Quelle ville?

loisir, ainsi que ces compositions ornementales tenant lieu de jardins autour de sa sphère, en buvant une tasse de café, faisait appel à l’instinct grégaire des habitants de Sa ville et leur épargnait tout effort de conscience plus considérable – chacun devrait y trouver suffisamment d’avantages pratiques pour s’en satisfaire ou s’en accommoder. Le service de gestion financière, les bureaux et salles de réunion des groupes de travail les plus stratégiques, l’administration des documents, des admissions, des titres et des registres – bientôt ces lieux formèrent les organes indispensables de la vie collective et leur architecture singulière, approuvée par R., devint un repère visuel caractéristique de la physionomie urbaine. Il fut alors décidé par les fidèles, dont certains avaient accès à des sources financières, que l’on y construirait également quelques hauts bâtiments résidentiels qui seraient en principe réservés à ceux qui se donnaient à plein temps à l’œuvre sacrée.

Il y eut ainsi une modification et une adaptation appréciables du plan général original – pour la bonne cause.

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Les orientations économiques qui se sont instaurées au cours de ces mêmes années tentent de concilier des mouvements de nature différente et de s’adapter à diverses contraintes extérieures : en effet, les conditions physiques, pratiques, légales et politiques qui accompagnent cette aventure et déterminent en partie les termes de son progrès sont telles qu’aucune communauté ne pourrait y survivre par ses propres moyens. Les sommes d’argent gagnées par les unités commerciales de Sa ville ne pourraient d’aucune manière suffire ne serait-ce qu’à l’entretien et la protection des terres et des routes.

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