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KWALITO La plus personnalisée Un ingénieur web et une experte en marketing. Financée en partie par les marques. g D’un coup d’œil, on sait si un produit correspond ou non à ses préférences ou contraintes alimentaires définies au préalable (végétarien, sans arachide…). g Si le produit ne convient pas, 3 alternatives sont proposées. Les données sont récupérées auprès des marques, sur les emballages, auprès de blogueurs… (convient/ne convient pas) et matérialisée par une couleur (rouge ou vert). g Possibilité d’exclure d’autres ingrédients avec l’aide d’une barre de recherche (sucre, graisses hydrogénées…). g La simplicité : la réponse est claire

SCAN UP La plus scientifique

YUKA La plus exhaustive Trois entrepreneurs spécialisés dans le digital. L’appli repose en partie sur des dons. g Une fiche descriptive du produit scanné avec ses apports nutritionnels. g Une appréciation matérialisée par couleur (excellent, bon, médiocre, mauvais). g Une analyse des achats des 30 derniers jours. 60 % de l’évalua­ tion repose sur la composition, 30 % sur la présence ou non d’additifs et 10 % sur la dimension bio. g Une alternative plus saine est proposée si le produit obtient la note “mauvais”. g Possibilité de filtrer les produits par enseigne. g Programme pour avoir les bases d’une alimentation saine en 10 semaines. g Erreurs constatées dans certaines valeurs nutritionnelles. g Pas de recherche directe : il faut scanner un produit pour lire sa fiche.

OPEN FOOD FACTS La plus complète Des milliers de volontaires à travers le monde. C’est un projet citoyen à but non lucratif. g Une fiche descriptive du produit scanné avec sa composition, ses valeurs nutritionnelles, ses allergènes… g Une note de A (excellent) à E (mauvais). g Un décryptage des additifs et des codes emballeurs. La qualité nutritionnelle est celle du NutriScore selon les apports nutritionnels. g La base de données gigantesque. g La fiabilité des informations (mises à jour régulières).

SCAN EAT La plus basique Une équipe de 6 chefs de projet et développeurs. L’appli est indépendante. g Une fiche descriptive du produit scanné avec ses apports nutritionnels et sa note Nutriscore. g La présence ou non d’allergènes, d’additifs ou d’huile de palme est indiquée en pictos. g Mention d’un label le cas échéant. Les données sont celles récoltées par Open Food Facts. La note est celle du NutriScore selon ses apports nutritionnels. g On obtient illico la composition nutritionnelle du produit et sa note Nutriscore. g Les préférences et recherches sont stockées sur le Smartphone. g On peut chercher un produit sans le scanner. g Possibilité de mettre des filtres (sans gluten…). g Pas d’analyse exhaustive de la liste des ingrédients. g Additifs insuffi­ samment pris en compte dans la note. g Pas de produits alternatifs proposés si le produit obtient une mauvaise note.

Y’A QUOI DEDANS La plus filtrante

4 jeunes spécialisés en développement informatique, marketing, stratégie commerciale. g Deux scores : le premier est le Nutriscore qui évalue la qualité nutritionnelle du produit ; le second, le score Siga, évalue son degré de transformation. Le score Siga intègre le degré de transformation des aliments : ingré­ dients, teneurs en sel, sucre et gras, additifs. g C’est l’appli la plus en lien avec la santé. g Coconstruction avec les industriels et distributeurs de nouveaux articles alimentaires via des questionnaires soumis aux consommateurs. g Le bio n’est pas pris en compte. g Pas de produits alternatifs proposés si le produit obtient un mauvais score. g Des contradictions entre les scores Nutriscore et Siga, notamment sur les produits ultratransformés.

Lancée par les magasins U.

QUI ?

g Une fiche avec la composition, un tableau et la présence éventuelle de substances polémiques. g Des données pédagogiques sur les ingrédients pouvant poser problème. g La possibilité de filtrer selon des critères personnels. Les données sont celles récoltées par Open Food Facts.

QUOI ?

COMMENT ?

g On sait d’un seul coup d’œil si un produit contient ou non les substances non désirées. g L’aspect pédagogique : on nous explique quelles substances

LES +

sont à éviter et pourquoi.

g Pas d’analyse exhaustive de la liste des ingrédients. g Additifs insuffi­ samment pris en compte dans la note. g Pas de possibilité de lister ses aliments favoris.

g Pas d’analyse exhaustive des ingrédients. g Seulement

g Pas d’évaluation par une note. g Les préférences saisies ne peuvent pas se retrouver sur le site drive. g La liste des substances jugées indésirables est assez courte par rapport à celle des ingrédients suscitant la polémique.

7 produits sur 10 sont référencés. g Pas de données précises indiquées, juste l’avis. g Risque de manque d’indépendance visàvis des marques.

LES -

37 SANTÉ MAGAZINE I janvier 2019

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