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d e bonne qualité, essentiels
à
la réu ssite
d'un · bon cocktail.
Parmi les
<<
As
»,
Harry
.NI
ac Elhone
propriétaire du
New-York Bar
rue Daunou'
.
'
'
ancien barman du
Ciros Club
de Londres
~
'
que nous relrouvames au front en
1915
à
la
ire
escadrille de l'av iation navale
britannique
;
le
front français retentissait
alors dµ vacarme effroyable du canon et
le bruit des bouchons de champagne était
bien oublié
!
Frank , l' e.xcellenl barman du
Ritz,
à
Paris
;
le brave Prosper· acluelle-
1_nenl au
Romano ,
qui élaii au
Racing-Club
il
y
a quelque vingl ans
;
Santos, l'inven–
teur du Rose, retiré des affaires, qui occupa
l e Bar du
Chatham
pendant de nombreuses
années
;
Emile, Romain el NIaurice le rèm–
placent excellemment maintenant
; ·
chez
Maxim's
nous trouvons encore L éon el
I-Iuberl, sympathiques fous deux
;
au
Bar
des Champs-Elysées,
Charlie, qui était au
Romano ;
au
Cheval Pie,
Charlie qui, lui,
avait avec son frère longtemps lenu le Bar
du
Claridge ;
au
Pickwick,
Bonnet, l' excel–
lent directeur de reslaurant qui surveille la
confection, confiée
à
Frank, des délicieux
drinks de la Maison;
à
['Ermitage,
Charlie,
le frère de Charlie du
Cheval Pie ;
chez
Fouquet's,
Edward el ses lVlyrmidf!nS
;
Pierre au
Hole in the W a ll,
dont le cock–
tail Maison est fameux
;
Dominique sur
la rive gauche,
à
la
Closerie des Lilas ;
Alphonse chez
Rodolphe
el
Picco,
Rue
Washington; au
Cecil Bar,
rue Caumartin,
dont le propriétaire esi l'ami Jack qui
s'occupe, lui aussi, d'ordonner la confection
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