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*1-1-1982, Auroville:

We sit with everybody at the amphitheatre watching a low fire prepared by F.Gr

that burns all on one side and creeps along without glory…

We leave early, rather than face empty greetings…

*2-1-1982, Auroville:

Reading the newspaper, I am rushed into a fold of ordinary consciousness, where it

is obvious that there is nowhere in “me” any fitness for this path… I am only meant

for an ordinary life, with some special traits, granted, but close-ended and devoid of

any decisive aspiration, of any radical fire… And it is maddening, idiotic…: a hole I

fell in!

*3-1-1982, Auroville:

I seem to know, deep within me, that I am after something that is worth finding…

But, admittedly, I must not complain if it is not easy…!

*4-1-1982, Auroville:

On ne sait pas ne pas interférer. On est obligé de croire encore à la nécessité de

nos efforts, de nos progrès psychologiques, dans cette alchimie trop grande et trop

complexe pour n’être jamais contenue par la petite personne…

*5-1-1982, Auroville :

De nouveau Diane pense à partir…

Il est probablement impossible pour cette substance encore gouvernée par le

mental de dépasser cette disposition des pôles – masculin, féminin… C’est pourtant

un aspect du problème qu’il m’a été donné de porter et d’apprendre à offrir…

*6-1-1982, Auroville :

Le travail sur la structure étant retardé à cause de la soudure, j’avais choisi de

passer quelques jours à tailler les arbres et arbustes du côté de la Cuisine…

Ce matin, revenant de la classe de danse, je trouve Cl avec Diane, venue me

« convier » le message de F.Gr: je dois cesser de travailler dans les Jardins, car

c’est là son domaine…

… Tout fait mal… Et moi aussi je fais mal…

J’ai voulu tout laisser… C’est sans issue.

Diane veut partir et ne le veut pas, à la fois, et elle tire et elle presse, jusqu’à ce

que j’éclate, encore une fois.

Nous sommes tous les deux comme fous, possédés…

Elle n’est qu’un « Non » de son côté d’un abîme, elle femme et moi homme, sans

l’être vraiment…

Je l’ai frappée, encore…

Puis, dans le calme revenu, nous passons des heures à parler…

*7-1-1982, Auroville :