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Et parfois
Comme un double plein
Qui n’a plus de contraires,
Cette Paix centrale
Sans Nom ni Lieu,
Ce Pur Matériel
Où Tout Est,
Totale destruction
De nos opposés,
Ferment
De l’Un,
Naissance de l’aventure,
Ouvreur de l’Inconnu,
S’incline
A la porte – humble, opale et légère –
De l’impossible sanctuaire.
Plein et libre
De nos gloires comme de nos défaites,
Etranger à tout
Ce que nous sommes
Et pourtant le Seul
Habitant de nos âmes,
Attendu, imploré,
Méprisé, adoré
Par les âges brûlés
De son absence,
C’est pourtant
Son imminence
Qui démolit nos raisons
Et supporte en nous
Ce Seul besoin »
*
28-10-1987:
“Somersault and bang
Way into
The light
And light against light
My contacts are gone
‘Cling to me, for thy sake’ says
A Voice
Aum, am I confused,
Who is Thee, and me,
What of it
Clear up, clear up, old world and down
With verbs and nouns
It I Thee