København_1925

leichte Beforderungsmittel, dass es so gut wie von allen Burgern der Stadt, ohne Riicksicht auf Ge- sellschaftskreise und Stand, denen sie angehoren, benutzt wird. In jedem Alter huldigen beide Ge- schlechter begeistert dem Radfahrsport. Man kann ruliig annehmen, dass von Kopenhagens 725,000 Einwohnern 400,000 Radfahrer sind, wenn natur- licli auch nicht bei jeder Gelegenheit oder zu jeder Jahreszeit.

Le tram passe ensuite devant le Théåtre Dag­ mar, puis å l’Axeltorv devant l’entrée principale de Tivoli. On a un coup d’oeil sur les allées vertes et les pelouses du jardin, sur les coupoles orien- tales de la salle de concert et puis on emporte un souvenir de l’établissement populaire ou du res­ taurant mondain de Gopenhaguiens »Wivel« qui a sa facade ici sur la Vesterbrogade. On voit ensuite la Colonrxe de la Liberté (un monument de

»Søndermarken«. Near Frederiksberg Castle. — Pres du Chåteau de Frederiksberg. — Beim Schloss Frederiksberg.

la libération des paysans) juste au milieu de la place au-dessus de la voie ferrée devant la facade de la Gare principale. A gauche, le Musée du peuple danois (Dansk Folkemuseum) conserve jusqu’å nouvel ordre ses interessantes collections de costumes, d’art industriel et d ’intérieurs histori- ques dans une maison privée (Vesterbrogade Nr. 3). — A droite, une échappée vers les lacs qui s’éten- dent avec leurs jardins et leurs promenades jusqu’au faubourg d’Østerbro. Puis la rue se referme et l’on passe devant la petite place de Vesterbros Torv, avec le Nouveau Théåtre et l’église de Saint-Elie, devant le beau et vieux båtiment du Tir royal et l’on arrive å l’Allée de Frederiksberg ou les arbres verts recom-

Einen besonders erfreulichen Eindruck von diesem spezifisch kopenhagener Verkehr erhålt man am hesten an einem Fruhlings- oder Som- mernachmittag um 5 Uhr, auf der Frederiksborg- gade, (einer Verbindungsstrasse zwischen dem alten Stadtteil [der Købmagergade] und der gros­ sen Arbeitervorstadt Nørrebro) oder auf der Ve­ sterbrogade vor dem Hauptbalinhof und dem T i­ voli, aber besonders auf dem Rathausplatz. Zu Tausenden kommen da die Kopenhagener und nicht weniger die Kopenhagenerinnen nach Schluss ihrer Kontore und Geschåfte in dichten Kolonien herangerollt. Die blanken Steuer blitzen in der Sonne, wenn sie langs der Fah rbahn dah in- jagen. Das ist wie Heringsblink, uncl die Radfahrer

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