Quelle ville?

Les questions qui animent nos pensées, nos débats et nos conflits aujourd’hui, se trouvaient là, en Sa présence, aux commencements de la marche : autant de nœuds, autant de polarités, autant d’impossibles oppositions, autant de contradictions, ou autant d’ambigüités. Religion ou vie spirituelle ; croyance et superstition ou raison et méthode ; la loi de l’argent ou celle du partage ; productivité ou service ; l’art ou l’utilité ; la contemplation ou l’action ; la hiérarchie ou l’anarchie ; libre croissance ou développement planifié ; austérité ou richesse ; vénération ou exploitation ; technologie ou autonomie ; la loi du désir ou celle du progrès ; la vérité révélée ou reçue, ou la vérité découverte par l’expérience vécue… Quelles seraient les relations des apprentis du nouveau monde avec les dieux et les cultes, avec le marché mondial, avec les découvertes scientifiques et technologiques, avec les moyens de divertissement, avec les médecines, avec le gouvernement, avec les medias, avec la politique, avec les évènements mondiaux ? Certainement avec les années nous avons pu explorer la gamme presque infinie des attitudes individuelles envers l’une ou l’autre de ces questions, mais nous ne sommes pas encore capables collectivement d’exercer un discernement spontané qui soit sûr et fondé dans la conscience du Vrai.

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Qu’avait-Elle enseigné au sujet des religions, de la religion, de l’attitude religieuse ?

Pour de nombreux milliers de Ses enfants, Elle était depuis longtemps la Mère, la Mère divine, c’est-à-dire que Son identification à l’Ishwari du Suprême était acquise et d’innombrables fois vérifiée dans leur expérience.

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