Journal C'est à Dire 122 - Mai 2007

É C O N O M I E - C O M M E R C E

41

Retour aux saveurs du terroir La reprise de l’auberge de la Motte en février dernier s’inscrit dans un souci d’authenticité et de disponibili- té. Une autre façon de s’inviter à la table du Haut-Doubs. Les Combes

LES OFFRES DU MOIS Frigébig amande, vanille enrobage chocolat lait + amande - 120 ml X 18 Frigébig blanc, vanille enrobage chocolat blanc 120 ml X 20

“L’ établissement avait plutôt une orientation gas- tronomique. On souhaite lui redonner l’image d’une véritable auberge de mon- tagne où l’on déguste avant tout une cuisine de terroir valorisant les produits locaux comme les salaisons, les plats à base de fro- mage, les roëstis, les croûtes fores- tières…” , explique Paul Jacou- ne, les deux associés cherchaient à s’investir dans un projet simi- laire. Reconversion profession- nelle pour Paul et prolongement pour Christine la cuisinière qui arrive ici avec une longue expé- rience du métier. “On a trouvé cette affaire un peu par hasard en consultant des annonces.” La volonté de propo- ser des saveurs locales se décli- ne également en formule “plat du jour” et ce dans l’objectif d’at- tirer des artisans, des ouvriers en déplacement sur le secteur. “On souhaite satisfaire la clien- tèle locale ou de passage.” Peti- te nouveauté, l’auberge fonc- tionne désormais en service bar pendant la journée. Contraire- ment à ce qui se passait aupa- ravant, ou dumoins dans les der- niers mois qui précédaient sa tot qui a repris l’au- berge le 24 février avec Christine Hottinger. Originaires de Cham- pagney en Haute-Saô-

reprise, elle est ouverte tous les jours, toute la semaine. Pas de changement à annoncer au niveau de la partie hôtelière, maintenue avec ses 7 chambres en activité. Un regain de dis- ponibilité jugé nécessaire par les nouveaux tenanciers. “On a un gros travail de com- munication à entreprendre auprès des entreprises locales et des acteurs de la promotion touris- On souhaite que l’auberge soit de nouveau classée en Logis de Fran- ce. Le dossier est en cours.” Table campagnarde à souhait, formule “plat du jour” à 8 euros avec dessert et café compris, larges plages d’ouverture, la stra- tégie des nouveaux gérants est claire. Elle consiste à valoriser au mieux le potentiel d’un hôtel- bar-restaurant susceptible de satisfaire la pause du promeneur, le touriste ou l’homme d’affaire à la recherche d’une certaine tranquillité, les groupes soucieux d’organiser un repas de famille ou un séminaire dans un cadre reposant et confortable à vivre. “On veut également mettre l’ac- cent sur l’accueil familial car on a tout ce qu’il faut sur place : aisance, aire de jeux, circuits de randonnée à proximité…” tique. Quand on est comme nous un peu à l’écart des grands axes, c’est important d’être bien référencé.

-15 % 10 € 62 € LA BOÎTE E

Frigébic coco, enrobage chocolat et sauce chocolat, 120 ml X 20

NOUVEAU

Frigébig noir, vanille enrobage chocolat noir 120 ml X 20

Une véritable auberge de montagne.

26,16 €

Steaks hachés 15 MG , 100g X 50

La boîte

L’auberge de la Motte a été reprise par deux associés Robert Jacoutot et Christine Hottinger qui privilégient une gestion en couple.

5, chemin des Pierres - 25500 MORTEAU Tél. 03 81 67 06 98 - Fax : 03 81 67 52 78

Dépannage rapide en plomberie-sanitaire Les Fins

A près 30 années d’expérience salariée dans le métier dont une vingtaine passée en Suisse, Michel Lambert s’installe à son compte aux Fins. Un choix qu’il justifie par l’envie de s’accomplir différemment sur le plan professionnel. “La maison est remboursée. Les enfants sont casés. Avec ces charges en moins, j’aspire à un autre mode de vie moins contraignant que celui qui rythme le quotidien des fron- taliers” , explique Michel. Son entreprise baptisée “Sanichauffe” est plus axée sur le sanitaire que le chauffa- ge, branche qu’il développera ultérieure- ment quand il aura passé les agréments nécessaires. De même, Michel préfére-

rait davantage intervenir en réparation, rénovation, dépannage de salle de bains ou autre équipement sanitaire de la maison. En pleine phase de lancement, il ne peut encore s’offrir le luxe de sélectionner et accepte de travailler dans des construc- tions neuves. “Je me donne une année de mise en route, le temps de me familiari- ser avec des fournisseurs et des produits qui sont bien différents de ceux avec qui j’avais l’habitude de travailler qu’en j’étais en Suisse.” Un temps d’adaptation qui inclut égale- ment de s’éprouver aux joies des formali- tés qui accompagnent tout projet d’ins- tallation. Quelques menus détails à régler

avant de songer à valoriser un savoir-fai- re confirmé et qui ne demande qu’à s’ex- primer dans un domaine plutôt porteur. Michel Lambert est joignable au 03 81 67 71 82. Michel Lambert se donne une année pour mettre son entreprise sur les bons rails