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RISQUES ET CONTRÔLE
1. Facteurs de risques
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SAINT-GOBAIN
- DOCUMENT DE RÉFÉRENCE 2016
continuité d’activité, déployées au niveau du Groupe et
contrôlées par la Direction de l’Audit et du Contrôle Internes.
d’applications, de sauvegardes de données et de plans de
strictes en matière de gouvernance et de sécurité des
systèmes d’information, tant en matière d’infrastructures que
Afin de minimiser l’impact de ce type de dysfonctionnements,
la Direction des Systèmes d’Information a instauré des règles
ses résultats financiers.
Ces dysfonctionnements pourraient affecter défavorablement
les opérations du Groupe, la protection de son savoir-faire et
Risque de crédit clients
1.1.9
ainsi que du nombre important de clients du Groupe. Les
Le risque de crédit des clients du Groupe est limité du fait de
la multiplicité des activités, de leurs implantations mondiales
note 3 de l’annexe aux comptes consolidés, section 1 du
chapitre 9). Néanmoins, en fonction de l’évolution de la
dépassements d’échéances sont analysés régulièrement et
une provision est constituée si nécessaire (se reporter à la
situation économique, le risque de crédit des clients pourrait
éventuellement s’accroître.
RISQUES LIÉS AUX STRUCTURES DU GROUPE
1.2
et aux restructurations
Risques liés à la réduction des coûts
1.2.1
Le Groupe a mis en place diverses initiatives de réduction des
prévisions. En particulier, certaines initiatives, telles que
les économies envisagées seront bien réalisées ni que les
charges afférentes aux restructurations n’excéderont pas les
coûts et de restructurations. Alors que le Groupe entend
poursuivre la réduction de ses coûts, il ne peut garantir que
réaliser les réductions de coûts espérées pourraient avoir un
effet significatif défavorable sur les résultats du Groupe ainsi
coûts moindres ou plus longues à réaliser. Une augmentation
des coûts de restructuration et/ou l’incapacité du Groupe à
certaines opérations de restructuration, peuvent conduire à
des dépassements de coûts, à la réalisation de réductions de
que sur ses perspectives.
Groupe en matière de retraite et
engagements assimilés
Risques liés aux engagements du
1.2.2
sont pour la plupart plus ouverts aux nouveaux salariés. Au
31 décembre 2016, le montant total des engagements au titre
en Allemagne, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni) et en
Amérique du Nord (États-Unis et Canada), régimes qui ne
de régimes de retraite et engagements assimilés
principalement en Europe de l’Ouest (notamment en France,
Le Groupe comptabilise des engagements significatifs au titre
des plans de retraite s’élevait à 12,7 milliards d’euros.
(3,5 milliards d’euros au 31 décembre 2016) pourrait être
Le niveau de provision des plans de retraite du Groupe
marché des investissements effectués dans le cadre des
plans, constitués principalement d’actions et d’obligations.
taux de mortalité ou encore un accroissement des taux
d’inflation utilisés, ou bien par une diminution des valeurs de
diminution des taux d’actualisation utilisés pour mesurer les
engagements futurs, une modification des hypothèses de
affecté par des changements défavorables dans les
hypothèses de calcul actuariel des passifs des plans, par une
et aux dépréciations d’actifs
corporels et incorporels
Risques liés aux écarts d’acquisition
1.2.3
(respectivement, 2,1 et 10,7 milliards d’euros au 31 décembre
2016). Conformément aux méthodes comptables retenues
Le Groupe possède un montant significatif d’actifs
incorporels liés aux marques et aux écarts d’acquisition
de dépréciation périodiques ou lorsqu’apparaissent des
indicateurs de dépréciation. La dépréciation des écarts
par le Groupe, les écarts d’acquisition et certains autres actifs
incorporels d’une durée de vie indéfinie font l’objet de tests
dépréciation des écarts d’acquisition du Groupe pourrait
avoir un effet défavorable sur son résultat net.
changements de législations ou de réglementations
défavorables ainsi que de nombreux autres facteurs. La
résulter notamment de la détérioration de la performance du
Groupe, de conditions de marché défavorables, de
d’acquisition et des autres actifs incorporels identifiés peut
pourraient également être sujets à dépréciation en cas
Les actifs corporels (11,7 milliards d’euros au 31 décembre
2016), représentant un quart de l’ensemble des actifs environ,
d’évolutions défavorables de l’activité.
à fin décembre 2016 (44 856 millions à fin décembre 2015)
soit 27 % (26 % en 2015).
à fin décembre 2016 (11 587 millions d’euros à fin
décembre 2015) rapporté au total de l’actif de 43 767 millions
Les immobilisations corporelles sont de 11 654 millions d’euros