146 / 488
U6
11UITÊ
ObsertJations.
-
Les sncres destint!s
à
l'exportation
sont livrés au
taux
l"Onvcnu entre le
v~ndeur
et l'aclac–
teor; mais la douane n'accorde la prime sur le
pa–
pier qt1e d'après les lois
et
ordonnances Dans les
raf–
fineries de Paris, les futailles
cl
l'emballage sont à
la
charge de l'acheteur.
SUCRE
o'.,tTRES RAFFINERIES.
Escompte :
3
p.
rno.
Tart
brute
pour netle , tels qu'ils se comporlent
a·wc
papier et ficelle, pesés sur le plateau. Lorsque les
sucres sont en futailles, l'emballage reste
à l'a–
cheteur.
PILÉ.
Escompte:
3 p.
tOO.
Tare
nette,
en caisses ou
futailles.
DB PAlis, BATARD.
Escompte :
3
p.
iOO.
Tart ntllt,
sans
pa~ier.
-1
1·1
VERGEOISE.
Escompte :
3 p.
fOO.
Tare nellt
,
sans
papier.
StROP
DE
11B.ussE des raffineries de Paris.
Escompte :
J
p.
toO.
Tare
nette :
la futaille rebattue et plâtrée
est à
la
charge du vendeur.
Nous dirons en lerminant que le sucre en gros cris–
taux brillants,
à
facettes et angles bien nets, est désigné
sous le nom de
sucre
candi.
On en distingue trois sortes,
dont les noms varient selon les nuances, ce sont let1
cantli3
blanc,
paillt
d
roux.
Là
mélasse
est le dernier résidu de l'extraction et du
raffinage du sucre ; c'est un sirop dense ,
visqu~nx,
in–
cristallisable, marqna.1t de
.11
à
.u•
à
l'aréomètre
d,~
Baumé (pèse-sirop).
Sa
couleur t>sl jaune foncé, brun
clair ou preS<1ue noir, sninnt sa (\mvonance; ce produit