justice saisie sur le fond et sur la forme.

Une concentration voulue par l’État et qu’aurait selon le collectif de parents d’élèves laissé faire Madame le Maire. “Elle a rencontré l’Inspection déjà à l’été 2015 pour évoquer l’avenir des écoles de la commune et on sait maintenant que son soutien n’était que de façade. Pire pour le collectif, devant le tribunal admi- nistratif saisi en référé fin juin, un mémoi- re a été déposé par la mairie “en soutien à la décision de fermeture” accuse-t-il.

Déboutés, les parents ont fait appel mi- juillet et attendent maintenant un nou- veau jugement sur la forme du Conseil d’État. Le fond ne sera évoqué que plus tard. En attendant, la cour d’école du Chauffaud sera silencieuse lors de cet- te rentrée. Et l’ambiance sans doute très lourde dans la commune lors des mois à venir. n

classes uniques du Bizot ou de Cernay- l’Église ces dernières années, ce systè- me multiniveaux semble bel et bien condamné (voir à ce propos l’interview de l’inspecteur d’académie en page 32). “En regroupant tous les enfants au Centre, on va avoir l’école la plus grande du sec- teur, une des plus grandes du départe- ment” se désole Amaury de Cadeville.

hiver, une route sur laquelle circulera désormais le bus qui conduira les enfants au centre.” Un argument fort auquel les parents sont très sensibles et qui vient s’ajouter à celui du maintien dans ce hameau d’une vie locale, comme le reven- diquent chaque année les villages tou- chés par les fermetures de classe. “Aucun de ces arguments n’a été entendu par

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Politique Les Primaires dans le Haut-Doubs

Zoom Et si finalement Bruno Le Maire… Il est souvent présenté comme le troisième homme, celui qui complétera le trio de tête derrière le vainqueur, Sarkozy ou Juppé selon les sondages. Les partisans de Bruno Le Maire refusent cette fatalité des urnes, croyant plus que jamais aux chances de leur candidat.

En charge de l’organisation des Primaires de la droite et du centre dans le Doubs, Annie Genevard, députée-maire de Morteau revient sur cet exercice démocratique qui permettra de désigner en novembre prochain le candidat de cette large famille politique à la Présidentielle de 2017.

“J’ ai été désignée par tous les grands candidats à ces primaires” souligne l’élue par ailleurs connue pour apporter un soutien indéfectible à François Fillon. Cette désignation prouve selon elle ses capacités à organiser avec impartiali- té ce scrutin et à garantir la bonne conduite des opérations, de façon égale et impartiale. “Ces primaires sont très encadrées par la pro- cédure mise en place au niveau national” explique Annie Genevard qui assiste régulièrement à Paris aux réunions de la commission présidée par le député Thierry Solère. “Dans le Doubs, nous aurons 85 bureaux de vote en place les dimanches 20 et 27 novembre.” Un choix déter- miné selon la densité de population. Ainsi, Pon- tarlier comptera quatre bureaux dont un réser-

vé aux électeurs des environs. Morteau en aura deux avec un autre à Villers-le-Lac et un der- nier aux Fins. Un bureau sera également dis- ponible à Maîche pour les volontaires qui sou- haitent participer à cette désignation. Sans être nécessairement adhérent ni même sympathi- sant des Républicains ou d’un parti partenaire. “Certes, ce n’est pas un exercice naturel pour notre famille politique mais c’est une bonne chose et dès le résultat connu, quel que soit le candi- dat, nous saurons nous rassembler.” Le risque de divisions durables n’inquiète donc pas l’élue qui espère voir une participation forte à ces Primaires afin de donner toute légi- timité au candidat retenu de représenter, puis de faire gagner, son camp politique. n

