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Skandinavia«,
å coté du palais Thott, termine la
série de facades qui forment autour de cette place,
la plus belle de Copenhague, un cadre vraiment
monumental.
Au milieu de la place, un parterre de fleurs par-
fumées dessine ses arabesques sous les vieux arbres
qui s’élévent comme une coupole au-dessus de la
statue équestre de Christian V
par le Francais
L’Amoureux. Les Copenhaguiens l’appellent tout
des Vierteis der Gesandtschaften, des Adels und
der grossen Gesellschaften, welche Grundstiicke
besitzen, dieses vornehmen Vierteis, wozu auch die
Bredgade gehort. Kurz darauf stehen wir am
N y
havn,
einem schmalen Kanal, der mit seinen bei-
den Kaistrassen, von denen die eine mit anhisan-
ten alten Håusern bebaut ist, bis in das friihere
Centrum der Stadt,
Kongens Nytorv
hineingreift.
Wenn auch Kongens Nytorv nicht mehr der Mit-
Christiansborg' Slot og Frederik VII Statue. — Christiansborg Palace and the Statue of Frederik VII. — Chåteau de Christiansborg et la
Statue de Frederik VII. - Schloss Christiansborg und Standbild von Frederik VII.
simplement »le cheval«; pour eux, c’est un but, un
lieu de rendez-vous. Aller »du cheval« de Kongens
Nytorv au kiosque de la place de l’Hotel-de-Ville
est la promenade favorite de tous, c’est passer le
»Strøget« (Corso). Toute la journée et bien aprés
minuit, la foule suit ce ohemdn, terrée, variée, ani-
mée. »Strøget« est pour Copenhague ce que Pica-
dilly est pour Londres, le Boulevard des Italiens
pour Paris et Unter den Linden pour Berlin, et
cela non moins en été, alors que les nombreux
touristes donnent aux rues et aux places un coloris
international. Les rues étroites et tortueuses, dont
le plan et la direction ont å peine changé depuis
2 0 0
ans, peuvent å peine contenir la foule qui cul-
mine entre
2
et 5 heures de l’aprés-midi, mais c’est
telpunkt fiir den
Verkehr
im modernen Kopen
hagen ist, so ist er doch noch ohne Vergleich der
ansehnlichste Platz der Stadt. Hier liegt das
Kd-
nigliche Theater und Opernhaus,
das herrliche alle
Gebåude der
Koniglichen Akademie
aus dem
Jahre 1672,
Charlottenborg,
wo die jåhrlichen
Kunstausstellungen stattfinden, das »Thottsche
Palais«, jetzt franzosisches
Gesandtschaftspalais,
1685 aufgefuhrt fur den Seehelden Niels Juel; ein
paar niedliche Empiregebåude von dem hoch an-
gesehenen dånischen Architekten Harsdorff (Nr. 5,
und Holmens Kanal Nr. 2, das friihere
Erichsens
Palais,
das sich jetzt im Besitz der Handelsbank
befindet.) Schliesslich Skandinaviens grosstes
Etablissement fiir Manufakturwaren
Magasin du
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