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de Lyon en particulier, der udkom i Lyon 1842 og blev pris
belønnet af det medie. Selsk. i Lyon pag. 197 . . . . 11 est une
séparation, que nous regrettons de ne point voir établie,
elle aurait pour but d’isoler les filles prostituées, qui ont
perdu tout sentiment de pudeur, des femmes malbeu-
reuses, des filles séduites, mais non pas perdues sans
retour: compromises par la passion ou par une faute,
qui leur est étrangére, elles sont mélangées avec des
créatures, dont la société les bl esse ou les pervertit.
„Le respect du å la pauvreté ou
k
l’infortune, suivant
les paroles du professeur de Gérando, (i hans Værk de
la bienfaisance publique) veut, qu’on crée des distinctions
entre les filles malades par suite de débauches, et les
victimes innocentes.
Les bonnes mæurs souffrent de ce
rapprochement; il y a nécessité d’introduire entre elles
une classification relative au degré plus ou moins prononcé
de corruption.“
Paris, toujours dans le progrés, a
séquestré å Saint-Lazare les prostituées; l’hospital de
l’Oursine est. l’asile des femmes malades, qui ne sont
point justiciables de la préfecture de police........................
. . . . . . . Pagina 273 i samme Skrift taler han:
...........................„Classées en méme temps suivant les
exigences de la morale, et suivant les régles de l’art,
les femmes vénériennes admises å l’hospice devront étre
réparties en quatre divisions distinctes.
La premiere sera destin ée aux filles publiques recon-
nues ou enregistrées å la police, qui demandent une sur-
veillance spéciale, une séquestration rigoureuse...............
Une autre division réunira les nourrices, les femmes
mariées, victimes d’une faute étrangére, les jeunes filles
cruellement punies d’une faiblesse ou d’une erreur, mais
non perdues sans retour.
Les enfants souillés par le vice originel ou par des
brutalités hontenses, malheureusement trop fréq-uentes.