R éférente départementale pour la can- didature de Bruno Le Maire, Jacque- line Cuenot-Stalder, aujourd’hui conseillère départementale a juste- ment appris à connaître et apprécié cet élu natio- nal lors de sa campagne sur le canton de Mor- teau. “Il incarne pour moi le renouveau de la classe politique et me semble beaucoup plus proche des réalités quotidiennes des gens.” Réa- lités en milieu rural notamment puisqu’il fut pendant près de trois ans ministre de l’Agri- culture “apprécié dans ce milieu” ajoute celle qui relaie ses idées dans le Doubs. “Il est beau- coup sur le terrain, hors des sentiers battus et à l’écoute des électeurs” poursuit-elle non sans faire le parallèle avec un autre jeune loup en politique qui dans les années soixante a occu- pé le même poste et avait la même aisance, un certain Jacques Chirac. Reconnu pour la modération de ses prises de parole, loin des polémiques, Bruno Le Maire a axé sa campagne sur l’échange et la création d’un programme participatif, appuyé sur ce qu’il voit et entend au quotidien. “Il est proche des inquiétudes des Français donc il les écoute beau- coup et en tire des propositions concrètes.” Il entend notamment apporter la culture du résul- tat propre au domaine privé dans la gestion des fonds publics avec par exemple la privatisation de Pôle Emploi, celle aussi des agents des col- lectivités locales ou encore avoir une gestion plus accrue et transparente des aides sociales. Enfin, au niveau international, il est de longue date partisan d’une intervention terrestre en Syrie pour éradiquer Daesh. “Sur le terrain,

Politique

Fidèles à Alain Juppé Initié dans le Val de Morteau, le comité de sou- tien à Alain Juppé sur l’ensemble du Haut-Doubs a été officialisé à Pontarlier le 18 juin avec l’appui de Jean-François Longeot.

comité sur le Haut-Doubs avec deux porte-parole : Claude Meu- nier sur le Haut-Doubs Horlo- ger et moi-même sur le Haut- Doubs forestier” , indique Jean- François Ligier, le maire d’Hou- taud. D’autres élus locaux com- me Philippe Alpy, Gérard Dèque, Albert Rognon étaient présents le 18 juin dernier à Pontarlier pour officialiser ce comité du soutien. “Jean-Marie Saillard, le président de la communauté de communes des Hauts du Doubs vient de nous rejoindre” , se réjouit Jean-François Ligier. “À l’échelle nationale, on recen- se plus de 200 comités et près de 1 000 maires favorables à la can- didature d’Alain Juppé”, com- plète Alain Loriguet, le maire de Thise qui préside la coordi- nation départementale liée à ces comités de soutien. Pourquoi Alain Juppé ? Tous voient en lui l’homme de la situa-

C laude Meunier ancien élu de Grand’Combe- Chateleu avait créé en mai dernier le premier comité. Suite à cette initiative,

d’autres élus et sympathisants au maire de Bordeaux souhai- taient, en quelque sorte, élargir ce dispositif. “On peut aujour- d’hui considérer qu’il y a un seul

nous croyons vraiment à une victoire car nous avons une bonne marge de progression et de très bons retours lors de ses déplacements” conclut Jacqueline Cuenot-Stalder. n D.A. Ici avec Bruno Le Maire, Jacqueline Cuenot- Stalder poursuit dans le Doubs la campagne de terrain de son candidat.

zier, président départemental du MoDem. “Son âge, c’est un avantage car il mènera les réformes jusqu’au bout sans le souci de faire un autre mandat. Il a l’expérience et la recon- naissance des erreurs du passé” , renchérit Gérard Dèque, maire de Métabief et président de la communauté de communes Mont d’Or-Deux Lacs.

Ce comité de soutien va se mobi- liser davantage à l’approche de la primaire de la droite et du centre qui aura lieu les 20 et 27 novembre. “Cette primaire est ouverte à tous les électeurs. On prévoit d’organiser quelques réunions d’information à partir de la rentrée sans que le calen- drier soit encore finalisé” , sou- ligne Jean-François Ligier. n

didat qui va promettre quelque chose pour être sûr d’être réélu. Il a une qualité : il tranche. Si

tion capable de rassem- bler, d’agir. “Le pays demande d’avoir quel- qu’un qui a solide expé- rience. Ce ne sera pas

on lui confie le pouvoir, c’est bien pour prendre des décisions” , estime le séna- teur Jean-François Lon- geot. “C’est le candidat du

“Il a une qualité, il tranche.”

