Quelle ville?

La discipline correspondant à cette sadhana du scribe demandait qu’après chaque entretien il transcrive l’enregistrement et le lui présente afin qu’Elle choisisse Elle-même les passages qui pourraient être publiés dans le Bulletin de l’ashram, pour diffuser parmi tous Ses enfants l’essence du progrès et de l’avance, tandis que le reste, plus volumineux, était préservé – pour plus tard. (C’étaient les « Notes sur le Chemin », qui paraissaient chaque trimestre, parmi d’autres articles et compte-rendus des diverses activités.) C’est S. qu’Elle avait choisi des années auparavant, et Lui à travers Elle, comme Leur écrivain, leur communicateur, surtout auprès d’un public occidental, qui saurait rendre accessible sans le diminuer Leur yoga d’unification et de transformation et sa pertinence dans le présent et pour l’avenir de la Terre. Au cours des années, comme Elle l’avait fait pour tant de disciples, Elle l’avait éduqué à se tourner vers les sources sûres de la plus haute inspiration et il avait pu développer sa capacité d’invocateur auprès d’Elle. Beaucoup parmi les nouveaux arrivants avaient été marqués et orientés par la lecture de l’un ou l’autre de ses livres et de son côté il avait accueilli avec une sympathie fraternelle tous ces aspirants singuliers, parfois un peu égarés ou confus et souvent passablement dévergondés. C’est à Son scribe également qu’Elle éclaircit nombre d’aspects et de tracés fondateurs de Sa ville à bâtir - et d’abord dans les cœurs et les consciences.

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Les deuxième et troisième questions qui brûlaient en lui concernaient le service qu’il pouvait encore, ou devait encore rendre : devrait-il poursuivre la discipline de l’écriture afin d’atteindre plus d’âmes en quête, de

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