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*25-12-1972, Saint B. :
Je me sens perdu et malheureux comme dans le puits contraignant de ma propre
chute… Mais je sais aussi qu’une « chute » est souvent l’occasion d’une victoire…
*28-12-1972, Saint B. :
L’année s’achève. L’angoisse du temps qui passe, pour rien semble-t-il parfois, ou
si peu de progrès accomplis. Maître, mène-moi à ma juste place… !
*29-12-1972, Saint B. :
Ta Force est là, qui rend la moindre chose difficile et féconde. Ne me quitte pas.
*30-12-1972, Saint B. :
Ces forces sont immondes peut-être ; mais leur désir impitoyable, leur
connaissance subtile, nous obligent à T’offrir l’intégralité de notre être. S’il n’en
était pas ainsi, peut-être Tu ne pourrais vivre que dans une tête et une poitrine
d’homme…
Ta réalisation… Ta victoire… dans le corps, le rire éclaté du Divin…
Ce soir, N. et C. viennent nous retrouver ; je suis content de cela, mon émotion est
profonde.
La joie de se trouver réunis, quelque chose s’est allumée. Mais quelque chose s’est
brouillée. Je reste avec une soif de vérité.
Mère, je voudrais Te voir.
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