Journal C'est à dire 264 - Juillet/Août 2020

M O N T B E N O Î T E T L E S A U G E A I S

En bref…

La station d’épuration double sa capacité de traitement Ville-du-Pont

l Bateaux Le Chantier naval franco-suisse de la famille Michel à Villers- le-Lac a “profité” du confinement pour terminer la réalisation e deux nouveaux bateaux élec- tro-solaires de 150 et 120 places (18 m de long). Le premier est sorti du chantier le 30 juin, le second sort le 6 juillet. Depuis 1983, date de création du chan- tier, la famille Michel a construit plus de 80 vedettes en acier ou aluminium pour le transport de passagers de 40 à 250 places (diesel, électrique, élec- tro-solaire ou hybride) qui navi- guent aujourd’hui sur divers plans d’eau : canaux, rivières et lacs de France. Le premier de ces deux derniers bateaux est parti sur le lac du Bourget en Savoir, le second prend la direction de Gray où il naviguera sur la Saône. l Livre “Marigny et la bonne dame de Chantegrive”, c’est le nouveau roman de Guy-LouisAnguenot. Une enquête de son personnage RenéMarigny qui met en scène une fois de plus cette si savou- reuse culture comtoise que l’au- teur sait mettre à l’honneur dans chacun de ses romans.Aux édi- tions Ça Auteurs.

L ors de samise en service en 2007, la station d’épuration deVille-du- Pont était conçue pour traiter les effluents de 3 000 équivalents-habitants.À savoir les communes de Maisons-du- Bois-Lièvremont, Montbenoît, La Longeville, La Chaux-de-Gil- ley et Ville-du-Pont. Quatre fro- mageries Cet équipement n’est plus adapté au développement démographique et à l’évo- lution des activités écono- miques. Agrandissement.

Les travaux ont débuté en février dernier pour une livraison prévue à l’automne 2021

étaient égale- ment connec- tées, tout comme le salaisonnier Vonin. C’était sans

Une capacité de 7 500 équivalents- habitants.

compter sur l’attractivité du Saugeais qui a aussi profité de l’essor du travail frontalier pour accueillir de nouveaux habitants. Dans le même temps, le succès de la filière comté s’est répercuté sur les ateliers de fabrication refaits à neuf ou agrandis. D’où la nécessité d’agrandir cet équi- pement propriété de la commu- nauté de communes du canton de Montbenoît qui en possède

trois autres à Ouhans, Gilley et Arc-sous-Cicon. Le chantier d’extension a débuté en février dernier et devrait se prolonger jusqu’à l’automne 2021. Des travaux pilotés par le bureau d’études Hydrea avec l’entreprise Clauzel pour la maçonnerie et Pellegrini de Pier- refontaine pour le terrassement. L’emplacement à proximité du Doubs impose des contraintes

environnementales drastiques à respecter. La station sera équi- pée d’une centrifugeuse utilisée pour la déshydratation des boues transférées ensuite sur un site de cocompostage. Le coût de l’opération est quatre fois supé- rieur à celle d’un épandage agri- cole de proximité. Impossible au pays du comté d’épandre des boues d’épuration. Au final, la station de Ville-du-

Pont sera en capacité de traiter les effluents de 7 500 équiva- lents-habitants en sachant aussi que l’une des quatre fromageries, celle deMaisons-du-Bois est dés- ormais autonome dans la gestion de ses effluents. La part des opé- rateurs économiques représente 55 % de la charge polluante, le reste relevant de la pollution domestique. La communauté de communes

du canton deMontbenoît investit 3,2 millions d’euros dans cette extension avec des subventions de l’Agence de l’eau pour 1,071 million d’euros et du Département pour 150 000 euros. L’exploitation de la station est toujours confiée à Gaz et Eaux qui assure l’entre- tien de l’équipement et d’un réseau de collecte comprenant six postes de refoulement. n

