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Toute la partie centrale de Slotsholm est occupée

par le

Chåteau de Christiansborg,

siége du Rigs­

dag (Parlement), du Ministére des affaires étran-

géres et de la Gour supréme. — Le chåteau a été

construit sur les ruines de l’ancien Christiansborg

qui a brulé en 1884. Tout autour se groupent quel-

ques-uns des plus anciens édifices de Copenhague

qui, tant par leur importance et leur liistoire que

par leur apparence donnent å cette enclave un

cacliet tout special de caractére et de charme. C’est

lå qu’il y a les

Palais des Ministéres,

des

Archives

Royales

et la

Bibliothéque Royale

dont le jardin

idyllique est encadré des belles facades des maga­

sins centraux d’équipement. Derriére le chåteau le

manege, avec les vieux båtiments å arcades des

anciennes écuries royales, l’ancien

Hofteater

(Thé-

åtre royal) qui est maintenant le

Musée du théå-

tre,

élévent leurs pavillons plus ou moins grands, å

toils rouges ou vert-de-gris; toutes ces constructions

pittoresques, ces pignons et ces frontons, ces places

soignées et ces petits jardins,font de Slotsholm une

des plus jolies et des plus originales parties

du vieux Copenhague. — De tous les édifices de

Slotsholm, la

Bourse

(»Borsen«) est certainement

bis weit nach Mitternacht, folgt der Strom diesem

Weg, dicht, abwechslungsreich und bunt. Was P i-

cadilly fiir London, Boulevard des Italiens fiir P a ­

ris, Unter den Linden und Friedrichstrasse fiir

Berlin sind, das ist »Stroget« fiir Kopenhagen, nicht

am wenigsten im Sommer, wenn die vielen Aus-

lånder dieser Reihe von Strassen und Plåtzen in ­

ternationales Kolorit verleihen. Die verhåltnismås-

sig schmalen, krummen Strassen, deren Plan und

i

Richtung etwa 200 Jahre lang so gul wie unver-

, åndert geblieben sind, konnen kaum den enormen

' Verkehr fassen, der zwischen

2

und 5 Uhr nach-

mi ttags seinen Hohepunkt erreicht. Dann herrscht

hier jenes intime Gewimmel, das fiir den E in-

heimischen und ebenso den Fremden den Reiz des

Strog ausmaclit.

Aber in

dieser

fruhen Morgenstunde ist hier still,

man hat den ganzen Strog fiir sich selbsl. Die

olschimmernden Spuren der Automobile verlaufen

in ungestorter Perspektive. Hinter den hohen

Spiegelfenstern stehen die geputzten Gliederpup-

pen wie verzauberte Touristen ausser Stand die

Aussicht zu storen. Diese beschrånkt sich ganz ge-

wiss, so lange man sich auf der

Østergade

befindet,

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