IIW History 1948-1958

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Sous-Commission C - Ultrasons -

Presidents : G. A. HOl\d:s, Belgique (1952). A. DE STERKE, P ays-Bas (1953) . P . BASTIEN, France (1954) .

Groupe de Travail - E nquete generale. Chef de Groupe : G. A. HOMES, Belgique (1949) . Groupe de T ravail - Blocs d 'etalonnage . Chef de Groupe: A. DE STERKE, Pays-Bas (1953) . Groupe de T ravail - Nomenclature. Chef de Groupe : lVI. EVRARD, France (1956) . Groupe de Travail - E tude du comportement des ultraso ns vis-a-vis de certains defauts t ypes des soudures. Chef de Groupe : P . BASTIEN, France (1 955).

Sous-Commission D - E ssais destructifs - P residents : T. NOREN, Suede (1 953).

N. LUDWIG, Allemagne (1954). Groupe de Travail - Inventaire et classification. Chef de Groupe : T . NoRE1 , Suede (1949).

Groupe de Travail - Atlas des essais destructifs . Chef de Groupe: N. LUDWIG, Allemagne (1954). Groupe de T ravail - Essais des soudures de met a ux non fe rreux . Chef de Groupe: H . BARTH, Allemagne (1955).

Sous-Commission E - lVIethodes de controle non destructif autres que la radiogra– phie et les ultrasons (contr61e magnetique et par ressuage)

President : A. DE STERKE, Pays-Bas (1955).

E n outre, des rapporteurs individuels sont designes pour 1'etude de ques– tions p a rticulieres. C' est ainsi que lVI. J. E. HOLlWSTROlVI et ablit, clepuis sept ans, un rapport annuel sur toutes Jes nouv eautes relatives aux methocles, aux t echni– ques de mesure et aux procedes d'auscultation. L a Commission se reunit t ous les ans en assemblee pleniere, mais plusieurs reunions de sous-commissions ou de groupes de travail ont lieu en cours d 'a nnee. E ntret emps, l' activite se poursuit par corresponclance. Le President est assist e, independamment du concours du Secretaire technique belge, p a r un secretariat administ ratif tres precieux organise au Roentgen Technisch e Dienst a Rotter– dam , grace a l' obligeance du Vice-President, M. VA:-< OUWERKERK.

3 . TRAVAUX ACCOMPLIS .

I. lVIETHODE NON DESTRUCTIVE D'ETUDE OU DE CONTROLE .

r o Radiographie. a) Des 1949, il est apparu qu 'il fa ll ait d istinguer la« !ecl11re ) d ' une radio– graphie du « diagnostic )) a poser sur la valeur de la soudure quanta so n compo r– tement mecanique. L a lectun est en general l'ceuv re du radiologue , mais le dia – gnostic necessite en outre la competence cl u so c1cleur et du constructeur. Le cl iagnostic n 'est possibl e que lorsque la radioaraphie est complet ee pa r des i.nfo r– mations sur Jes condit ions cl'execut ion et cl 'emploi de la souclu re exa minee.