DES L1QUEURS.
'H9
sant dans une
chaudièt·e
contenant de
100
à
iOO
litres
d'
au à 25 ou 30°, <le
J
à 10 1mrlits d'orge germé (malt) ,
· ntinuaol de ·haurr 'r ju qu'à 60°, et
011
y
ajoute
;>()
kil.
d
··cul· na• ilanl le liquide 4u'on rnainlienl
à
700
pen–
dant
~o
minute . Le liquide, de \isqueux qu'il étail,
ù
•\i
•nl fluide comme l'eau; on le pol"lc rapidement à la
lcmp •rature <le 100°; 11uis on laisse rdroidir, on lire
à
lair,
on fillrc
el
011
l'ail
é'aporer·
le liquide en consi -
lance cle sirop •pais. Par le refroidi em nl, la dexlri11,
~
• prend
n
gelée opaque, qui , de séchée,
de,·i •nl sè–
b • cl ca sanlc , analogue
à
la gomme amhit1uc. La
dcdrinc se transforme en glucose po.r
le
acides ou par
l'oriœ
or
·nné
ajouli'
'Il
11uanlilé plu
fot
lc.
Sucre de {Jcule ou de pomme de terre.
-
Ou
110111111c
aird un produit, doul la dé>convcl'lc csl duc :'t Kirdtoll',
'fui lu
fil
dan l'année 1812, en lrnilanl la fécule par l'a
cide ulfurique étendu d'eau. Cc sucre
c~L
d'un• nalun
ahsolum nl
scmhlaLlc
it
cclni
qu'on
r •Lil'e d s raisins el
dt•s
fruit· sucrés. Voici le procédé le plus si111pl · pour
~one
·lraclion.
11
délaye
1~
kilog. d' fécule dr
1101111111'
d • l
·rre
dan 40
litres d'eau aigui
é'
de
200 gramtues
d'acide sulfuriqu . Qn fait bouillir l • m ;lange tians
u11
'ltse qui ue pui ·- · ètrc ail "ré
par
l'acide sulfurique,
comme une bas
inc
rev\Lue
i11térieurcmenl tic plomb;
l'on a
rite
pendant la pr •mière h ure de l'ébullition. La
ma ' deYi nt alor plus liquide el n'a plu be!loin d'ètrc
n~mu
"c continu
'llcme.nl. L'eau <loil être rempla ·ée au
fur elà m •sure de son évaporation. Lorsque la lit1ueur a
suffi ammcol bouilli (environ 8 heure ), il faul
y
ajouter
lfp
la craie ou du blanc d'Espagne (carlJonal • do chaux) ,
pour salurer l'aride ; on
darifie
\.l\t'l'
du charbnn,
il<' ·