Journal C'est à Dire 257 - Septembre 2019

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Pour l’opticien Krys à Morteau, nous avons suivi un client-mystère qui a testé la qualité de service de cette enseigne. Elle prétend associer compétences humaines et technologie pour garantir au client la correction la plus précise possible. Promesse tenue ! “Une vision parfaite, de près comme de loin”

jusqu’à ce qu’il passe la porte de l’opticien Krys à Morteau où il a été accueilli par le directeur Maxime Dubois. Philippe lui a fait part de son a priori négatif sur les verres pro- gressifs. L’opticien a pris le temps de l’écouter et de lui expliquer

montées de leurs verres progres- sifs avec appréhension. D’un coup, la vision était parfaite, de près comme de loin, sans déformation. J’ai eu l’impression de revivre, alors que cela faisait deux ans que je galérais. Mon opticien a tenu sa promesse” annonce Phi- lippe. Cela fait trois mois maintenant qu’il porte ses nouvelles lunettes. Son discours n’a pas changé. Il ne regrette pas d’avoir fait confiance à son nouvel opticien qui s’est occupé de tous les papiers pour la mutuelle. Très satisfait de ses nouveaux verres progressifs, il s’apprête à retour- ner voir Maxime Dubois pour en faire monter sur ses lunettes de soleil. n

juste et précis. C’est ce que permet la technologie “eyecode”. Pour cela, on prend en compte diffé- rents paramètres tels que le port de tête naturel de la personne” explique l’opticien. En parallèle de ces examens, il a conseillé Philippe dans le choix de ses

P hilippe ne croyait plus aux promesses des opti- ciens. Âgé d’une quaran- taine d’années, il était plein d’a priori sur leur capacité à corriger sa presbytie qui l’em- pêchait de voir de près. “Dans mon cas, le port de verres pro-

gressifs est nécessaire comme me l’a expliqué mon ophtalmologiste. Il y a deux ans, je me suis donc rendu chez un opticien de la région avec mon ordonnance. Il a monté sur des lunettes des verres qui devaient me permettre de voir correctement de près

comme de loin, en m’informant toutefois qu’il me faudrait sans doute un temps d’adaptation” raconte Philippe. Il ne parviendra jamais à supporter ses nouvelles lunettes. “Ma vision était défor- mée. Je devais sans cesse ajuster mon port de tête à chaque situa- tion pour voir net. Rapidement, j’ai eu des maux de tête, les yeux rouges et de la fatigue oculaire. Après trois jours, je ne supportais plus les verres progressifs…” Le quadragénaire finira par les ran- ger définitivement dans leur étui pour reprendre ses anciennes montures pourtant inadaptées à sa vue, “mais toujours plus confortables que les nouvelles.” Deux ans plus tard, lors d’un contrôle chez l’ophtalmologiste, il est apparu que les verres pro- gressifs étaient la solution pour corriger la presbytie de Philippe qui, fort de sa mauvaise expé- rience, envisageait plutôt de faire deux paires de lunettes : une pour voir de près et l’autre pour voir de loin. Il était désormais persuadé que les verres progres- sifs n’étaient pas faits pour lui,

qu’il ne devait pas rester sur cettemau- vaise expérience, s’engageant à adap- ter des verres qui lui garantiraient le meilleur confort visuel.

montures, dont le profil devait être compatible avec celui des verres dans un but esthétique. Dans le choix possi-

Il ne regrette pas d’avoir fait confiance à Krys.

ble proposé par le magasin, Phi- lippe a retenu des lunettes de la marque Emporio Armani. L’essayage des nouvelles mon- tures préparées avec soin par Maxime Dubois fut le moment de vérité. “J’ai mis les lunettes

Pour obtenir ce résultat, l’opticien Krys a procédé par étapes avec Philippe en lui faisant profiter de technologies qui permettent d’ajuster avec précision les verres progressifs à la vue du client. Il a contrôlé tout d’abord son acuité visuelle. Ensuite, grâce à la tech- nologie numérique “eyecode” développée par Essilor, que ce magasin est le seul à détenir dans leVal deMorteau, il a défini le positionnement idéal des verres par rapport aux yeux de Philippe. Il s’agit du centrage, une opération que certains opti- ciens effectuent encore avec un réglet, ce qui augmente la marge d’erreur. “La correction est une chose, le centrage du verre par rapport à la pupille en est une autre. Plus la correction est forte et plus il faut que le centrage soit

Grâce à la technologie “eyecode”, votre opti- cien Krys a Morteau prend des mesures précises qui permettent de centrer parfaite- ment le verre correcteur par rapport à l’oeil Une technologie idéale pour les verres progressifs.

03 81 64 48 14

15 Grande rue - MORTEAU

www.krys .com

Ouvert du lundi au samedi Du mardi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 hà 19 h Le lundi de 14h à 19h Le samedi de 9 h à 12 h 30 et de 13 h 30 à 18 h

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