Quelle ville?

C’est la paix, la puissance tranquille d’harmonies conjuguées, l’énergie d’un constant renouveau : entouré, protégé, abrité, soutenu par la beauté et la richesse de la Nature, l’humain, le divin évolutif, offre la forme de sa prière et de son offrande la plus intégrale, la plus parfaite et la plus unie, celle d’une sphère.

C’est cela qui doit habiter et animer le centre de Sa ville.

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Ce que R. a proposé, et tenté d’imposer, est une terre brûlée par l’émergence d’un pouvoir glorieux.

Mais de quelle gloire s’agit-il ?

Oui, le pouvoir de la Vérité doit triompher de toute obscurité ; oui, l’ego et son ombre projetée doivent être dissouts.

Est-ce pour laisser un désert habité de robots assermentés ?

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R. disposait donc à présent d’une raison légitime d’abandonner le projet du parc – de ces jardins extérieurs auxquels il avait donné son accord plus de vingt ans auparavant - : l’on n’en parlerait plus, aucun discours officiel désormais n’en ferait mention – sauf par inadvertance.

La plupart des grands arbres sont toujours là, à l’aube du grand anniversaire, plus nobles encore, mais devenus « illégaux ».

Tout effort d’harmonisation fut rejeté, même la proposition énoncée par des membres du Conseil de concentrer le lac à l’Est, là où l’on n’avait encore

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