Le comité de soutien à Alain Juppé sur le Haut-Doubs a été présenté le 18 juin dernier à Pontarlier en présence de Jean-François Longeot.

suffisant de changer de majori- té pour passer aux commandes. Alain Juppé ne sera pas un can-

rassemblement non pas seule- ment d’un camp mais des Fran- çais” , complète Laurent Croi-

Association La colonie du Barboux en sursis

taires ce qui portreait à 140 à 160 couchages, ce qui permet- trait de développer l’accueil de classes vertes. “Il faut ouvrir à tout public pour ne pas mettre la clé sous la porte car nous avons beaucoup d’atouts ici. Nous sommes régulièrements complets” poursuit Bruno Ubbiali. La qua- lité du personnel en est une. 90 % des animateurs sont d’anciens colons. Tous les étés, ce sont 60 personnes qui sont embauchées ici. Animateurs, cuisiniers, la “colo” du Barboux est une entre- prise. Reste le nerf de la guer- re : l’argent. Des soutiens finan- ciers sont actuellement recher- chés. Au fil des années, l’association s’est laïcisée avec un objectif : permettre aux enfants dont les parents sont dits de classe moyenne de partir en vacances. “Les parents de classe moyenne n’ont en général aucune aide de la C.A.F. Avec nos prix, nous

li confirme cet état de fait ampli- fié aujourd’hui par la crise que subissent ce type de structures en France : “Nous avons réali- sé un audit. Dans 5 ans, nous n’existerons plus. Nos locaux doi- vent être rénovés pour répondre aux normes d’accueil sinon nous ne passerons pas le prochain cap” témoigne le vice-président. Le constat est posé. Reste à trou- ver les solutions pour éviter la fermeture de cette institution née en 1939 restée ouverte durant la guerre, sauf en 1942, puisque les Allemands avaient réquisitionné le mobilier. La solution pour continuer, le conseil d’administration l’a défi- nie : il faut rénover et construi- re un nouveau bâtiment (entre les deux fermes) mais aussi déve- lopper le nombre de couchages entre 40 et 60 lits supplémen-

L’institution née en 1939 a accueilli des centaines de jeunes bisontins dans cette ancienne ferme du Haut- Doubs léguée à la paroisse de Saint-Claude. Problè- me : elle doit être rénovée et remise aux normes. Sans cela, c’est la mort annoncée. Un projet est lancé.

D ans la cour d’entrée, les enfants jouent sous l’œil des animateurs. Dans ce décor magni- fique surplombant les gorges du Doubs, la colonie du Barboux est un havre de paix où 96 jeunes venus de la région de Besan- çon (mais aussi pour certains de Paris) découvrent le charme du Haut-Doubs. La “colo” du Barboux a permis à de nombreux Bisontins de découvrir les sapins. D’après “la légende”, c’est le curé de la parois- se Saint-Claude à Besançon, le

Père Bernard, qui remporta l’an- cienne ferme lors d’une partie de cartes en 1939. L’agriculteur, Narcisse Buliard et le curé avaient alors dans l’idée d’em- mener des enfants de la ville s’aérer à la montagne. En 2016, l’insouciance des vacances ferait presque oublier que cet espace juché à 1 037 m d’altitude en face de la Suisse doit négocier un virage. Si elle ne le prend pas, ce sera la fer- meture. Impensable. Vice-pré- sident de l’association “La colo- nie du Barboux”, Bruno Ubbia-

La colonie du Barboux cherche des fonds pour créer un nouvel espace.

quelques pas. Les deux centres collaborent dans l’accueil des jeunes enfants. La carte com- munale du village doit être révi- sée afin que la colonie puisse devenir une zone de loisirs. Les années à venir seront cruciales. Reste à trouver ce financement. n E.Ch.

faisons de la mixité une politique forte” témoigne M. Ubbiali. Ce virage est pris en lien avec la mairie du Barboux et son mai- re Dominique Rondot : “Nous sommes impliqués dans ce pro- jet” relate le premier magistrat qui est également propriétaire d’une ferme découverte située à

AU CENTRE VILLE DE MORTEAU

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LIVRAISON DÉBUT 2017

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T3 avec jardin/terrasse T2 avec jardin/terasse T4 avec jardin/terasse

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V A L D E M O R T E A U

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Morteau Une nouvelle saveur pour la Morteau

