København_1925

des Vierteis der Gesandtschaften, des Adels und der grossen Gesellschaften, welche Grundstiicke besitzen, dieses vornehmen Vierteis, wozu auch die Bredgade gehort. Kurz darauf stehen wir am N y ­ havn, einem schmalen Kanal, der mit seinen bei- den Kaistrassen, von denen die eine mit anhisan- ten alten Håusern bebaut ist, bis in das friihere Centrum der Stadt, Kongens Nytorv hineingreift. Wenn auch Kongens Nytorv nicht mehr der Mit-

» Skandinavia«, å coté du palais Thott, termine la série de facades qui forment autour de cette place, la plus belle de Copenhague, un cadre vraiment monumental. Au milieu de la place, un parterre de fleurs par- fumées dessine ses arabesques sous les vieux arbres qui s’élévent comme une coupole au-dessus de la statue équestre de Christian V par le Francais L’Amoureux. Les Copenhaguiens l’appellent tout

Christiansborg' Slot og Frederik VII Statue. — Christiansborg Palace and the Statue of Frederik VII. — Chåteau de Christiansborg et la Statue de Frederik VII. - Schloss Christiansborg und Standbild von Frederik VII.

simplement »le cheval«; pour eux, c’est un but, un lieu de rendez-vous. Aller »du cheval« de Kongens Nytorv au kiosque de la place de l’Hotel-de-Ville est la promenade favorite de tous, c’est passer le »Strøget« (Corso). Toute la journée et bien aprés minuit, la foule suit ce ohemdn, terrée, variée, ani- mée. »Strøget« est pour Copenhague ce que Pica- dilly est pour Londres, le Boulevard des Italiens pour Paris et Unter den Linden pour Berlin, et cela non moins en été, alors que les nombreux touristes donnent aux rues et aux places un coloris international. Les rues étroites et tortueuses, dont le plan et la direction ont å peine changé depuis 2 0 0 ans, peuvent å peine contenir la foule qui cul- mine entre 2 et 5 heures de l’aprés-midi, mais c’est

telpunkt fiir den Verkehr im modernen Kopen­ hagen ist, so ist er doch noch ohne Vergleich der ansehnlichste Platz der Stadt. Hier liegt das Kd- nigliche Theater und Opernhaus, das herrliche alle Gebåude der Koniglichen Akademie aus dem Jahre 1672, Charlottenborg, wo die jåhrlichen Kunstausstellungen stattfinden, das »Thottsche Palais«, jetzt franzosisches Gesandtschaftspalais, 1685 aufgefuhrt fur den Seehelden Niels Juel; ein paar niedliche Empiregebåude von dem hoch an- gesehenen dånischen Architekten Harsdorff (Nr. 5, und Holmens Kanal Nr. 2, das friihere Erichsens Palais, das sich jetzt im Besitz der Handelsbank befindet.) Schliesslich Skandinaviens grosstes Etablissement fiir Manufakturwaren Magasin du 25

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