MeteorologiskeObservationerKøbenhavn

q u ’on trouv e p o u r chaqu e mois et pour l’année p ages X L II—X L IV ainsi que pour les quinquennium s à p artir de 1 8 3 1 . Pour les années 1 8 2 5 — 2 6 la qu an tité d ’eau tom b ée a été interpo lée d ’après Lund par simple p ro p o rtio n basée su r 5 8 ans d ’o b ­ serv ation s sim u ltan ées; mais on n ’y a eu recours que quand la continuité l ’exigeait. A u tab leau 1 0 , pages 6 6 — 6 7 , les tranches 1 1 — 2 0 donn en t quelques m oy enn es et ex trêm e s etc., des qu an tités d ’eau tom bée. Su r la sécheresse absolue de février et d ’avril 1 8 4 2 nous pouvons rép éter ce q u ’en relate n o tre source d ’information, savoir que ch aqu e fois on trouv ait tro p peu d ’eau pour faire un relevé. Q u an t au m axim um d ’eau tom b ée en 2 4 heures, 6 1 mm,9 en juin 1 8 4 9 , le ra p p o rt dit que le pluviom ètre av ait d éb o rd é, (v. p ages X L IV—XLV). Voici quelques chiffres en dehors du tableau 1 0 . L ’é c a r t f a i t a v e c l a n o r m a l e ex céd a 5 ° % dans 3 7 cas sur 1 0 0 , comm e m oyenne de tous les m ois; le plus faible écart moyen, celui de sep tem b re, fut 1 7 % ; le plus fort 5 7 °/0, en février. Parm i les s a i s o n s c ’est l’été qui, pour Copenhague, a la plus forte moyenne, savo ir 1 7 8 mm, l’au tom ne ay an t i 6 2 mm; toutefois en 3 0 ans sur 7 2 l’au tom ne a vu tom b e r plus d ’eau que l’été, et souvent à profusion, p ar exem ple en 1 8 2 1 (automne i 8 6 mm, été 5 6 mm), en 1 8 2 4 ( 2 5 9 et 1 4 8 ), en 1 8 3 4 ( 1 9 5 et 7 4 ), en 1 8 3 5 ( 1 4 4 e t 5 7 ) etc.; d e 1 8 8 0 à 1 8 9 3 le cas s ’est p résen té 8 fois, le d ern ier eu lieu en 1 8 9 3 (automne été I 2 6 mm). Bien q u ’à Copenhague l’hiver et le printem p s donn en t con sidé­ rab lem e n t moins d ’eau que les d eux autres saisons, savo ir: resp. H 4 mm et io 8 mm, n o tre série n ’en com p te pas moins 6 hivers et 6 p rintem ps qui chacun à p art dans son année, a été la plus hum ide des quatre saisons. E n g ro u p a n t p a r q u i n q u e n n i u m s l a q u a n t i t é d ’e a u t o m b é e a n n u e l ­ l e m e n t , y com pris 1 8 2 5 — 2 6 et 1 8 9 4 — 9 5 , on a (page 6 8 , tableau 1 1 ) en tantièm es % de l’éca rt fait avec la normale, la quantité d ’eau tom b ée de 5 en 5 ans. On n ’a p as réussi à co n stater la m o ind re concordance entre le nom bre des tach es solaires et la qu an tité d ’eau tom bée. Pour la p a rt de L und en Scanie, T i d b l o m a trouvé une p ériode de 1 0 ans, assez n ettem en t accen tuée relative à la quantité d ’eau tom b ée du ran t la série d ’années 1 8 4 8 — 1 8 7 0 en so rte que les années dont le dernier chiffre est de 3 à 7 , fournissent moins d ’eau que les au tres, savoir 4 9 1 mm au lieu de 5 2 9 mm, et il ajoute, en l’app liqu an t à nom b re de station s eu ropéennes un calcul analogue qui sem ble confirmer une p ériodicité de 1 0 ans dans la quantité d ’eau tom bée. Pour Copenhague nous ne trouvon s pas ce tte période, car les années qui se term inent p ar 3 — 7 , donn en t en m oyenne 5 6 2 mm, les au tres 5 6 omm, tandis que nous constatons que la quantité d ’eau tom b ée à C op en h ag u e d u ran t les années finissant p ar o — 4 a été de 5 8 omm, celle des au tres 5 4 1 mm. 49 7

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