Quelle ville?

terres et utilisatrice des donations, qui tentaient d’enrégimenter les candidats à l’aventure, et la plupart des habitants qui n’étaient guère enclins à se plier aux règlements et conditions stipulés.

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Ceux qui dés lors se trouvaient, sans Elle, responsables de la Société légale, étaient, comme la plupart des membres de l’ashram, Indiens de naissance et de formation, tandis que la majorité des nouveaux-venus, candidats à l’aventure de Sa ville, étaient natifs de l’Occident. C’est généralement par un mouvement de reconnaissance et de dévotion que les premiers étaient venus La servir, tandis que les seconds s’étaient sentis appelés par la force et la possibilité d’un grand changement de conscience et de condition, dont ils avaient en Elle trouvé l’incarnation. Les différences d’appartenance et de conditionnement culturels se révélaient, sans Elle pour les contenir, très considérables – et les incompréhensions et les malentendus se multipliaient.

Pourparlers et négociations demeuraient stériles.

Les dirigeants de la Société menacèrent de couper les fonds, d’intenter des procès. Certains crurent possible de construire des ponts, d’identifier une zone de collaboration, de proposer des compromis temporaires.

Rien n’y fit.

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