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Le tram passe ensuite devant le

Théåtre Dag­

mar,

puis å l’Axeltorv devant l’entrée principale

de Tivoli. On a un coup d’oeil sur les allées vertes

et les pelouses du jardin, sur les coupoles orien-

tales de la salle de concert et puis on emporte un

souvenir de l’établissement populaire ou du res­

taurant mondain de Gopenhaguiens »Wivel«

qui a sa facade ici sur la Vesterbrogade. On voit

ensuite la

Colonrxe de la Liberté

(un monument de

la libération des paysans) juste au milieu de la

place au-dessus de la voie ferrée devant la

facade de la

Gare principale.

A gauche, le

Musée

du peuple danois

(Dansk Folkemuseum) conserve

jusqu’å nouvel ordre ses interessantes collections

de costumes, d’art industriel et d ’intérieurs histori-

ques dans une maison privée (Vesterbrogade Nr. 3).

— A droite, une échappée vers les lacs qui s’éten-

dent avec leurs jardins et leurs promenades

jusqu’au faubourg d’Østerbro.

Puis la rue se referme et l’on passe devant la

petite place de Vesterbros Torv, avec le

Nouveau

Théåtre

et l’église de

Saint-Elie,

devant le beau

et vieux båtiment du

Tir royal

et l’on arrive å

l’Allée de Frederiksberg ou les arbres verts recom-

leichte Beforderungsmittel, dass es so gut wie von

allen Burgern der Stadt, ohne Riicksicht auf Ge-

sellschaftskreise und Stand, denen sie angehoren,

benutzt wird. In jedem Alter huldigen beide Ge-

schlechter begeistert dem Radfahrsport. Man kann

ruliig annehmen, dass von Kopenhagens 725,000

Einwohnern 400,000 Radfahrer sind, wenn natur-

licli auch nicht bei jeder Gelegenheit oder zu jeder

Jahreszeit.

Einen besonders erfreulichen Eindruck von

diesem spezifisch kopenhagener Verkehr erhålt

man am hesten an einem Fruhlings- oder Som-

mernachmittag um 5 Uhr, auf der Frederiksborg-

gade, (einer Verbindungsstrasse zwischen dem

alten Stadtteil [der Købmagergade] und der gros­

sen Arbeitervorstadt Nørrebro) oder auf der Ve­

sterbrogade vor dem Hauptbalinhof und dem T i­

voli, aber besonders auf dem Rathausplatz. Zu

Tausenden kommen da die Kopenhagener und

nicht weniger die Kopenhagenerinnen nach

Schluss ihrer Kontore und Geschåfte in dichten

Kolonien herangerollt. Die blanken Steuer blitzen

in der Sonne, wenn sie langs der Fah rbahn dah in-

jagen. Das ist wie Heringsblink, uncl die Radfahrer

»Søndermarken«.

Near Frederiksberg Castle. — Pres du Chåteau de Frederiksberg. — Beim Schloss Frederiksberg.

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