Quelle ville?

Elle voulait que chacun apprenne maintenant à recevoir en silence, sans mots, l’inspiration juste – mais ici et là, autour d’Elle, la confusion guettait. Elle voulait que tous les habitants de Sa ville soient engagés concrètement et, par le travail, offrent les énergies au changement et apprennent à recevoir la Force – mais combien de petites résistances et de petits mensonges venaient obstruer la circulation de cette grande Harmonie !

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Pour Leur ashram, toutes les étapes de la croissance, depuis le commencement dans deux maisons louées pour une poignée de disciples jusqu’à ce jour de 1973, avaient été organiques, c’est-à-dire qu’il n’y avait eu aucune planification d’aucune sorte, mais un développement dicté par la réalité dynamique des besoins ; Elle considérait que toute intrusion de méthodes mentales interférait avec la réceptivité nécessaire à la Conscience de Vérité et générait à la fois la confusion et la rigidité. La seule réelle liberté créative ne pouvait s’exprimer qu’en restant toujours uni à l’inspiration supérieure, en toute circonstance et à tout moment.

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S’il nous arrive parfois de percevoir un mouvement vrai, ou comment se meut la vraie conscience, nous ne pouvons pourtant nous empêcher d’en prendre note mentalement, puis de l’interpréter afin de l’ériger en règle de conduite, sinon en doctrine. « Elle a dit », « Il a écrit », - l’on se sert ainsi des paroles des Maîtres pour débattre et s’affronter, pour justifier et accuser, pour obtenir, intimider,

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