La Presse Bisontine 50 - Décembre 2004
VOS RÉACTIONS
Chaque mois, une rubrique est consacrée au “courrier des lecteurs”. Retrouvez sur le site de besac.com une sélection d’articles parus dans La Presse Bisontine. Nous publions un extrait des réactions des internautes. Courrier des lecteurs 4
L’ancienne directrice de l’A.D.I.L. se défend D ROIT DE RÉPONSE
re de communication, le site internet a été refondu. - L’exercice 2003 a certes connu une baisse d’activités mais vous auriez pu lire dans le compte-rendu de l’assem- blée générale que cette baisse était due au fait que l’équipe des juristes (5) n’avait pu être au complet durant toute l’année, entraînant de facto unebaissedesconseils juridiques. Concernant 2004, le budget est effectivement difficile car l’activité Étudesest en recul par rapport auxannées précédentes, la D.D.E., notre principal “commanditaire” ne pouvant faire réali- ser les études prévues, faute d’un bud- get conséquent dans ce domaine. Endéfinitive, je jugeparticulièrement indé- cente la prise de position de votre article sur la fiabilité de mon recrutement, qui je vous lerappelleaétéeffectuéparuneper- sonne aujourd’hui décédé et qui ne peut plus vous apporter son point de vue. Je regrette de la part de votre journal le trai- tement qui a été fait de ce sujet. Jetiensàdirequependantles13moispas- sés à l’A.D.I.L., j’ai pris mon travail à cœur, avecpassion,lamêmequecellequeClau- de Girard avait pour les dossiers du loge- ment. C’estsoussaprésidencequel’A.D.I.L. estdevenueuneA.D.I.L.performante,recon- nue de tous, innovante au sein du réseau français des A.D.I.L. et au sein de laquelle laplupartdessalariésactuelsontétérecru- tés. Pour ma part, je regrette que le temps nem’ait paspermisdedévelopper davan- tagelesprojetsquenousavionspourl’A.D.I.L.. Est-cesi facilede juger les résultatsdu tra- vail d’une personne après seulement 13 mois d’activités ? ! Myriam Decœur-Michel
Réponse à l’article paru dans notre dernier numéro, intitulé “le second souffle de l’A.D.I.L.” Depuis le décès de Claude Girard, pré- sident du Conseil général et président de l’A.D.I.L. du Doubs, l’A.D.I.L. n’avait effectivement plus de président jusqu’à la récente nomination de Claude jean- nerot aumois de juillet. Le contexte, j’en conviens, explique les doutes, les inter- rogations des salariés de l’A.D.I.L. J’avais cependant pris l’attache du cabinet du président très rapidement après son élec- tion à la présidence du Conseil général afin dem’entretenir avec lui de l’A.D.I.L., de son fonctionnement et notamment du recrutement du poste de chef du P.D.A.L.P.D. qui devenait vacant, recru- tement dont il m’avait d’ailleurs confié le lancement. Aussi c’est avec incompréhension et indi- gnation que j’ai découvert à la lecture de votre article des propos anonymes de salariés de l’A.D.I.L., et qui rajoutés aux faits que vous alléguez sont contraires à la réalité, diffamatoires et injustes. Votre journal aurait pu avoir l’honnêteté intel- lectuelle de me contacter avant de rédi- ger cet article, qui s’apparente à un véri- table procès d’intention. J’ai souhaité quitter l’A.D.I.L. pour des raisons personnelles et familiales et j’ai fait part de ma démission sans ambiguï- té au président du Conseil général qui a d’ailleurs saluémon travail à l’A.D.I.L. lors
dudernier conseil d’administration et tout particulièrement pendant la période d’in- térim suite au décès de Claude Girard. Je vous demande donc de bien vouloir rétablir la vérité sur : - mon recrutement : de quel droit peut- on remettre en cause son caractère impartial ? J’ai moi-même aussi répon- du à une petite annonce à l’A.P.E.C. et je tenais à vous préciser qu’avant d’oc- cuper ce poste, j’étais directeur de cabi- net du président du Conseil général du Jura. J’avais donc une expérience de la gestion d’équipe, des relations avec les collectivités et de l’ensemble des partenaires d’un département. - le bilan de l’A.D.I.L. : je conteste l’idée selon laquelle aucune actionn’a été entre- prise. dès mon arrivée en mai 2003, j’ai rencontré l’ensemble des partenaires de l’A.D.I.L., Agence foncière, A.D.E.D., C.A.U.E., H.D.L. avec qui nous avions décidé de monter des réunions sur l’ha- bitat dans les cantons après les élec- tions. J’étais en relation avec la D.D.E., la Chambre des notaires, la C.C.I., la C.A.G.B., l’U.N.C.M.I., Logissim, les agences immobilières, la C.A.F… - J’ai travaillé en étroite collaboration avec l’A.D.E.D. et les partenaires du logement pour lamise en place d’une cellule d’ac- cueil des nouveaux arrivants dans le Doubs. - Sous ma direction, l’A.D.I.L. a été cer- tifiée I.S.O. 9 001-version 2000. Enmatiè-
Vente du Plazza et du Vox Espérons que ces locaux ne serviront pas encore de bureaux à une banque ou autre établissement dans le genre. Pourquoi ne pas faire un centre culturel ou un lieu d’exposition ? Oui pourquoi pas un lieu culturel et d’exposition ? Parce que ce n’est pas lucratif et aussi parce que la politique culturelle de la ville laisse beaucoup à désirer. Peut-être qu’un jour, juste avant les pro- chaines élections munici- pales, entendrons-nous à nouveau parler de la S.M.A.C…Peut-être qu’un jour la ville de Besançon prendra des initiatives inno- vantes… En attendant, il faut aller voir ailleurs ! !