“Il est devenu un véritable ambassadeur de la marque” “Pascal Maire a toujours été force de proposition pour le déve- loppement de nos produits. Il a toujours été volontaire pour tester nos nouveaux appareils et continuer à être techniquement à la pointe des innovations. En participant à nos formations, il est devenu un véritable ambassadeur de la marque auprès des par- ticuliers. Il assure le dimensionnement, la pose, puis l’entretien de nos appareils auprès de sa clientèle qui ne cesse de s’accroître de par son professionnalisme et sa disponibilité. C’est grâce à sa renommée, son savoir-faire et sa passion pour son métier, qu’il pose aujourd’hui son 100 ème adoucisseur BWT - CILLIT.” n Christophe SACHET - Directeur régional Est de la société BWT “Sérieux et qualité de travail” “Pascal Maire, avec sa vingtaine d’installations, devient un artisan incontournable dans le solaire. En proposant du photovoltaïque en autoconsommation, il pourra dimensionner votre installation pour qu’elle corresponde à vos besoins, et optimiser ainsi votre consommation d’électricité. Son sérieux et la qualité de son travail nous amènent à être plus proche de ces P.M.E. en leur donnant tous les moyens pour réussir leurs installations. ” n Bruno MALLET - Chef des ventes France Est de la société Systovi E.U.R.L. PASCAL MAIRE PLOMBERIE - SANITAIRE - FERBLANTERIE LES FOURNI SSEURS PARLENT DE LUI

Publi-information Adoucissez l’eau et produisez votre électricité !

Artisan à Gilley, Pascal Maire s’est spécialisé dans l’installation d’adoucisseurs d’eau et de panneaux photovoltaïques qui permettent au particulier de produire son électricité pour sa consommation.

la marque française Systovi. Ces panneaux fabriqués en France permettent au parti- culier de produire de l’électri- cité pour sa consommation. “Je commence par regarder les besoins du foyer et en fonction

droit à une belle surprise de la part de l’artisan. “Pour mon centième adoucisseur, je leur ai fait bénéficier d’une remise de 50% !” raconte Pascal Maire qui a l’agrément Aquapro, une référence pour lamarque BWT. Un geste commer- cial inattendu que les clients ont apprécié.Améliorer la qualité de l’eau grâce à un adoucis- seur performant n’est pas le seul axe de travail de l’artisan de Gil- ley. Depuis quelques années, il a ouvert son horizon aux éner- gies renouvelables en se spé- cialisant dans l’installation de panneaux photovoltaïques de

P ascal Maire est un arti- san authentique qui a la passion de son métier, le goût pour le travail bien fait et la satisfac- tion du client. Il ne s’est jamais écarté de ces valeurs depuis la création en 2006 de son entreprise en plomberie, sani- taire, ferblanterie. Ce sont les particuliers qui parlent le mieux de son professionna- lisme comme Emmanuel et Clémence Mathevon de Gilley, chez qui Pascal Maire vient d’installer son centième adou-

cisseur d’eau de la marque française BWT - CILLIT. “Nous sommes très contents de son travail, pour ses conseils et la qualité de la réalisation. Le soir même de la pose de l’adou- cisseur, nous avons senti la dif- férence sur la qualité de l’eau devenue beaucoup plus douce. Le linge est moins rêche, le lave- vaisselle fonctionne mieux. On se rend compte à quel point le calcaire peut être agressif. L’adoucisseur a vraiment changé la donne” disent les jeunes parents. Le couple a eu

du résultat, je dimensionne l’ins- tallation. Je pose entre 4 et 8 pan- neaux en moyenne (de 1 200 à 3 000 watts)” explique l’artisan. La produc-

“Nous sommes très contents de son travail.”

tion est suffisante pour couvrir une grande partie des besoins d’une habitation en journée : réfrigérateur, lave-vaisselle, four…Des appareils qui alour- dissent la facture E.D.F. en temps normal. “En changeant légèrement ses habitudes, on arrive à optimiser l’installation et à réaliser de vraies économies sur sa facture d’électricité” explique Pascal Maire. Il faut compter entre 4 500 euros et 8 500 euros pour des panneaux photovoltaïques. “Ils sont fabri- qués en France, sont recyclables à 95 % et ont une durée de vie de 40 ans.” Une durée suffi- sante pour amortir l’installa- tion, alors que le coût de l’élec- tricité ne cesse d’augmenter. L’intérêt de produire son élec- tricité est évident. Prenez le temps d’y réfléchir. n

Pour son centième

adoucisseur, Pascal Maire a offert une remise de 50 % à Emmanuel et Clémence Mathevon sur le coût de l’installation.

06 82 39 26 77 8, rue de la Colombière 25650 GILLEY