D
Responsabilité sociétale d’entreprise
D.6
Information sur le rapport
Atos
|
Document de Référence 2016
107
D
Informationméthodologique détaillée
D.6.1.5
[G4-20] et [G4-21]
Information lié à la certification G4-22
Pas d’informations retraitées de l’année dernière, sur le reporting
de l’année fiscale 2015.
Informations détaillées relatives aux
KPI G4-EC1 et G4-EC7
Les informations requises dans G4-EC1 sont principalement
incluses dans les états financiers (A.2. Structure du chiffre
d’affaires, des notes en E.4.7.4 et G.7.3 Dividendes), mais pour
la partie relative aux « Investissements communautaires » Atos
rapporte les contributions sociales totales atteintes en 2016.
« investissement communautaire ». Le coût total de ces
catégories chez Atos est détaillé dans le tableau de la partie
D.4.4 (Être un acteur éthique et équitable dans sa sphère
d’influence – Panorama des indicateurs clés de performance).
La contribution sociale d’Atos est la responsabilité des initiatives
dans le cadre du programme de Citoyenneté d’Entreprise. Cette
responsabilité est alignée avec le cadre de travail du Benchmark
Group London (LBG) relatif à la mesure des investissements
communautaires d’entreprises. Atos rend compte de son
engagement volontaire d’entreprise avec des organisations ou
des activités de bienfaisance dans les quatre catégories
suivante: dons de charité, initiatives commerciales pour de
bonnes causes, contributions aux universités et institutions
similaires, et des projets d’informatiques responsables. Les deux
dernières catégories correspondent à ce que le LBG considère
Ces contributions prennent la forme de paiement, de temps
(bénévolat des employés pendant les heures de travail
rémunérées), en nature (y compris pro bono) et de coûts de
gestion. En 2016, le coût total des initiatives sociales en
paiement était de 4 909 493 euros, en temps de 250 665 euros,
en nature de 14 497 euros, et en coûts de gestion de
405 765 euros
[G4-EC7_C]
.
Périmètres 1, 2
et 3 du Protocole sur les gaz à effet
de serre (GES)
[G4-EN15], [G4-EN16], [G4-EN17]
Atos calcule son empreinte carbone sur la base de la norme la
plus largement adoptée : le « Protocole des GES ». Toutes les
entités opérationnelles surveillent leurs rejets carbone et doivent
mettre en place les plans d’action appropriés pour réduire
progressivement l’intensité carbone de leurs émissions (tCO
2
éq / M€), (voir les sections D.5.3.3 et D.5.3.4).
Comme défini dans le Protocole des GES, les émissions d’Atos
sont réparties en catégories entre les Périmètres 1, 2 et 3 et le
Périmètre 3 est à son tour réparti en quinze catégories
distinctes. À des fins opérationnelles et de surveillance, le
Périmètre 3 a été séparé en 2 parties (partie A et partie B) :
données, ainsi que les déplacements (avions, voitures, trains et
taxis). Pour ces émissions, une procédure rigoureuse de
reporting, vérifiée en externe, est en place depuis 2008. La
couverture augmente progressivement : 95,53% en 2016 au lieu
de 91,32% en 2015 et 82,75% en 2014.
Périmètre 3 d’Atos – partie A. Ce sous-périmètre appelé
« Périmètre 3 opérationnel »
regroupe
les
catégories
correspondant aux principaux enjeux et activités sous contrôle
opérationnel ou influence directe. Ces catégories concernent les
émissions d’énergie provenant des bureaux et centres de
Périmètre 3 d’Atos – partie B. Ce sous-périmètre appelé « Autres
émissions du Périmètre 3 » regroupe les autres catégories, qui
ne sont pas sous le contrôle ou l’influence directs d’Atos. Les
émissions les plus significatives viennent des catégories 1, 2 et
11 « Biens et services », « Biens d’équipement » et « Utilisation
des produits vendus ». Pour ces émissions, des estimations ont
été réalisées à l’aide de l’évaluateur de Périmètre 3 du Protocole
des GES.
Informations détaillées relatives au KPI G4-EN3
protocole GHG et les lignes directrices du GRI. De cette façon, il
est possible d’intégrer les deux processus et de recueillir les
données des deux rapports.
La collecte de données sur les KPI environnementaux concerne
toutes les Entités Opérationnelles. A quelques exceptions près,
les pays ont fourni les informations nécessaires pour obtenir une
estimation fiable de l’empreinte carbone. Afin d’aligner la
procédure de collecte de la GRI au Projet d’Abattement Carbone,
Atos a utilisé une méthodologie de collecte basée sur le
Pour le calcul du CO
2
, les réglementations et les méthodes de
calculs locales sont appliquées.
Les facteurs de conversion ont été ajustés selon les pays et le
type d’énergie consommée (fioul, diesel, gaz, électricité)
[3.9.1]
[3.9.2]
.
Les facteurs de conversion reposent sur les lignes directrices
Defra : Guidelines to Defra/DECC’s Greenhouse Gas Conversion
Factors for Company Reporting, disponibles sur le site
http://www.ukconversionfactorscarbonsmart.co.uk/. Pour les
chiffres, Atos a utilisé les facteurs de conversion
électricité / chaleur utilisés pour les derniers mis à jour en 2014.
[G4-EN3_G]
La méthodologie employée est directement fournie par le
fournisseur d’énergie local ou le propriétaire :
ou les propriétaires pour émettre les factures ;
concernant l’électricité, des compteurs sont installés sur site
•
pour mesurer l’énergie consommée en kWh. La mesure
enregistrée par ces compteurs est utilisée par les fournisseurs
concernant le gaz, des compteurs sont installés sur site pour
•
mesurer l’énergie consommée en M3 et les convertir en kWh
selon les coefficients de conversion locaux, dans la plupart des
cas directement par le fournisseur. La facture est fournie
directement par le fournisseur de gaz ou par le propriétaire.
[G4-EN3_F]
Les factures indiquent le volume total consommé en kWh et/ou
sa valeur monétaire (devise locale). Si la facture ne mentionne
que la valeur monétaire, la consommation correspondante en
kWh est calculée en utilisant un coût unitaire à l’unité.
Atos a inclus quelques hypothèses et utilisé des techniques pour
obtenir des estimations sous-jacentes appliquées à la
compilation des indicateurs et d’autres informations sur des
indicateurs spécifiques de performance.
Par exemple, en cas d’absence de données relatives à la
consommation réelle, les estimations de la période précédente
sont utilisées pour calculer la consommation réelle. En cas