A V E R T
1
S S E M E
N T.
LA
Chimie du goût et de l'odorat,
telle qu'elle a paru dans l'édition de
1765, ne m'a jamais semblé un
sujet
assez important pour me porter
à
croire
qu'il exigeât plus de soin et de travail
que n'en corr..porte un ouvrage de cette
nature; je veux dire un ouvrage de pur
amusement. Chargé de le revoir, je
n'ai eu env ue que de lui donner un
nouveau degré de perfection; j'ai pensé
que, travaillé avec plus de soin, et en–
richi de toutes les augmentations dont
il était susceptible, cet ouvrage pouvait
devenir plus
utile.
Frappé
de
cette
rai..
A