Quelle ville?

et la purification, puis la beauté de la Nature, rien de surchargé, l’aspiration et la noblesse des grands arbres, la richesse et la variété des arbustes et des fleurs, l’ouvrage des artisans pour les sentiers pavés et les bancs.

Et l’aire de recueillement serait entourée d’un mur, pour y préserver l’atmosphère.

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Autour de l’aire centrale s’ouvriraient quatre grands pétales égaux, chacun contenant l’une des quatre grandes parties principales : une pour les activités productives, la seconde pour les activités culturelles, la troisième pour les habitations et la quatrième pour les activités internationales, avec, sur la périphérie, de petits pétales pour les services et les activités avec l’extérieur et des enclaves pour ceux des travailleurs et des employés qui souhaiteraient y vivre.

Ce n’était pas dogmatique, c’était comme un simple guide structurel adaptable.

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Toute personne qui a un peu réfléchi à la condition humaine et à la situation terrestre se dira prête à œuvrer pour la manifestation de l’unité humaine ou, tout au moins, affirmera souhaiter son avènement : et ainsi l’objectif déclaré de ce projet ne pourrait guère susciter d’opposition raisonnée. L’ironie, cependant, de cet engagement, est assez formidable : car l’unité n’existe, ne peut exister que dans et par le divin.

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