En bref…

Le programme l Dès 10 heures place de l’Hô- tel de Ville, des stands de ven- te de saucisse de Morteau et de 10 heures à 12 heures, Fran- ce Bleu Besançon animera en direct l’émission “Samedi chez vous”, avec Dominique Morize. l De 10 h 30 à 12 heures, pré- sélections pour le Concours Général Agricole 2017, et le Concours régional “Saucisse de Morteau I.G.P. 2016”. l Dès 12 heures : début des inscriptions à la course. Top départ donné à 13 heures. l De 12 h 30 à 18 heures : ani- mations autour des produits régionaux (quiz, animations culi- naires…), démonstrations de fabrication de saucisse de Mor- teau. l De 18 heures à 19 heures, la cérémonie officielle, en présen- ce de l’Harmonie municipale de Morteau, remise des prix et lots, remise des prix du concours régional “saucisse de Morteau I.G.P. 2016” et tirage au sort du jeu d’énigmes. l De 20 heures à 22 heures, dîner traditionnel franc-comtois animé par le groupe pop-rock Seed, suivi d’une soirée-concert inédite jusqu’à 1 heure avec le groupe Arcadian (candidat à la saison The Voice 5).

l Concert Après le succès de son pre- mier concert l’an dernier à Mor- teau, l’ensemble de chant russe Yaroslavl’ revient à l’église de Morteau pour présenter son nou- veau programme “Chants ortho- doxes de Russie et d'Ukraine” le 25 septembre à 17 heures (ouverture des portes à 16 h 15). Dix-huit chanteurs, dont huit professionnels, constituent aujourd’hui le chœur, dont les deux solistes russes Yaroslav Ayvazov (basse) et Irina Solo- matina-Tissot (soprano). Ils pré- senteront quelques pièces du répertoire orthodoxe slave, entre autres des pièces de l’âge d’or du chant russe (début du XX è- me siècle). Entrée libre, collec- te. l Tourisme Dans notre édition de l’été dont le dossier était consacré aux “chambres d’hôtes de charme du Haut-Doubs”, nous avons omis de mentionner dans l’ar- ticle relatif à l’histoire de ces hébergements l’existence de la maison d’hôtes “Chez les Colin” à Hauterive-la-Fresse. Dont acte. Pionnière dans son style, Christiane Colin a créé sa mai- son d’hôtes en 1979. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce lieu : www.chezlescolin.fr.

Pour remplacer le défunt “Flambée de la Mor- teau” qui ne convenait plus, l’association A2M lan- ce une randonnée cycliste et pédestre samedi 10 septembre, à la veille du départ du Tour du Doubs cycliste. Dégustations et concerts prévus.

12 km, ponctués par des étapes chez les adhérents A2M pro- posant ravitaillement et énigmes à proximité de fermes à tuyés. C’est place de la Hal- le, à Morteau, que s’effectue- ront départ et arrivée, vente de produits, grand repas franc- comtois et animations musi- cales en soirée. La Morteau ten- te donc de renouer avec son pas- sé festif après s’être envoyée en l’air à plus de 30 000 m d’al- titude à l’aide d’un ballon-son- de en 2015. La “Morteau mobi- le” sera également de la partie. Cette manifestation lance par- faitement le Tour du Doubs cycliste, épreuve cycliste réser- vée aux professionnels qui débu- te dimanche 11 septembre. Des grands noms du cyclisme fran- çais seront présents au départ à Morteau à l’instar de Thibaut Pinot. Présentation des cou- reurs à 11 heures rue Aristide- Grappe (vers le lycée) pour un départ réel aux Fins. Arrivée jugée à Pontarlier. n Renseignements : “Morteau cyclo Rando” samedi 10 septembre de 10 heures à 1 heure place de l’Hôtel de Ville à Morteau. Inscriptions cyclo et circuits V.T.T. sur vcmorteaumontbenoit @orange.fr et www.saucissedemorteau.com

sportif et gourmand, qui invi- tera les sportifs et les familles, à pied ou à vélo, à réaliser l’une des boucles de la randonnée qui traversera le Haut-Doubs, depuis la ville de Morteau” indique la société chargée de promou- voir le produit pour A2M. “Il fallait remettre cette manifes- tation au goût du jour et inté- grer davantage les salaisonniers pour qu’ils se sentent concernés. Les premiers retours semblent positifs” , rapporte Joël Pour- chet, membre d’A2M et repré- sentant de la filière porcine. Les distances des parcours s’échelonnent de 13 à plus de 100 km pour les boucles V.T.T. et cyclo, avec également deux itinéraires pédestres de 6 et

E xit “le Flambée de la Morteau” et son tuyé installé place de l’hô- tel de ville. Place à la M.C.R. pour “Morteau Cyclo Rando” samedi 11 septembre. Les nostalgiques se souvien- dront des milliers de badauds réunis au centre-ville pour fêter

ce sa saison avec un nouveau rendez-vous sportif et gour- mand. La manifestation est pilotée par l’association de défense et de promotion des charcuteries et salaisons I.G.P. de Franche- Comté (A2M) en partenariat avec le Tour du Doubs Cyclis- te et le vélo-club de Morteau- Montbenoît. La mairie n’appa- raît pas. “C’est un rendez-vous

la saucisse. Désormais, la “Morteau” lan-

La Morteau mobile sera de la partie pour une “fête de la

saucisse” nouveau genre.

