København_1925

Umgebung, Prinsens Palæ m it dem Altnordischen Museum und der Antikensammlung auf der In- nenseite der Kanåle und durch den malerischen Stadtteil Christianshavn jenseits der Hafenein- fahrt, verstårkt. Sie wird bei einem jeden, Einhei- mischen sowie Fremden einen unvergesslichen Eindruck zuriicklassen; sie wird das Bild von Ko­ penhagen zu der reinen, allumfassenden Sphåre der åsthetischen Geniisse gleichsam emporheben.

l’image historique, car c’est presque la méme acti- vité, les mémes intéréts qui se montrent å nous lå, comme ceux que l’évéque Absalon protégeait con- tre les attaques de la plage ouverte il y a 800 ans environ. La statue d’Absalon semble s’animer, et l’évéque, en casque et en cuirasse, peut, de son che­ val, regarder par dessus ce inouvement et ce trafic jusqu’au Slotsholm ou il avait construit le premier fort protecteur de »Kopmannæhafn« et créé ainsi

Frue Kirkes Hovedindgang. — The Cathédral »Our Lady«. Main entrance. — La cathédrale, Notre Dame. Le portail principal. — Dom, Frauenkirche. Haupteingang. ies conditions nécessaires au développement de la ville.

So nehmen wir selbst das Bild in uns auf, wåh- rend wir in diesem Augenblick auf dem Amager­ torv verweilen. Bald beginnen die Gårtnerfrauen von Amager (Kopenhagens Blumen- und Kiichen- garten) ihre Blumenpracht zum Verkauf auf dem Højbroplatz zu entfalten, und auf dem Kai am Gammel Strand bieten die Frauen von Skovshoved den in vergangener Nacht im Øresund gemachten Fang lebender Fische feil. Ein buntes und la r­ mendes Volks- und Handelsleben wird sich rings um den Sockel der Reiterstatue des Bishofs Absa­ lon entfalten. Weit davon entfernt das historisclie Bild auszu- loschen oder zu verfluclitigen, werden diese E r- scheinungen der Gegenwart es im Gegenteil unter- 35

Pendant des siécles, la ville est restée dans ce cadre étroit. A part la construction du quartier de Christianshavn, au commencement du XVIle siécle, Copenhague ne s’est vraiment agrandie qu’au milieu du XIXe siécle, lorsque les derniers remparts du temps de la renaissance ont été dé- truits. C’est pourquoi on trouve encore dans l’in- térieur de la cité ces ruelles étroites et tortueuses. II a b\en été démoli et reconstruit quelques chose ca et lå, mais cela ne saute pas aux yeux, en tout cas pas au »Strøg«, la route que l’on suit pour aller å la place de l’Hotel-de-Ville. Pourtant on n’v trouve pas non plus de tres antiques constructions

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