IIW History 1948-1958

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La seconde, similaire et a laquelle etaient assoc1es des experts des Etats– Unis et du Canada, s'est effectuee a travers les pays d 'Europe. Chaque dele– gation nationale a pu rapporter de ces visites des informations precieuses, au vu de performances scientifiques et techniques qui, dans certains cas, etaient a peine soupi;onnees par elles. C'est le vceu bien naturel des fondateurs de l'IIS que les organismes nationaux constituant ses affilies se developpent, qu'ils soient mieux connus dans leur propre pays. Les activites de l'IIS doivent avoir comme consequences finales des progres dans le soudage, un elargissement des procedes, un meilleur rende– ment des operations et une baisse du prix de revient. I1 appartient aux organisations nationales d'informer au mieux leurs ressor– tissants des travaux effectues et des questions posees par l'IIS. La parution des documents recommandes pour publication (r) dans les revues nationales constitue l'un des moyens de diffusion. Les contacts que les delegues et les experts aupres des commissions de l'IIS ont avec leurs compatriotes au sein des com– missions nationales correspondantes, creees dans beaucoup de pays, offrent une solution complementaire et indispensable a ce probleme d'information. En outre, dans des pays comme les Etats-Unis avec le «Welding Research Abroad», l' Allemagne avec le « Mitteilungsblatt des Technischen Ausschusses des DVS », les organisations nationales portent a la connaissance de certains de leurs membres au moyen d'une publication privee uombre d'iuformatious et de documents de travail de l'IIS. La Belgique a pris des dispositions similaires. Quels que soient le degre d'evolution et l'importance d ' une organisation nationale, il ne peut lui etre qu'utile de conna1tre ce que d'autres pensent ou entreprennent et la fai;on dont ils resolvent leurs problemes. Les hommes avises out souvent dit : « Les portes fermees laissent plus au dehors que ce qu'elles gardent en dedans ». H. BIERS.

(r) Voir ace sujet la troisieme partie, Annexe III.