IIW History 1948-1958
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Dr WECK (Royaume-Uni), elle est momentanement devenue une sous– commission de la Commission V. Cependant, l'evolution des travaux dont le programme avait ete trace a Oxford, conduisit finalement a lui rendre son auto– nomie; depuis l'assemblee de Goteborg (1952) ou elle a fixe definitivement son domaine d'activite, elle se trouve placee sons la presidence de M. DE LErnrs (France) . D'un commun accord, il a ete convenn a Goteborg que son champ d'activite devait s'etendre : a tousles metaux et alliages susceptibles d'etre assembles par sondage, a tons les procedes de soudage, autogene ou non, et , clans la mesure OU ils peuvent modifier la resistance a la fatigue , a tons les procecles connexes tels que l'oxycoupage, etc... Ontre les essais sur eprouvettes, sur assemblages et sur structures, la Com– mission mettait a son programme, comme interessant directement la signification pratique des essais de fatigue, l'etude systematique des avaries en service, sur lesqnelles elle sonhaitait recevoir une documentation aussi abondante et complete que possible. Enfin elle a admis que le but final de ses travaux etait de contribuer a definir les conditions de l'execution d'assemblages soudes offrant la meilleure resistance a la fatigue. Ainsi precise, son champ cl'activite implique des liaisons avec d'autres commissions de l'IIS, en pa rticulier avec la Commission V (E sais, mesures et contr6le des soudure ·) et la Commission XV (Conception, calcul et execution des constructions soudees) . 2. ORGANISATION ET METHODES DE TRAVAIL. A chacune de ses reunions, la Commission XIII se livre a des activites de deux genres. Tout d 'abord , elle echange annuellement les informations relatives aux etndes entreprises clans chacnn des pays membres sur la fatigue des assem– blages on des constructions sondees. Les delegues de ces pays donnent un compte– rendu des travanx acheves ou des informations snr le programme envisage. En plusieurs occasions, un tel echange d'informations a conduit a des discussions fr uctuenses qui sont allees jnsqn'a provoquer, soit la modification des programmes cliscutes, soit l'association de plusieurs participants a l'execntion et a la mise en ceuvre de ces programmes . D'autre part, la Commission se livre a l'examen des rapports concernant les snjets dont l'etnde a ete clecidee d' un commun accord lors de l'assemblee prece– dent e. Les sujets ainsi debattus sont assez nombren:s:; ceci s'explique aisement si on considere que les programmes comportant l'execution d'essais de fatigue sont en general assez longs a mettre a execution et a achever, si bien qu'il n'est pas tou– jonrs possible d'aboutir a nne conclusion clans l'intervalle de denx assemblees annnelles. 11 en resulte que t el sujet, qui pent etre evoque lors d' une assemblee et faire l'objet d'une decision d'etude, n' est pas necessairement a l'orclre du jour l'annee uivante, mais ne revient en discussion qne clenx on trois ans apres, lorsque des elements snffisants ant ete rassembles. Enfin, depnis quelques annees, la Commission discute et met en forme le.· documents qui lui parviennent concernant l'enquete qn'elle a entreprise ur les ruptures par fatigue snrvenues en service et clont il sera qne. t ion plu. loin. Contrairement a la plupart des antres commissions, la Commission XIII n'a l)aS cree de SOUS-commission; l'essentiel du travail s'effectue entre les a. semblees annuelles par correspondance . Pour des suj et s particuliers, quelque. membres penvent etre clesignes en v ue de constituer un gro upe de travail ; t el a et e le cas pour l'interpretation st atistiqne des es ais de fatigue et pour l'elaborati on cl ' un programme cl'essais de fatigue ur oudures bout a bout.
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