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25 Il y aCopenhague deuxLogesde Fvnnçs-Maçons l’une Allemande, l’autre Danoife. Elles retien­ nent alternativement tous les Mccredis, dans la mailon de Mr. le Chambellan de Lilienkrone (Bredgade No 71. Litt. T. T,). Le jardin de Pslrquebufe , hors de la porte d’Oueft. Il f ’ y aliénable une fociété d’Amateurs, qui tirent au blanc. Il y en a une autre dans la Sôlvgade à Copenhague. On y tire à l’oifeau tous les ans, & l’on y diftribue des prix, qui con­ cilient en diverfes pièces d’argenterie. La Fauconnerie , eft auffi hors de la ville, en­ tre la porte d’Oueft & celle du Nord. On y drefle quantité de faucons, qu’on fait venir d’ Is­ lande, & le Roi en fait annuellement des préfens à différentes Cours. Le bain public & gratuit, au de là du long pont, qui mene du rempart à Chriftianshave. On eft redevable de cet établifTement à un Marchand de Copenhague, nommé Lars Larfen, qui reçue en i j ss une médaillé d’or de la Société écono­ mique, en récompenfe de ce foin patriotique. Les moulins , dans & hors la ville, font au nom­ bre d’environ. 36, employés àdifférens ufages ; Les uns lontà vent, d’autres mis en aftion parPeau, ou par des chevaux ; Il y en a 14 conflruits à lama- nierehollandoife. Celui du Conftrudleur E. Efkil- fen, à un quart de lieue de Copenhague (Kildeveld) pour feier des planches, mérite d’étre vu en dé­ tail, auHTi bien que fes ateliers. Il y a aufli dans l'en­ ceinte du parc à i f lieue de la ville plufieurs mou- B 5 lins