La Presse Bisontine 77 - Mai 2007

Presse Bisontine n°77 - Mai 2007

BESANÇON

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Sortie de Besançon direction Pirey Lifting printanier au centre Crop pet Le projet de réhabilitation du centre omnisports Croppet arrive à son terme. Une remise à niveau visuelle et qualitative des installations. L ancés en 2004, les travaux seront terminés dans quelques semaines. Ils concernent l’ensemble des locaux, à savoir le foyer, le bâtiment d’hébergement et le centre équestre. “Le site n’offrait plus un bel aspect. Il s’avérait nécessaire voire urgent de procéder à des embellissements visuels et d’améliorer également les locaux destinés à l’accueil du public et du personnel. Globalement, tout s’est bien passé même s’il ne fut pas toujours évident de plani- fier l’enchaînement des chantiers avec les entreprises d’autant plus que le centre a fonctionné pendant toute la durée des travaux” , confie Alain Barberon, le directeur de l’association “Centre Omnisports PierreCroppet”. Lemontant global duprojet s’élève à 220 000 euros. Ce centre omnisports a été aménagé en 1972 sur l’ancien domai- ne agricole de la famille Croppet qui en a fait don à l’association gestionnaire. Le site appartient à la Ville de Besançon et s’étend sur 5 hectares. Sa mission initiale qui reste toujours d’actualité consistait à permettre aux personnes handicapées de réaliser une meilleure insertion sociale par le biais d’activités sportives et de loisirs.Au fil des ans, le public s’est progressivement élargi aux per- sonnes valides qui représentent 70 % des 2 400 adhérents. La pis- cine et le centre équestre servent de support à la plupart des acti- vités proposées. Le volet social est toujours bien présent avec par exemple l’équithérapie ou la section autour des métiers du cheval. L’évolution du centre est égalementmarquée par le développement de multiples partenariats. “On collabore avec le C.R.E.P.S. dans l’encadrement d’unBrevet Professionnel d’Animateur Social.” L’idée d’investir dans la construction d’un nouveau bâtiment d’héberge- ment n’est plus à l’ordre du jour. “Il semble plus opportun de tra- vailler en réseau avec d’autres structures d’hébergement et de se concentrer sur notre cœur de métier à savoir technicien du sport et du social. Le centre joue pleinement son rôle de structure d’inser- tion par l’économie puisqu’une partie des 19 salariés actuels relève de cette démarche.”

CHALLENGE Coupe de France robotique L’E.N.S.M.M. en course pour le tri sélectif

T el est le conseil de David BAUDIQUEY, PDG du fleuron de la maison indi- viduelle traditionnelle en Franche-Comté : la société BATI- MENTS et LOGEMENTS RESI- DENTIELS, par abréviation BATI- LOR, société 100% régionale qui fêtera l’année prochaine ses 30 ans d’existence. En effet, malgré les campagnes d’in- formation qui se multiplient, trop de particuliers s’engagent avec des pseudo-constructeurs, qui n’ont pas les garanties requises pour vous assurer la livraison de votre construc- tion au prix et délais annoncés. “Avec notre syndicat l’UNCMI, nous nous battons depuis des années pour faire connaître le CONTRAT DE CONSTRUCTION et les diffé- rentes garanties qui y sont atta- chées. Il faut savoir que tout écart à ce « pack garanties » que la loi a imposé, peut mener tout droit à des catastrophes graves qui engagent le particulier pour des années, si elles ne le ruinent pas tout sim- plement.” L’école d’ingénieurs bisontine participe à la Coupe de Fran- ce de Robotique du 16 au 19 mai à la Ferté-Bernard près du Mans. Préparatifs. “O n sera prêt” , annonce Arnaud Thiébault, le pré- sident du club robotique qui défendra les couleurs de l’E.N.S.M.M. lors de cette manifes- tation qui réunit 200 équipes issues d’écoles d’ingénieurs, d’I.U.T., de facul- tés. La compétition est également ouver- te à d’autres groupes indépendants composés de jeunes ayant moins de 25 ans, seul critère d’inscription requis. Bien dans l’air du temps, le thème de l’édition 2007 s’articule autour du tri sélectif. Chaque partie oppose deux robots qui devront ramasser, trier et déposer dans les containers appropriés trois types de déchets : cannettes en aluminium, bouteilles en plastique de 0,5 l et grosses piles alcaline de 1,5 V. Une manche dure 90 secondes et se dispute sur une table de 6 m 2 . Les équipes s’affrontent dans un pre- mier temps en matches de poule à l’is- sue desquelles les 16 premières, ayant accumulé le plus de points, sont qua- lifiées pour la phase finale. “Avant la compétition proprement dite, il faut d’abord franchir l’étape d’homologa- tion du robot. Il doit respecter certaines règles de sécurité et, nouveauté cette

