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Une civilisation –
Où que tu apparaisses,
La porte qui s’ouvre
Quand l’on s’adresse à toi
Est révélée à tous ceux
Dont le cœur est uni
A sa source –
Où que tu déambules,
Tel un grand Devin
Tu sais
Où se trouvent les richesses –
Car la création toute entière
Est issue de la Mère,
Perdure par Elle
Et par Elle est détruite –
Jusqu’à ce que chacune de ses formes
Trouve enfin sa propre
Vérité
Dans la joie infinie
De l’Unique…
(12-05-11)
*
7-30
O Ganesha,
Tu portes la Tiare
De la connaissance du Feu
Et à lente allure tu chevauches
Ta monture dévouée
A travers les plaines voisines,
Conscient de l’écho désastreux
Du désordre universel