Journal C'est à Dire 141 - Février 2009

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A G E N D A

Pad’Panics, ils entrent en scène Gilley La joyeuse troupe de Gilley monte sur les planches pour sa sixième saison. L’ambiance est toujours aussi bonne. Ici, on ne se prend jamais au sérieux, mais on prend toujours son rôle au sérieux.

Les Infidèles mettent le paquet Villers-le-Lac

Invité par le club de rug- by de Morteau, le groupe de rock français garantit un show pop-rock qui par- court 15 ans de carrière. L e 7 mars, les Infidèles se produiront sur la scène de la salle des fêtes de Villers-le-Lac. Le groupe rock franc-comtois qui a connu son heure de gloire à travers l’Hexagone au début des années quatre-vingt-dix avec des tubes comme “Les larmes des maux” a repris la route il y a deux ans. Le trio originel des “Infis” aux sonorités percutantes, émulsion de pop et de rock, fait étape dans

le Haut-Doubs, invité par le club de rugby deMorteau. Le show est garanti ! En première partie, Gambrinus, une formation répu- tée pour son style festif ne va pas faillir à sa réputation. Avec ces

à ce sport. Cet enthousiasme séduit de plus en plus de monde et en parti- culier les jeunes. La réputation de l’équipe de France et de l’hyper médiatique Sébastien Chabal,

F idèles à eux-mêmes les Pad’Panics. Toujours de bonne humeur, contents de se retrouver pour répéter et même si parfois il y a

tresse de venir. Il est accom- pagné par un cardiologue et sa femme, ils arrivent dans un endroit plutôt calme. Rappli- quent aussi un ex-militaire, un

femmes sont malmenées, sans doute qu’à la fin elles rempor- teront le morceau… Avec une trentaine de membres, les Pad’Panics poursuivent leur parcours initiatique sur le che- min du rire. À noter cette année, la grande fresque qui servira de décor, peinte par Ninie Cupillard. Les Pad’Panics ont ajouté une date de plus que d’habitude à leur calendrier, histoire de répondre à l’affluence des spec- tateurs.

musiciens, la jovialité est communicative tout com- me l’envie de danser. C’est la première fois que le club de rugby donne dans le spectacle. “C’est une autre manière de mon- trer que nous sommes actifs

néanmoins charisma- tique, jouent aussi pour beaucoup dans la pro- motion de cette discipli- ne. À Morteau, l’école de rugby compte 70 enfants. Le 25 février, une cin- quantaine d’entre eux ira

“Nous sommes actifs sur le Haut- Doubs.”

des petites tensions,elles s’évaporent immédia- tement une fois sur scè- ne. C’est la vie de ces troupes de villages qui, bon an mal an, rem-

couple de jeunes mariés. Tout ce petit monde, confiné à la montagne, est pris dans une avalanche de situations cocasses.

“Pic et pique et colle et rame”.

sur le Haut-Doubs” indique un des représentants du rugby. Le club est sans doute un des plus dynamiques sur le secteur. Ce concert est aussi une façon dif- férente de partager les valeurs de convivialité et de fête propres

à Marcoussis, là où se trouve le centre d’entraînement de l’équipe de France. Le groupe doit normalement assister une séance d’exercice. Une occasion pour eux de croiser leurs idoles tricolores.

plissent les salles et donnent de la joie aux spectateurs. En ces temps de crise, la bonne humeur n’est pas un luxe. Alors précipitez-vous à la sal- le polyvalente de Gilley à par- tir de vendredi 27 février pour venir applaudir les joyeux drilles de Gilley dans leur nouvelle piè- ce, “Pic et pique et colle et rame”. Avant ce show déluré, les jeunes de la troupe ouvrent le bal avec “Vacances chez Manina”, une comédie en un acte d’une durée de 30 minutes. “Pic et pique et colle et rame”, c’est une comédie en deux actes qui, une fois de plus, fait la part belle aux plus étonnants qui- proquos. Quatre hommes et quatre femmes partent ran- donner en montagne. L’un des hommes a proposé à sa maî- Pad’Panics 27 et 28 février à 20 h 30 1er mars à 14 heures 6 et 7 mars à 20 h 30 8 mars à 14 heures

Un petit vent de misogynie souffle d’ailleurs sur le chalet mais finalement, même si les

Renseignements : 06 67 45 50 72 – 06 83 30 89 26

Les Infidèles préparent leur septième album. Sur scène, le trio déménage.

Les Pad’Panics entrent en scène. Bonne humeur garantie.

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* Hors main d’œuvre