BAISSE D’AUDITION ? La solution en 5 étapes Les problèmes d’audition dus à l’âge sont fré- quents. Aujourd’hui, plus personne n’est obligé d’en souffrir car il existe des solutions adaptées à chaque personne, quels que soient son âge, son degré de perte auditive, son style de vie ou son budget. Mais peu d’entre vous connaissent les dé- marches à entreprendre. Voici les 5 étapes à suivre pour retrouver vos capacités auditives au plus vite. 1/ consulter un ORL SRXU FRQÀUPHU YRWUH perte d’audition et obtenir une prescription 3UHQGUH UHQGH] YRXV FKH] XQ 25/ HVW OD SUHPLqUH FKRVH j IDLUH ,O YRXV IDLW SDVVHU XQ ELODQ DXGLWLI FRP- SRUWDQW XQ H[DPHQ GH OҋRUHLOOH HW XQ WHVW GҋDXGLWLRQ DÀQ GH FRQÀUPHU YRWUH SHUWH DXGLWLYH /H PpGHFLQ 25/ YRXV GpOLYUH HQVXLWH XQH SUHVFULSWLRQ GҋDLGH DXGLWLYH j UHPHWWUH j OҋDXGLRSURWKpVLVWH YRXV UHQGUH FKH] XQ DXGLRSURWKpVLVWH SRXU être informé et conseillé sur les solutions 6SpFLDOLVWH GH OҋDSSDUHLOODJH DXGLWLI WLWXODLUH GҋXQ GL- SO{PH GҋpWDW OҋDXGLRSURWKpVLVWH HVW OD SHUVRQQH TXL YRXV DFFRPSDJQH GH ERXW HQ ERXW GDQV OH FKRL[ HW OҋDGDSWDWLRQ GH YRWUH DLGH DXGLWLYH ,O SUHQG GҋDERUG OH WHPSV GH YRXV pFRXWHU HW GH YRXV SUpVHQWHU OHV GLI- IpUHQWV W\SHV GҋDSSDUHLOV LQWUD DXULFXODLUHV FRQWRXUV GҋRUHLOOHV SXLV LO YRXV FRQVHLOOH HQ IRQFWLRQ GH YRWUH SHUWH GҋDXGLWLRQ HW GH YRV EHVRLQV SHUVRQQHOV 3/ procéder à votre appareillage FKH] YRWUH DXGLRSURWKpVLVWH /ҋDSSDUHLOODJH QpFHVVLWH SOXVLHXUV YLVLWHV 9RWUH DXGLRSURWKpVLVWH UpDOLVH GҋDERUG XQH HPSUHLQWH GH FKDFXQH GH YRV RUHLOOHV HW SUpSDUH HQVXLWH YRV DLGHV DXGLWLYHV /RUV GH OD YLVLWH VXLYDQWH LO OHV SODFH GDQV YRV RUHLOOHV HW SURFqGH VXU YRXV j GLIIpUHQWV DMXVWH- PHQWV HW UpJODJHV ,O YRXV GRQQH pJDOHPHQW WRXWHV OHV LQVWUXFWLRQV SRXU OҋXWLOLVDWLRQ HW OҋHQWUHWLHQ GH YRV DSSDUHLOV 9RXV YRLOj pTXLSp

