DJ136-Déroulé 02

Rencontre

conception de massifs, mais on s’est assez vite retrouvés bloqués. Alors, en 2005, nous avons sollicité bloqui est une voisine (voir page 16), à travers une mission conseil. L’esprit dans lequel elle travaille était ce qu’il nous fallait car elle n‘ar- rive pas avec un jardin préconçu. Elle avait besoin de savoir qui allait vivre là et comment. Comment évolue-t-il sa naissance? C’est un coup de cœur permanent! Ne rentre que ce qui nous plaît. Au départ, nous avons planté des rosiers, puis les viburnums sont arrivés. Ensuite, les graminées, qui participent à la structure du jardin aux quatre saisons.On se répartit plutôt bien les tâches. L’une adore tailler les vivaces, l’autre s’occupe des arbustes et des plantations. Il y a clairement de la place

– et du travail! – pour nous deux. Quand on a acheté iirie où paissaient des moutons. Et, lon- gassez simple, avec des massifs de fleurs, quelques vivaces. On lisait régulièrement des magazines de jardin. C’était très intéressant et inspirant, mais on manquait de temps. Comment évolue-t-il sa naissance? C’est un coup de cœur permanent! Ne rentre que ce qui nous plaît. Au départ, nous avons planté des rosiers, puis les viburnums sont arrivés. Ensuite, les graminées, qui participent à la structure du jardin aux quatre saisons. Il va donc continuer à se modifier ? C’est une bonne question. Nous n’aimerions pas nous laisser dépasser, ne plus pouvoir suivre et finir par l’abandonner. On aimerait avoir de nouveaux rosiers, mais c’est du travail. . Peut- être des arbustes…? Quoi qu’il en soit, nous ne planterons jamais trop densément. Il faut que l’on puisse toujours voir le jardin. Et surtout, qu’on puisse y vivre!

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12 • Détente Jardin - novembre/décembre 2018

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