IIW History 1948-1958

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Enfin, le programme de travail de la Commission XIV comporte, dans une troisieme rubrique, l'etablissement de relations avec le corps enseignant, l'orga– nisation d'echanges de professeurs ou de conferenciers, de stages a l'etranger, et, plus generalement, l'etude de toutes mesures propres a faciliter et developper l'enseignement du soudage. 2. ORGANISATION ET METHODES DE TRAVAIL. Lors de sa reunion constitutive de 1951, la Commission XIV se pla<;a sous la presidence d 'honneur du Professeur PoRTEVIN, et designa, respectivement comme President et Vice-President, le Professeur S. P. ANDERSEN, Recteur de 1',Universite de TRONDJHEIM (Norvege) et M. H . GRANJON, Directeur des Etudes a l'Ecole Superieure de Soudure Autogene (France). Avec l'aide du secretariat norvegien, l'un ou l'autre ont, selon les circonstances, dirige les debats de la Commission, ainsi que M. GOLDSCHMID1'-CLERMONT (Belgique), President-fonda– teur de l'IIS. . Deux sous-commissions ont ete creees par la suite ; l'une, presidee par M. WEDDELL (Royaume-Uni), s'est chargee de l'etude des problemes se rapportant a la formation des ingenieurs, cependant que l'autre se preoccupait de la qualifica– tion et de la formation des soudeurs, sous la presidence de M. ZINKwEG (Pays-Bas). Pour les divers sujets qui sortent du champ d'activite de ces deux sous-commis– sions, des rapporteurs sont designes apres une discussion generale preliminaire qui conduit a definir leur mission. En general, lorsqu'elle aborde un probleme d'enseignement ou de qualifica– tion, la Commission precede d'abord a une enquete sur la fa<;on dont ce probleme est traite clans les divers pays membres. Ainsi s'amorce un echange d 'informations deja fructueux en lui-meme, tout comme une necessaire confrontation des circons– tances locales (structures d'enseignement, l~gislation, traditions, etc... ) dont la diversite ne peut etre negligee clans la recommandation d 'une portee veritable– ment internationale, stade final de l'etude entreprise. Cette remarque vaut d'etre soulignee car, si une meilleure connaissance des usages de chaque pays en matiere d'enseignement OU de qualification est l'un des resultats incontestables de l'acti– vite de la Commission XIV, la diversite constat ee dans ces pratiques a limite les possibilites d'amelioration ou d'innovation sur le plan international. Certaines commissions de l'IIS peuvent, grace a la publication de leurs tra– vaux t echniques, constater l'efficacite de leur action directe aupres du monde de la soudure, les lecteurs de leurs etudes en etant les beneficiaires immediats. E n matiere d'enseignement, il en va autrement , car les recommandations de la Commission XIV ne peuvent etre suivies d 'effet que si elles sont repercutees clans chaque pays par les societes membres de l'IIS, qui doivent prendre les mesures propres a facil iter leur mise en application, tout en tenant compte de: particula rites nationales evoquees ci-dessus. Aussi la Commission a-t-elle, au cours de ses travaux , formule des recommandations qui impliquent une action a entreprendre par les societes membres, leur demandant en particulier d'aicler les ecoles et les centres d'enseignement a obtenir le materiel de soudage necessaire a leur t acbe, de prendre contact avec le co rps enseignant pour lui faire connaitre les t ravaux de l'IIS, de mettre des plans de le<;on. OU des professeurs a la dispo– sition des ecoles, et c... C'est aussi pour informer les societes rn.embres comme le corps enseignant qu'elle a commence une enquete sur Jes ouvrages relatifs au soudage et utilisables clans l' enseignement ; cette enquete est d'ailleurs grandement facilitee pa r !'exposition que la Commission n · {Documentation) organise a 1'occasion de chaque assemblee annuelle. 3. TRAVAUX ACCOMPLIS ET EN COORS. A. Recommandations generales.

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