4/ Vous adapter DX SRUW GH YRWUH DLGH DXGLWLYH /ҋDGDSWDWLRQ GH YRWUH DLGH DXGLWLYH GHPDQGH XQ SHX GH WHPSV 9RXV OHV SRUWH] TXHOTXHV KHXUHV SDU MRXU SRXU FRPPHQFHU HQ UHJDUGDQW OD WpOpYLVLRQ RX HQ GLVFXWDQW 9RXV IDLWHV SDUW GH YRV SUHPLqUHV VHQ- VDWLRQV j YRWUH DXGLRSURWKpVLVWH TXL DPpOLRUH OHV UpJODJHV GҋDSUqV YRWUH H[SpULHQFH 3HQGDQW OD Sp- ULRGH GҋDGDSWDWLRQ QҋKpVLWH] SDV j SDVVHU FKH] YRWUH DXGLRSURWKpVLVWH SRXU DYRLU GHV FRQVHLOV HW DPpOLRUHU YRWUH FRQIRUW 5/ 3URÀWHU SOHLQHPHQW GH YRWUH DSSDUHLOODJH HW YLYUH $SUqV TXHOTXHV MRXUV YRXV DYH] UHWURXYp XQH ERQQH DXGLWLRQ GDQV YRV GHX[ RUHLOOHV 9RXV SRXYH] j QRX- YHDX HQWHQGUH FRPSUHQGUH HW YRXV VHQWLU j OҋDLVH HQ WRXWHV FLUFRQVWDQFHV 3RXU FRQWLQXHU j SURÀWHU GH OD YLH FRPPH YRXV OҋHQWHQGH] 2WR 5KLQR /DU\QJRORJLVWH VSpFLDOLVWH GH OҋH[DPHQ HW GX WUDLWHPHQW FKLUXUJLFDO GX QH] GH OD JRUJH HW GH OҋRUHLOOH 0RQVLHXU )UpGHULF 1$'/(5 XQ SURIHVVLRQQHO GH OҋDXGLWLRQ DWWHQWLI SUqV GH FKH] YRXV $XGLRSURWKpVLVWH GLSO{Pp 0U 1$'/(5 YRXV DFFXHLOOH GDQV XQ HVSDFH VSpFLDOHPHQW DPpQDJp SRXU OD SULVH HQ FKDUJH GH YRWUH FRUUHFWLRQ DXGLWLYH ,O PHW j YRWUH VHUYLFH VRQ VDYRLU IDLUH VD FDSDFLWp GҋpFRXWH VD GLVSRQLELOLWp HW VHV FRQVHLOV DYLVpV SRXU pWXGLHU HW WURXYHU DYHF YRXV OD VROXWLRQ GҋDSSDUHLOODJH TXL YRXV FRQYLHQW 0RQVLHXU 1$'/(5 YRXV JDUDQWLW pJDOHPHQW OH VXLYL HW OҋHQWUHWLHQ GH YRWUH DLGH DXGLWLYH SRXU XQH VpUpQLWp WRWDOH DX TXRWLGLHQ 9RWUH DXGLRSURWKpVLVWH VHUD WUqV KHXUHX[ GҋHQJDJHU OH GLDORJXH DYHF YRXV QҋKpVLWH] SDV j SRXVVHU GqV DXMRXUGҋKXL OD SRUWH GX PDJDVLQ

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V A L D E M O R T E A U

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Un effet Euro dans les clubs de foot ? Sport Après un été très sportif marqué par l’Euro de foot, le Tour de France puis les Jeux Olympiques, l’heure est à la reprise dans les clubs amateurs. Notam- ment chez les footballeurs où le bon comportement de l’équipe de France ne sera sans doute pas sans conséquences.

O n se souvient d’un temps où les Bleus refusaient de des- cendre de leur bus se mettant tout simplement en grè- ve. Des frasques hors terrain de quelques-uns qui ont défrayé la chronique. D’attitudes jugées

méprisantes vis-à-vis de leurs supporters… Bref, les footbal- leurs n’étaient pas au mieux dans le cœur des Français, enfants en tête, qui, au-delà des résultats purement sportifs, s’éloignaient peu à peu de ce football de haut niveau… “On

a vu les retombées négatives en 2010 après la coupe du Monde en Afrique du Sud” se souvient Pascal Boillot, président du F.C. Morteau-Montlebon qui se veut donc optimiste et pense bien voir ses effectifs augmenter après les exploits de la bande à Didier

