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L’arriyëe, des oeuvres de Thorvaldsen, à Copenhague fut une fête nationale.dont la médaille de Christensen relate la date et gardera le souvenir, lorsque se seront éteints, cpmme 1/illustre maître, les nombreux amis qu’il a laissés, les dignes élèves qu’il,a, formés,, et toute la, génération danoise qui rayait*connu personnellement et qui était si heureuse de l’acclamer. Pour exposer les richesses artistiques que la Rotai avait rapportées de l’Italie,, l’architecte Binnesbœl; se confon* mant aux indications données par. Thorvaldsen, construisit im musée vaste et original. Une souscription publique, un important subside vôté par la ville; de. Copenhague, per­ mirent de:donner de larges, proportions à cet,édifice, pour lequel le souverain octroyait un, terrain dépendant; du palais royal,.Bâti.en un style:éclectiq.uej qui tient à la fois de l’égyptien et des monuments archaïques de laGrèce,, ce vaste parallélogramme se dresse le long du canal) du Gammelstrandet touche au palais de. Christiansborg;, Sur, les. murs extérieurs.; des ailes latérales, dont les assises* s’inclinent, à .la façon des pylônes de Thèbes, des stucs* colorés, en jaune et en noir, représentent les, épisodes du voyage des navires qui, rapportèrent les; œuvres: et leu collections, de. Thorvaldsen, les fêtes nationales qui sat­ inèrent l’arrivée du maître, et de ce don, précieux., Au, faîte de .l’entrée,, se.dresse,le char. de. la.Victoire, donné pan Christian VIII : bronze monumental, coulé par Dalhof,,suri ' un.modèle, composé-par.Bisseri, l?élève:favori duThorvald*-<

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