le Barman doil
~Ire
prudent
à
la faire fonction–
ner, afin d'ch·iler
HUX
clients qui pourraient se
lrou\'er auprl-s du comptoir d'être éclaboussés cli'
c•afé, pendaul que la machine fonclionnl', vu sa
forte pression de Ya peur.
Il
est
par conséquc•nt préférable• qu'un<.' ma–
chine semblable soit placée derrière
k
13ar,
flans
l'Officl'
oit
Il' l:n·agc des
,·erres
s'elTel'lul',
c·k. Ceci de mênH'
e~l
recomma11d:1hle pour la
machine
à
piler
la
glace.
EPLVCHOIR des CITRO:\S. -
Je
ne
recom-
111tt1Hle pas
l'usag~
de cc dernier, qui
détruit
l'huile
de
la pl'lure. La théorie du \'éritablc
c
llnr Américain » enseigne que la pelure
cl<'
··ilron ainsi que d'Orange. ne doit jamais êlrc
ijnuléc
à
la boisson . Certains Je font, mais
c
'l·~t
une erreur. Si le client demande un cock-
111
il il
suffiit au Barman de coupcr une pcli le
11.111d1c de pelure de citron ou d'Orange, et,
tl1•
111·c·sscr délitatcmcnl aYec
le
pouce
,!t
l'i n dex
l'h11l lc•
de
la pel ure da ns
la
boisson
dèj à
prêle.
c
1•
H)'HI
ème doit de m ême êtr e employé pour
""" hoissons spéciales appelées
«
Am6ricaines ».
l
111•
fo ls l'hu ile pressée hors
clc
l a
pelure j etez
" Il
1•
tll'l'11iè1·e.
CHAPITRE
III.
lli\HILLEl\IENT -
PROPRETE
1
t1M~ll'l
1
;-r
SE COMPORTER AVEC LE
CLIENT.
1 1 p111p11'11\ clu personnel doit particuliè1·c-
111
ut
(111
n
rn111mnnùée,
soit dans la person-
11
1
\
1
lt
1111•11t~
l't
les mains.
1
1
1111111
111
clo1t être poli, toujours prêt cl
l1h1
t
1 '"
j1111111i~
prrdre la honne humeur.
17