Les étudiants de l’E.N.S.M.M. se réunis- sent deux fois par semaine pour peaufiner leur projet.

du club qui peut solliciter les conseils des enseignants sur des problèmes spé- cifiques. Le coût du projet dans sa glo- balité avoisine 8 000 euros. “On béné- ficie d’une aide de l’A.N.V.A.R. et on est dans l’attente de subventions de quelques collectivités comme la Communauté d’Agglomération du Grand Besançon.” Le budget comprend les déplacements. Une partie servira à l’organisation du challenge “Le Robot fait son show” qui se déroulera le 2 juin dans les locaux de l’E.N.S.M.M. “Une dizaine d’équipes participera à cette petite compétition qui sera accessible au public en début d’après-midi, le but étant aussi de fai- re découvrir la robotique au plus grand nombre” ajoute l’étudiant.

année, être équipé d’un système d’évitement de l’adversaire” , poursuit Arnaud. Depuis octobre 2006, ils sont une vingtaine d’élèves ingénieurs bison- tins à se retrouver deux fois par semaine dans la réalisation de ce projet. Un exercice complet dans

Une vingtaine d’élèves ingénieurs bisontins.

le sens où il intègre toutes les facettes de la conception à la réalisation sans oublier la recherche de partenaires techniques et financiers. L’entreprise Cyclad Industries fournit toutes les pièces mécaniques. L’E.N.S.M.M. met une partie de ses ateliers à disposition

DOSSIER MAISON INDIVIDUELLE CERTAINS PRÉTENDENT VOUS VENDRE DU SOLIDE ET DU DURABLE : ASSUREZ VOUS QU’ILS SONT EUX-MÊMES SOLIDES ET QU’ILS VONT DURER !!

relage à Saône), ou Comafranc dont le siège est à Belfort, mais qui s’est imposé comme un leader national. Un point commun pour ces socié- tés : pas de délocalisations en vue, un dynamisme permanent, et une fierté régionale sans cesse mise en avant. Bonne chance à toute l’équipe de Batilor, qui, devant une nouvelle année exceptionnelle, recrute actuel- lement des commerciaux et des techniciens qui veulent rejoindre une équipe professionnelle qui gagne !! Alors à vos CV…

Batilor réalise un peu moins de 200 maisons traditionnelles sur les 4 départements de Franche-Comté et dispose à ce jour d’un vaste choix de terrains. Cette société qui vient d’être agréée MAISONS DE QUA- LITE ( Association créée à l’initia- tive d’Associations d’aide aux familles) met en avant en perma- nence ses choix de faire travailler des entreprises régionales et fières de l’être, telles que Pevescal àArc- et-Senans ( spécialiste de la menui- serie PVC et de l’escalier en bois massif ), Climent ( leader du car-

Attention donc : trop de gens igno- rent ces garanties qui sont pour- tant obligatoires. Paradoxalement, les construc- teurs qui respectent la loi et vous offrent toutes les garan- ties ne sont pas les plus chers ! En effet, si la présence de BATILOR depuis 2 ans parmi les 100 plus belles entreprises de France (Magazine l’Entreprise) pour sa solidité finan- cière fait notre fierté régionale et constitue un gage de sécurité pour tout acquéreur, la société met en avant ses trophées reçus en 2004, 2005 et 2006, récompensant la qua- lité de ses réalisations sur divers critères (performances d’isolation, esthétique, etc.…), tout en maîtri- sant parfaitement sa gamme de prix qui va de 100 000 à 130 000 € . Nous ne pouvons hélas répondre à toutes les demandes que nous avons et il est vrai que nous pri- vilégions nos anciens clients qui plébiscitent notre nouvelle gam- me de maisons plain pied, ou les prospects qui nous arrivent par le bouche à oreille.

Depuis bientôt 30 ans que Batilor exerce son activité en Franche-Com- té, ce constructeur a vu disparaître de nombreuses sociétés qui ont lais- sé des situations catastrophiques tant pour les clients que pour les artisans. Le minimum lorsque vous avez pris la décision de construire, est de vérifier la solidité financiè- re de la société à qui vous allez confier le projet le plus important de votre vie. Il faut savoir que la loi impose aux vrais constructeurs de fournir à leur client une « garantie d’achèvement» émanant d’une banque ou d’une compagnie d’assurance, qui fera que, quoi qu’il arrive au construc- teur, la maison sera réalisée. Quant aux artisans sous-traitants, la loi impose aujourd’hui aux constructeurs de fournir une « garan- tie de paiement », émanant là aus- si d’une banque ou d’une compa- gnie d’assurance, certifiant encore une fois, que, quoi qu’il arrive au constructeur, le paiement des tra- vaux correctement réalisés aura bien lieu.

CONTACT BATILOR : 4 r châtillon - 25 480 Ecole Valentin - 03 81 88 26 26 www.batilor.fr

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