Terrain illégal des Tilleroyes
Le problème, c’est que per- sonne n’est responsable. C’est lamagie de ces grandes administrations. Une “conne- rie” est faite mais personne n’est coupable. Ce n'est pas moi, c’est le bureau d’à côté ! Et ça fait tellement de peine, que personne ne va chercher à savoir qui est vraiment res- ponsable. Pourtant, cette
affaire ne devrait-elle pas pas- ser en justice ? Est-ce que si un particulier s’était permis la même chose, les consé- quences seraient lesmêmes ? Les élus s’étonnent ensuite que lors des élections, l’abs- tention batte des records. Et comme toujours, jamais per- sonne ne se fera taper sur les doigts. C’est lamentable. !
Voilà un bon sujet de réflexion. Qui est fautif de la situation pré- occupante pour l’étude de nos prochains soignants. Comme pour le budget de l’hôpital de Besançonmais surtout la région est l’éternelle oubliée. Pourtant, nous en avons eu des res- ponsables politiques de chaque bord qui pouvaient doter la région de moyens.Mais encore une fois, il n’y a pas de plans à long terme qui peuvent se concrétiser. En plus, personne n’a voulu prendre des mesures pour faire face au besoin suivant l’augmentation de la population. Trop de médecins à un moment donné puis pas assez aujourd’hui. Et maintenant, il y a Bruxelles qui ne permet plus d’avoir des budgets élastiques. C’est bien mais quand l’État à vécu tou- jours avec des moyens élevés, ce n’est pas facile de changer. Besançon toujours en retard de 20 ans. Ce n’est pas d'au- jourd’hui et il faut constater que la région Franche-Comté est le parent pauvre de la France. ! Rentrée difficile en médecine
F ort de ses 55 commerçants adhérents dans des secteurs d’activités très variés (vêtement, fleuriste, libraire, vins…), la carte Client Roi connaît un succès grandissant auprès des consommateurs comme en témoignent les 20 000 possesseurs actifsde lacarteClient Roi . Cetteannée, les responsables de Client Roi ont voulu récom- penser leurs clients qui durant l’opération Coup Double conduite du 4 au 16 octobre ont réalisé le plus de passages de cartes, en les invitant à une soirée spéciale cinéma à l’occasion de la sortie du dernier film d’Étienne Chatiliez. ”C’est la première fois que nous conduisons ce typed’opération, il nous semblait important de remercier nos clients. Plus de 400 clients ont ainsi été invités. Ce type d’événe- ment permet de renforcer la notoriété de Client Roi auprès de nos clients mais également d’ inciter d’autres commerçants à rejoindre l’équipe dyna- mique de Client Roi. Sur l’opération Coup Double, nous avons recensé plus de 6 672 passages de cartes ce qui représentent 2 382 clients “ conclut Luc Dutruy, président de Client Roi Besançon. ! Client Roi récompense ses clients
La soirée Client Roi a connu un vif succès. De nombreux cadeaux ont été distribués au cours de la soirée organisée au cinéma Marché Beaux-Arts (D.V.D., lecteurs D.V.D. bons d’achats Client Roi, places de cinéma, parapluies…)
Une opération dont La Presse Bisontine et le Cinéma Marché Beaux Arts étaient partenaires.
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