Quelle ville?

N’y aurait-il aucune hiérarchie d’obéissance, aucun guide, aucun lieu essentiel ?

La vie de l’ashram, surtout depuis qu’Elle S’était retirée, était rythmée par les moments de recueillement et de renouvellement que chacun pouvait trouver auprès du Samadhi. Un lieu de silence et de concentration semblait indispensable au progrès de la conscience physique.

Aucun être humain ne pouvait Les représenter, mais un symbole le pourrait-il, un espace consacré ?

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Lui, avait clairement affirmé qu’il était impossible de s’engager dans ce yoga sans l’aide et la force de la Mère et qu’aucune transformation ne pourrait s’accomplir sans l’action de Sa Grâce.

La Mère divine, la Grande Shakti, la Conscience-Force : la Vérité en marche.

La Force créatrice : sans Elle, rien ne pourrait se manifester.

Plus que le Principe féminin, il s’agit du Tapas de la Conscience.

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Mais comment, sans retomber dans la religion et ses inévitables superstitions, actualiser dans les formes un espace, un symbole et un acte qui soient porteurs de cette Force de Conscience et de son pouvoir à la fois protecteur, révélateur et transformateur ?

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