Deschamps avec Griezmann, Payet, Pogba et compagnie qui se sont montrés abordables et sympathiques avec le public. “Nous encadrons déjà 200 jeunes répartis dans 14 équipes. Il est évident que les pros ont une vraie valeur d’exemple et qu’on le res- quelques kilomètres de là, au S.C. Villers-le-Lac où le prési- dent Francis Chopard avoue lui aussi porter une attention tou- te particulière à ses jeunes joueurs qui sont plus de 150 aujourd’hui. “L’image renvoyée par les professionnels et par l’équipe de France en particulier sent quant au respect envers les éducateurs et les adversaires.” Même analyse à

a changé en effet et ce qui s’est passé à l’Euro est très positif” admet-il, tout en soulignant aus- sitôt ne pas s’attendre pour autant à un afflux d’inscriptions : “Il y a 20 ans oui, après une coupe du Monde comme 98, on voyait le nombre de licences aug- le cas.” Aujourd’hui en effet, le dirigeant note des arrivées à la rentrée de septembre mais par- fois pour quelques semaines seu- lement, pour un simple essai de la pratique de ce sport en club. “On est dans une époque de consommation y compris pour les loisirs des enfants avec des menter fortement et des gamins qui venaient pour la sai- son mais ce n’est plus

parents qui veulent voir ce qu’ils auront comme prestations.” Cette attitude nouvelle se com- bine avec une offre de disciplines sportives de plus en plus nom- breuses notamment sur le sec- teur de Morteau, autant de pos- sibilités offertes aux familles qui donc testent avant de s’engager dans la durée. D’où une obli- gation pour toutes les associa- tions : “Si nous voulons main- tenir nos effectifs, il faut avoir un encadrement solide et com- pétent qui réponde à ces attentes et à cette exigence.” C’est au moins aussi important pour le football amateur que ce qui se passe au niveau des clubs et des équipes nationales. n D.A.

L’importance de l’encadrement.

Parmi les jeunes joueurs d’aujourd’hui figurent peut-être les stars de demain qui serviront d’exemple aux futures générations…

Morteau 44 000 euros par les fenêtres ? L’exposition participative sur le Pays Horloger réalisée à partir d’une collec- te d’objets précieux aux yeux de ses habitants n’est pas à la hauteur de ses prétentions et de son budget. À voir tout de même jusqu’au 18 septembre.

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L a démarche est louable mais le résultat, il faut se l’avouer, est très moyen. Rien de grave pour une exposition, si cette dernière n’avait pas coûté si cher : 44 000 euros. À se demander ce qui justifie un tel budget vu le dépouillement de la salle. Visible jusqu’à la mi-septembre à la salle du Temps présent du château Pertusier de Morteau, l’exposition “Dites et montrez votre Pays Horloger” a sans doute raté sa cible. Le “livre d’or” laissé à la disposition des visiteurs sous forme de paper- board témoignait de la décep- tion du public : “C’est ça votre expo Pays Horloger ? Eh bien il est minablement représen-

té.” Ou encore : “Autant d’ar- gent dépensé pour 15 objets, quelle honte !” Sévère, mais en bonne partie justifié. Si cette exposition financée par de l’argent public pour moi- tié par la Direction régionale

faim. Les textes accompagnant les objets - des ruches, des maillots du club cycliste V.C.M.M., et même quelques présentoirs désespérément vides ! - n’étaient guère plus attrayants.

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des affaires cultu- relles (D.R.A.C.) et pour l’autre par le syndicat mixte du Pays Horloger a réussi, point positif, à faire travailler

Écrits par le socio- logue de la D.R.A.C. Noël Barbe, ces textes explicatifs ne reflétaient que très partiellement le parler du pays.

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Les phrases font plus penser à du Ch’ti qu’à du parler local.

ensemble des témoins et des habitants du secteur et à pré- senter tout de même quelques beaux objets comme cette cais- se d’horloger itinérant, pour ce qui est de l’ensemble, on est franchement resté sur notre

L’emploi intempestif de la for- mule “hein” dans les textes fai- sait plus penser à du Ch’ti qu’à du parler local. Cette exposition a été créée pour être itinérante. À ce jour, on ne sait pas encore quelle commune ou école est candi- date pour l’accueillir. Concernant le budget de 44 000 euros, le syndicat mix- te du Pays Horloger précise que “ce n’est pas forcément le montage de l’exposition qui a coûté ce prix mais avant tout le long travail de recueil de témoignages mené par les socio- logues de la D.R.A.C.” Ce tra- vail de recueil fera l’objet d’un rapport détaillé qui sera dif- fusé à la rentrée. Gageons qu’il contiendra une mine d’infor- mations précieuses pour la mémoire de ce Haut-Doubs horloger. Sans quoi, ce budget sera difficile à digérer pour les contribuables locaux. n J.-F.H.

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L’exposition présente en une quinzaine de panneaux des objets chers aux habitants du Haut-Doubs horloger.

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