Quelle ville?

Il aurait fallu que la formulation préalable, issue d’une vision ouverte de l’ensemble, de quelques clés d’harmonie que chacun devrait observer, ait été déjà volontairement partagée – de simples paramètres applicables dans tous les cas, tels que l’orientation, la distance du bord des rues ou passages d’accès, un langage commun des façades, par exemple -.

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Mais les seuls repères sur lesquels tous parvenaient presque à s’entendre étaient la répartition des quatre zones et l’emplacement des routes, rues ou avenues, circulaires ou radiales, bien que, là aussi, l’absurdité de certaines situations aurait pu conduire à une adaptation plus généreuse, ou moins conflictuelle, puisque dans plusieurs cas, le tracé décrété par la carte ne pouvait être transcrit physiquement sans devoir s’interrompre abruptement devant la clôture d’un terrain privé, ou le précipité d’une ravine. A ce jour, cette première avenue pavée, presque entièrement bordée d’immeubles résidentiels sur ses deux côtés, se trouve pour la troisième fois déjà toute chamboulée par l’excavation d’une tranchée latérale et l’installation de nouveaux câbles souterrains – ce pourrait être aussi bien une tuyauterie pour un nouveau système d’évacuation des eaux usées -, réfléchissant ainsi les découvertes, innovations et améliorations successives, ainsi que le débat permanent entre le professionnalisme et l’amateurisme dans la communauté.

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Pourtant, qu’à cela ne tienne, la nouvelle « aventure » proclamée au nom de la galaxie, cette gigantesque construction de la plus longue des « lignes de force », appelée « bonne volonté », s’annonce imminente : ses

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