Cliff_30_ans

FORMATION Former, en 1987, c’était déjà l’ambition des administrateurs du Cliff. À chaque session de la SFAF, un créneau leur était réservé pour venir expliquer aux analystes ou aux collaborateurs de la COB ce que l’on attendait d’eux, et en quoi consistait la communication financière. À l’approche du millénaire, une agence – montée par un IR, conscient de l’enjeu – proposait des modules plus complets. Mais avec un vrai parcours de formation lancé en 2013, en association avec l’Université Paris-Dauphine, le Cliff répond aux besoins des candidats : être à la hauteur d’une fonction exigeante. Se former pour comprendre l’endroit et l’envers. Pour explorer les réalités kaléidoscopiques du quotidien (avec un métier multifacette, c’est la moindre des choses). Pour maîtriser un métier au savoir-faire singulier, nourri de textes quelquefois contradictoires et de réglementations pléthoriques, fréquentant la norme juridique et le storytelling , sculpté par un calendrier de bronze et des urgences de porcelaine. Se former parce que l’on est assistant, juriste, consolideur, fiscaliste ou responsable des relations publiques. Parce que l’on participe en coulisses à l’élaboration du tableau final, sans toujours en connaître les codes disparates. IR Basics, ce sont 15 heures de partage d’expériences et d’immersion en communication financière, pour comprendre les acteurs, les outils et les obligations des marchés financiers. Pour remettre les choses dans les bonnes cases. Se former pour explorer son domaine de compétence, ausculter les situations complexes, se confronter aux détails du métier qui en font la richesse. IR Fundamentals, un parcours certifiant de 6 mois, ce sont des enseignants de l’Université Paris-Dauphine, des experts et des praticiens peignant, chacun à sa manière, un pan de la toile. Ce sont des investisseurs, des analystes, des consultants, des managers se préparant à une IPO, des IR en fonction. Ils composent un public éclectique mû – entre autres – par le plaisir d’épuiser les potentialités du sujet. Ils viennent fluidifier leur pensée et leurs pratiques, repartent avec plus d’atouts en main. Affirmer que les métiers des relations investisseurs méritent que l’on s’y penche pendant 50 heures et qu’on leur consacre un mémoire, c’est aussi reconnaître l’envergure de la fonction.

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