Questions et méditations

Dans la plupart de nos contes « fantastiques », nous projetons sur ces espèces hypothétiques les axes directeurs de notre propre parcours : la quête du pouvoir, ou de la souveraineté, les besoins relationnels. Rarement jusqu’à présent avons-nous été capables d’imaginer une quête de la plénitude.

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De « mémoire d’homme », nous sommes pétris par la dualité. Par l’opposition et le conflit. Le Bien et le Mal. Les polarités.

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Pourtant nous savons bien, chacun de nous dans son cœur, que le choix nous est constamment donné, dont la responsabilité nous échoit ou nous

incombe = être vrai et uni, ou mentir et se séparer. Vouloir pour soi, ou vouloir de la volonté véritable.

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Déjà, du temps de l’épopée du Mahabharata, le Seigneur Avatar, Krishna, ayant montré la complexité des dettes, des devoirs et des attachements, invitait son ami et disciple : « Prends refuge en Moi, je ferai tout pour toi ».

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Mais nous tenons à la dualité, c’est notre moteur de progrès, notre agent évoluteur.

Que ferions-nous sans le bon et le mauvais, le proche et le lointain, la gauche et la droite, le masculin et le féminin, le jeune et le vieux, le vivant et le mort, le blanc et le noir ?

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