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L'
A
~
T
en
poudre grossière ; on fait chauffer ce mé–
lange au bain-marie , jusqu'à ce gue le sucre
soit dissous;
on
passe le syrop au 1ravers d'une
~la.mine
, et o:i le
con
·erve dans une bouteille
qu'on bouche bien.
Ce
~yrop
est rafraîchissant
un
excellent anti-pulride.
'
Syrop
de Çho{tX rouges.
'J.79·
19.
Prenez cho1:11{ rou ges, coupés
menu,
deux livres; eau, six
~mces;
sucre, suffisante
,quilntité;
on met le . choux rouge avec l'eau,
da'ns un vaî:;seau
clo~
:
011
le plact> au bain–
:i;nârii;1, pour faire ramollir le choux, ou plutôt
pour le cuire enviroLJ
à
moitié, èlfin
qu'ii rende
son
sqc ;
on le met dans
un
liage
,
et on l'ex–
prii;ne bien modérément ; on passe la liqueur
élu
travers d'un blanchet ,
et
sur chaque livre
on fait dissoudre treute o,nces de sucre. Le syrop
du choux rouge est pectoral, restaurant.
Syrop
i/e Menthe.
'·
~80, ~o.
Prenez sommités de menthe frisée
récente, quatre onces; eau pure, deux livres;
distillez au bain-marie
pOLU"
tii:ersix: onces
de
liqueur; dissolvez da.us
un
matras au
bain–
marie dans cette liqueur
7
dix onces de sucre
r éd uit en poudre grossière, et conservez
ce
syrop
à
part; <l'une a.\.1tre part , passez la
décoction , mêlez-la avec quatre livres de
cassonade b!anche , clarifiez le tout avec
quelques blancs d'œufs , et cuisez en consis–
tance de sy.rop.
Lorsqu'il
sera
refroidi ,




