IIW History 1948-1958

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est p asse de 65 en 1952 a 280 en 1956. Cette progression donne une idee d u devt. loppement pris par l'IIS. Certes, l' efficacite d ' une t ache ne se mesure p as a u volume de p apier, mais !'element st atisti que indi que ci-dessus est cependa nt significatif comme b ase d 'appreciation. Les doma ines d 'activite des commissions sont relativement d isti ncts, mais ii est bien evident que certa ins suj et s peuvent etre pris en consideration sous des angles differents p ar plusieurs commissions . Aussi, la necessite est-elle appa rue rapidement d 'assurer une coordinat ion et roit e de leurs activites. C'est une des raisons qui ont amene la creation du secretariat scientifique et t ech nique deja cite. E n liaison permanente a vec les p residents de commissions, celui-ci realise a u mieux cette coordination , evitant ainsi des doubles emplois et la dispersion des efforts, repartissant les t aches lorsque ce rtaines etudes interessent a la fois d iffere ntes commissions et , enfin, degageant des conclusions de caract ere general, communes a plusieurs commiss ions. Pour diff user les informations mut uelles utiles, le Secret aire scientifique et techni qu e et ablit un « rapport de coordination » apres chaque assemblee a nnuelle. E n outre, vers le milieu de la p eriode sep arant deux assemblees, il reunit les p residents de commissions pour assurer t outes les liaisons necessaires et examiner Jes solutions a apporter aux problemes de coordination. Ch acune des commissions dependant de l'IIS clans son ensemble, les pro– blemes qui peuvent se poser , a l' occasion de leurs travaux, qua nt a ux rapport s avec des organismes ext erieurs, t els que l'ISO, p ar exemple, doivent etre etucl ies sur un plan t out a fait general ; c'est pourquoi il sont pris en consideration par le Comite de Direction et p a r le Bureau , avec la collaboration des Secreta riats cl 'ailleurs et les solutions qui interviennent sont portees a la co nnaissance des p residents de commissions par l' entremise du Secret aire scientifi que et t echnique. A. LEROY. 3 . DIFFUSION DES TRAVAUX DE L'IIS. Des dispositions ont et e prises des la creation de l'IIS pour assurer la diff u– sion des t rav aux accomplis. E lles ont abouti , d 'une p art, a !'edition de documents publies et mis en vent e sous l' egide de l'IIS et , cl'autre part , a la pa rut ion , cla ns la p resse t echnique, de documents recommandes pour publicati on par l'IIS. Ces cleux cas seront examines successivement. A. DOCUMENTS PUBLIES ET MIS EN VENTE SOUS L'EGIDE DE L'IIS . a) Bulletin de Documentation de la Soudure et des Techniques connex es . Des la creation de l'IIS, la delegation frarn;:aise a mis a sa disposition u ne p ublication bibliographique periodiq.ue, editee par les organismes fra n<;:ais de la soudure depuis plusieurs a nnees deja. C'est ainsi que, clepuis 1948, le B -utlet1:n de D oc1mientat·ion de la So-ud·itre et des T echwiques Connexes parait sous l' egicle de l'Institut International de la Souclure (1). L 'Institut de Soudure a P a ris en assure la redaction avec la collaboration de plusieurs societ es membres de l' IIS et en liaiso;1 etroit e avec la Commission IV (Documentation ) de l'I I ' (2) . Ce bu.lteti n publie en fra n<;:ais et en a nglais, pa rait trimestriellement . Il contient ch aque annee de 2.000 a 2.500 analyses, syst ematiquement classees, des etucles et des articles r elatifs au soudage, aux techniques connexes et a lenrs applications, p a ru clans la litterature t echnique mondiale ; y figm ent a ussi annuellement pres de 200 a nalyses concernant, d' une part, u n certa in nombre de documents de travail des commissions de l'IIS, cl' autre pa rt , des memoires (1) E diteur : « Les P ublicatio11,; de la Sondure Autogene », 39, r ue cl' Amsterda 111, P aris 8°. (2) Voir denxie111e partie.