Journal C'est à Dire 186 - Mars 2013

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V A L D E M O R T E A U

NOUVEAU Salon Aline À MONTLEBON Situé depuis le 20 février au premier étage d’un petit immeuble au 6 place des Minimes, le Salon d’Aline vient de changer de lieu. Il se trouve désormais au 4 bis, Place des Minimes dans une cour à droite avant le Coccimarket. Pour des raisons d’accessibilités aux personnes handicapées, j’ai dû construire un nouveau salon au rez-de-chaussée. De reste, c’est toute sa clientèle qui va EpQp¿FLHU GH FHWWH IDFLOLWp G¶DFFqV 8Q F{Wp donc très pratique avec un parking et un salon professionnel, esthétique et très lumineux. Aline et Cindy, apprentie en 1ère année de BP sont heureuses de vous accueillir dans ce nouveau salon. Les prix restent inchangés.

Les Fins La fin des raccourcis La commune dessine un nouveau plan de circulation : des rues à sens unique et des rétrécissements de voiries sont en projet alors que deux zones 30 km/h verront le jour ainsi qu’un parking à durée limitée au car- refour des Usines. La police municipale veillera.

quées. Ainsi, la rue de la Dili- gence débouchant sur le carre- four “Sous la Roche”, utilisée comme raccourci par les auto- mobilistes arrivant de Besan- çon, ou encore de la rue de la Fontaine, pourraient devenir à sens unique. Le croisement pourrait être revu afin que les automobilistes évitent de cou- per les voies. Quand au carre- four des Usines, rien n’est enco- re ficelé avec le Conseil général, en charge du projet. Un giratoire devrait être créé au niveau du stade de foot dans la perspective du prolongement de la route des Microtechniques. “Il faut encore discuter de cer- tains points avec l’ensemble du conseil municipal et les habi- tants. Outre les voies à sens unique, on peut aussi créer des écluses (voie à une file)” rapporte le maire Gérard Colard qui veut une concertation avant de prendre des décisions. La mairie a toutefois une base de travail solide depuis qu’elle a reçu - en février - son nouveau “plan de circulation et de sécu- rité des déplacements”. Ce dos- sier commandé à un cabinet de Dole pour 20 000 euros, dont 10 000 sont pris en charge par le Conseil général, doit résoudre les problèmes liés à l’augmentation du trafic routier. Si aucun accident mortel n’est intervenu en 2012, la munici- palité veut réagir. “Nous connais- sons les points noirs comme le carrefour Sous la Roche, la rue de la Diligence, la rue de la Fon-

L a commune des Fins pas- se la seconde enmatière de politique routière et de sécurité des piétons sur ses 52 km de voies commu- nales. Son objectif : trouver un nouveau plan de circulation pour résoudre le flot croissant des véhi-

cules, notamment sur les trois départementales traversant la commune. Pour exemple, 11 000 véhicules par jour transitent au carrefour des Usines. Deux zones limitées à 30 km/h, une devant la nouvelle boulan- gerie, l’autre devant le futur

complexe immobilier rempla- çant le magasin Aqua-Anima seront créées d’ici le printemps afin de limiter la vitesse, jugée trop importante. Pour la mise en place de rues à sens unique pour limiter le trafic, plusieurs pistes sont évo-

Horaires d’ouverture: Du mardi au samedi après-midi, et sur rendez-vous. Fermé le jeudi.

4 bis Place des Minimes - 25500 MONTLEBON Tél. 03 81 67 10 52

le stationnement des voitures arrivant tôt le matin repartant tard le soir. “Les frontaliers pour- ront se garer au parking de la salle polyvalente. Une signalé- tique sera mise en place” indique le maire. Attention aux res- quilleurs, la police municipale veillera. Idem pour la vitesse. E.Ch.

taine, mais voulions avoir un regard extérieur en commandant cette étude. Elle ne résout pas tout mais apporte une base de travail pour les années futures.” Outre la circulation, La com- mune des Fins repense son sta- tionnement avec une future zone bleue au niveau du restaurant de la Patte d’Ours. Il doit éviter

Initiative

Gérard Colard, maire des Fins, dévoile les contours du nouveau plan de circulation.

Pascal, le grand frère,

vient parler aux jeunes

P arents, éducateurs, jeunes, le rendez-vous est donné. Cette soirée-conférence, ouver- te à tous, marque la finalisation d’un pro- jet mené en partenariat entre la Ville de Morteau et le Lycée Edgar Faure. Depuis le début du mois de mars, cinq classes de lycéensaccom- pagnés de leurs professeurs parà des ateliers d’expression, en compagnie de la troupe théâtrale professionnelle “Le Dehors Et Le Dedans”. Les jeunes sont invités à se questionner et à se posi- tionner par rapport aux différentes formes d’addictions. C’est à partir de leurs paroles, leur vécu et leur ressenti, qu’ils vont ensuite créer des saynètes, présentées lors de la soirée du 29 avril. Des élèves d’une classe de seconde se sont égale- ment impliqués dans ce projet en élaborant un questionnaire sur le thème des addictions. La collecte d’informations auprès des lycéens leur permettra, durant cette même soi- rée, d’apporter des éléments d’analyse pour mieux comprendre ces comportements de dépendance. “Différents experts seront présents pour animer cette soirée, détaille Léa Brisbard, du C.C.A.S. de Morteau : un médecin pédopsychiatre ainsi qu’une psychologue du Réseau de Santé “Rés’Ado”, la Gendarmerie Nationale de Mor- Soirée d’information et d’échanges le lundi 29 avril à 20 heures au théâtre de Morteau, en présence de Pas- cal Soetens, mieux connu sous le nom de “Pascal le grand frère” de l’émission de coaching familial dif- fusée sur TF1. La soirée est consa- crée aux conduites à risques et autres formes de dépendances.

Pascal est “dans la vraie vie” animateur socio-culturel.

teau, un médecin spécialiste en addictologie et donc, Pascal Soetens, éducateur sportif et ani- mateur de l’émission sur TF1.” Par son expérience, le “grand frère” pourra appor- ter des conseils aux parents pour mieux com- prendre les jeunes et prévenir les dérives… Pas- cal Soetens, 43 ans, est animateur socio-cultu- rel en centre social et passionné d’arts martiaux. Sur la demande des parents, il est chargé de remettre sur le droit chemin un adolescent en manque de repère. Il a grandi à Creil en région parisienne et y amène d'ailleurs souvent les adolescents en difficulté dont il s’occupe pour éveiller en eux une pri- se de conscience sur la dure réalité de la vie. Son rôle : rétablir l’écoute et un climat de confiance au sein de familles où parents et adolescents vivent des situations conflictuelles. L’entrée est gratuite. Les renseignements sont à prendre auprès du C.C.A.S. Au 03 81 68 56 86.

Il pourra apporter des conseils aux parents.

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